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L’euthanasie en Macronie : liberté de la fin et/ou fin de la liberté, par Modeste Schwartz

courrier-strategesparcourrier-strateges
26 janvier 2023
dans Brève de presse
Temps de lecture : 2 minutes
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9
L’euthanasie en Macronie : liberté de la fin et/ou fin de la liberté, par Modeste Schwartz
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À l’Assemblée dite nationale, l’euthanasie semble être la dernière liberté à laquelle le parti « renaissant » d’Emmanuel Macron tienne réellement. Il faut croire qu’ils sont pressés de se débarrasser de leurs électeurs.


Jadis (avant 2020), le mot « liberté » évoquait des choses bien différentes : liberté de se déplacer (désormais incompatible avec le « risque sanitaire » et « climatique »), de disposer librement des fruits de son travail (ce qui revient aujourd’hui à « mettre la planète en danger » et à « financer l’agression russe »), ou encore de se soigner comme on l’entend lorsqu’on s’estime malade (« conspirationnisme »).

Tout cela appartenant au passé, c’est désormais uniquement la gestion de la « fin de vie » (jadis connue sous le nom pré-transhumaniste de « mort ») qui – et c’est bien compréhensible – préoccupe la Macronie comme incarnation de la métastase terminale de la modernité républicaine.

L’euthanasie de la Macronie, début de la fin de la fin

C’est Jean-Marc Morandini qui nous apprend que « le président Emmanuel Macron, qui avait semblé initialement très partant pour ‘bouger’ sur la fin de vie, a paru davantage en retrait récemment ». Élu par un Boomeristan sénile en affichant une gérontophilie qui met le monde entier mal à l’aise, mais semble plaire dans les EHPAD, le mari de Brigitte a probablement de bonnes raisons de devenir discret sur le sujet.

Empoisonner des adolescents pour faire semblant d’empêcher la propagation de pandémies imaginaires, passe encore – mais on peut penser que l’épopée du Rivotril, elle, a pu ternir son aura dans son cœur de cible électoral dûment défibrillisé.

Et puis, il y a Brigitte. Grâce aux pièces jaunes mises de côté par le couple présidentiel, elle ne bénéficiera probablement pas des propositions de lutte contre l’indigence via l’euthanasie que mijoteraient d’ores et déjà certains gouvernements du Benelux. Mais il faudra bien, tôt ou tard, que ce petit théâtre lycéen – comme toutes les meilleures choses – prenne fin.

Étiquettes : Assemblée NationaleEHPADeuthanasielibertéloiMacronrivotril
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Commentaires 9

  1. Huger says:
    il y a 2 mois

    Quelle est l’espérance de vie des anciens, tout injectés qu’ils sont?
    Mais une loi sur l’euthanasie a dû être décidée dans les loges…

    Répondre
  2. Trucmuche says:
    il y a 2 mois

    Honnêtement je ne vois pas où est le problème si et je dis bien si c’est une liberté de choix pour l’individu concerné par l’euthanasie
    Franchement on ne peut pas résumer un tel sujet de la manière dont vous le faites
    Il faut vraiment n’avoir eu aucun proche dans la souffrance pour ne pas se rendre compte du service que cela pourrait rendre à certains
    Quand vous voyez un proche demander à sa fille de lui mettre un sac sur la tête ou de l’étouffer avec un oreiller tellement il n’en peut plus vous souhaiteriez avoir accès pour le coup à une injection pour faire le travail de manière légale mais surtout morale
    À bon entendeur

    Répondre
    • Augé says:
      il y a 2 mois

      Merci pour votre commentaire réaliste …comme pour l ivg, e que l on doit défendre est la liberté de choix raisonnablement encadrée. J étais infirmière et je peux témoigner de ces grandes souffrances humaines.

      Répondre
    • eric7410 says:
      il y a 2 mois

      je suis sourd cest dommage …

      Répondre
    • Huger says:
      il y a 2 mois

      Le problème, c’est que ce n’est pas une loi qui peut donner la liberté dans un domaine aussi difficile. Il faudrait déjà commencer par rendre les soins palliatifs accessibles à tous ceux qui en ont besoin. Pour le reste, je fais plus confiance à l’humanité d’un médecin qu’à l’Etat. On sait bien que certains traitements hâtent la fin, ce qui est un moindre mal.

      Répondre
  3. fboizard says:
    il y a 2 mois

    « je dis bien si … » L’expérience des pays étrangers répond : il y a entre un tiers et la moitié des euthanasies ont le consentement est très douteux. Et là où il y a consentement constaté, on ne sait pas quelles pression sont exercées.

    De toute façon, l’idée de faire sentir aux gens vulnérables qu’ils pourraient être des boulets est dégueulasse.

    Répondre
    • Trucmuche says:
      il y a 2 mois

      Si l’idée est celle-ci de faire sentir aux gens de disparaître c’est grave
      Mais comme déjà dit plus haut, cela ne veut pas dire qu’il faille l’interdire pour tous. Cela ne doit venir uniquement de la personne concernée ; si elle n’est pas en mesure de la faire ou si celle-ci n’a pas formalisé la chose clairement avant de perdre la boule, il est impératif de continuer à la soigner et à la maintenir en vie
      On ne peut pas répondre à ce genre de sujet par un oui ou par un non
      Si notre société n’est plus capable de cette nuance c’est grave très grave

      Répondre
      • Huger says:
        il y a 2 mois

        Formaliser clairement la chose avant est un leurre car les circonstances sont fondamentalement différentes. On peut être tenté de le faire par peur de la souffrance (et le gouvernement compte là-dessus. Mais le moment venu, comment réagira-t-on? Qu’est-ce qui sera le plus difficile, entre souffrir physiquement ou être trop tôt séparé des siens?
        Enfin, ce que nous avons vécu depuis 3 ans montre assez les intentions de l’Etat à notre égard. Et s’il ne cherchait que le bien des femmes , il ne persécuterait pas ceux qui cherchent à les aider en cas de grossesse non désirée.
        Ce que cherche l’Etat, c’est à nous diviser sur des positions radicales, alors qu’en ces matières, chaque cas doit être traité au mieux avec humanité.

        Répondre
  4. CHANIER Martine says:
    il y a 2 mois

    Comme franco-canadienne, je vis avec un encadrement de l’euthanasie ou du droit a mourir dans la dignité tant au Canada, qu’au Québec qui est très ouvert sur le sujet comme en Belgique. Le peuple apprécie de choisir la date de la mort par exemple sur une fin de semaine et que ce soit expédié sans souffrance. J’ai d’ailleurs des exemples de malades que le médecin a convaincu qu’avec une dialyse et une jambe amputée, le patient n’aurait pas une qualité de vie et qu’on pouvait m’aider a partir, ce qu’il a choisit. D’ailleurs, on aborde ouvertement nos volonté concernant les soins de santé. Jusqu’où voulons-nous aller? Avec le triage des malades, l’hôpital fait un tri, privilégiant de soigner le malade le plus jeune et dont les soins sont moins chers. Dans ce contexte, l’adulte est préparé psychologiquement a garder une dignité et pour cela a controler sa date de départ. Pendant la COVID, je savoir qu’avec des causes de comorbidite, je ne serais pas soignée mais plutôt achevée… J’ai choisi de revenir en France… Et je vois qu’on va tranquillement vers la même philosophie de se donner le droit de donner la mort aux adultes malades, comme on le fait sur les enfants avec l’ivg…cela me désole et va contre mes valeurs judeo-chretienne de vie et de ne pas tuer.

    Répondre

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