Entre la constitutionnalisation de l’IVG, l’âge du départ à la retraite (fin de la vie professionnelle) et le débat entourant la « fin de vie » (nom de la mort dans la Nouvelle Normalité), on a l’impression que Macron éprouve une véritable passion pour la non-vie des Français. Mais à quelle logique répond l’émergence simultanée de ces problématiques ?
Je veux commencer par me faire l’avocat du diable, et même de Macron : dans l’EHPAD pour teufeurs fatigués qu’est devenue – faute d’enfants – la société occidentale, la prise en compte de ces problématiques relève, à court ou moyen terme, d’une nécessité rationnelle : détruite par le féminisme, la famille n’est plus en mesure de prendre en charge l’accueil des nouveaux et les adieux aux anciens – moments qui deviennent, par conséquent, des prérogatives supplémentaires de l’État-ruche. Mais pourquoi en même temps ?
Il est communément admis qu’en forçant la réforme des retraites en pleine « crise ukrainienne », Macron a voulu – conformément à une habitude bien rodée depuis la crise des Gilets Jaunes – provoquer la confrontation, de façon à radicaliser son opposition pour mieux fidéliser le centre bourgeois sénile et paranoïaque qu’il rackette en gérant ses peurs.
Jusque-là, tout semble, sinon moral, du moins logique. Mais que viennent faire l’IVG et la fin de vie dans cette galère ?
Retraite de l’Occident : une fin de vie peut en cacher une autre
L’intérêt de ces débats sur les limites – forcément métaphysiques – de la vie, c’est justement de pouvoir y inviter des représentants des vieilles religions transcendantes (autochtones et importées) – précisément pour les entendre dire que leurs dogmes, en la matière, ne s’accordent pas avec les attentes du groupe actuellement majoritaire dans la société.
C’est une stratégie de réinitialisation permanente : en ramenant sans arrêt les Français à la case 1789 (abandon du théisme) – que ce soit grâce au cirque parlementaire ou aux sons-et-lumières vendéens de son ami le vicomte de Villiers – Macron espère ajourner indéfiniment un débat qui s’imposera tôt ou tard : le débat portant sur le nouveau contrat social qu’il faudra bien adopter (a priori : sans lui), une fois qu’on se sera résigné à constater que l’Occident des États-nations démocratiques (le « 3e Occident ») est mort.
Or c’est bien là la seule fin de vie dont Macron n’a aucune envie de parler !
Pourquoi ne pas étendre le débat à la fin de vie de la maison commune, autrement dit l’économie nationale?
Au lieu de s’acharner à vouloir faire passer en force sa réforme des retraites, il ferait bon, voire surtout recommandé de mettre MACRON lui-même en retraite de la vie politique et de l’envoyer dans un centre de redressement pour présidents élus indignement par le peuple, dont il s’évertue ouvertement à lui pourrir la vie ; car il est indéniable que MACRON n’aime pas les français, ni la France. Au contraire, il fait tout pour se mettre les français contre lui et ferait mieux d’écouter la voix du peuple, qu’il feint de ne pas entendre. Mais il va le payer très cher, surtout avec une côte de popularité en chute libre, qui était à seulement 30% (au dernier sondage) !!!
Très laconique, le billet laisse songeur sur la morale de tout cela, au Courrier compris. Entendu ailleurs : euthanazie… Autre chose reste possible.
Macron a pour mission d’éliminer les Retraités & les Malades par tous les moyens !!! Il n’y a plus à se poser de question, la réponse a été claire ! Ceux qui n’ont pas encore compris, sont des nuls !