En aout 2019, au Fort de Brégançon, Emmanuel Macron, soucieux de « tendre la main à la Russie », n’avait pas respecté les gestes-barrière dans ses interactions avec Vladimir Poutine, patient notoirement atteint de Culture du viol – un virus contre lequel même Pfizer ne dispose encore d’aucun vaccin.
Contaminé, le mari de Brigitte est d’abord resté presque asymptomatique pendant près de 4 ans – sorte de Covid long qui semble maintenant déboucher sur une phase critique : des vidéos circulent, montrant les forces de police coffrant des parisiennes dont le seul tort était apparemment de céder trop facilement aux stéréotypes de genre, en portant des vêtements dit « féminins ».
Au point que c’est désormais le pas si rebelle Syndicat de la Magistrature qui parle d’une « utilisation dévoyée de la garde-à-vue », rappelant beaucoup les affres de la répression poutinienne, telles que les évoquent, depuis leur exil en terrasse à Tbilissi, des moscovites aux cheveux bleus, traumatisées à vie jusqu’à la prochaine vodka.
Macron infecté, Bruel cas-contact : doit-on craindre une vague ?
Tout cela au prétexte d’une « réforme des retraites », que critique désormais même le très rebelle Patrick Bruel – qui n’en est d’ailleurs pas à sa première glissade complotiste près : on se souvient d’un concert de décembre 2021 à l’issu duquel l’une de ses fans, bien que dûment piquée, QR codée et masquée, se plaignait de ne pas avoir été suffisamment distanciée à son goût.
Autant dire que le célèbre crooner ferait bien de passer un test PCR de culture du viol – tant il est connu que ce virus infecte prioritairement les influenceurs qui ont émis des opinions désapprouvées par le WEF de K. Schwab – autant dire : des discours de haine, comme ceux qui ont rendu tristement célèbre le violeur J. Assange, alors même que les séducteurs Vincent Placé et Gérald Darmanin, moyennant un usage intensif des gestes-barrières (mains sur les yeux, un doigt dans chaque oreille) ont réussi à rester négatifs en attendant le vaccin.
Il suffirait que Rudy Reichstadt, Jonathan Moadab ou tout autre membre d’un Conseil scientifique expertise les symptômes de Bruel pour que diverses femmes (et assimilé.e.s) découvrent – après, éventuellement, une latence de quelques années – que leur enthousiasme sexuel pour lui ne correspondait en réalité pas aux normes réformées et approuvées du consentement.
Parfois j’ai l’impression de lire du Malraux du Musée imaginaire où l’on passerait de Giotto à Darmanin et de Shakespeare à Verholfstadt , descendant de Vermeer probablement, en espérant retomber sur ses pattes avant que ne débarque le Shigémori de Takanobu; ou comme disait Francis Blanche expert en quintessence : – « y en a aussi » .
le Shigémori de Takanobu, d’après les images Google, ça a l’air d’être une espèce de El Greco des Nains insulaires…
Si le rouquin LFI/Nupes avait été CRS, il n’aurait jamais été inquiété par les féministes de salon.
Bruel file un mauvais coton. Mâle, quinquagénaire, hetero, juif, exhitionniste, il collectionne les tares. La meute des chiennes de garde va lui tomber dessus.
Désolé, je suis un abonné – payant donc – du Courrier des Stratèges, et je n’ai pas mis la main à poche pour voir se multiplier ce genre de « papiers » dont l’intérêt m’échappe tant sur le fond que, surtout, sur la forme. Cette publication commence à vraiment à glisser vers « autre chose » que ce à quoi je m’attendais. Ce genre de prose peut se concevoir pour, disons, un blog, mais par pour un organe s’intitulant le « Courrier des Stratèges »…
Ah tiens, ça tombe bien. En fait, on aimerait bien savoir combien d’abonnés pensent comme vous.
Vous pourriez peut-être lancer une pétition?
Si vous êtes en galère de titre, je suggère: « Pour défendre la liberté d’expression, créons un délit de lèse-Poutine, punissable de censure! »
La vraie question serait plutot, combien de lecteurs apprecies la pertinence de ton verbe … en dehors de ta maman et ta copine, bien évidemment
« ma maman », oui, c’est exact: elle en est friande.
La « copine », en revanche, je ne vois pas d’où vous la sortez. Au cas où vous disposeriez de son 06, n’hésitez pas à me le transmettre.
Mais pour revenir à la question centrale: faites-la donc, cette pétition! Chacun met son code d’abonné ou un truc comme ça, permettant de l’identifier COMME abonné, et à la fin on compte. Chiche?
Sauf erreur, ces « brèves » font partie de la version gratuite du courrier…
J’ai déjà partagé votre point de vue sur un ou deux précédents articles.
Celui-ci me conviens bien.
Et bien d’autres également !
Faut sans doute faire un compromis entre tout ce que l’on peut lire sur le site, et nos propres sensibilités.
Mon sentiment, très personnel, est que l’auteur se plaît à enchaîner et lier plusieurs sujets, même dans des articles courts de quelques centaines de mots.
Faut parfois une relecture…
Vous n’êtes pas obligé de les lire non plus… Un journal ne contient jamais que des articles qui plaisent absolument tous à tous les lecteurs…. Dit plus brutalement : les contributeurs de ce journal ne travaillent pas que pour vous.