L’OMS nous donne, l’air de rien, des nouvelles de la tuberculose. Il semble en effet que, pendant ses triomphes historiques (tout du moins en termes de capitalisation boursière des fabricants de sérums) sur des pandémies imaginaires, les véritables épidémies, elles, continuent à faire des ravages.
A la différence des « épidémies virales » (comme le SIDA ou la Covid), dont l’existence repose tout entière sur la fragile hypothèse du rôle pathogène des virus (HIV ou le Covid) – et dont les « malades » sont donc, en tout et pour tout, des détenteurs de résultats positifs de tests non-symptomatiques –, la tuberculose, elle, est une infection bactérienne.
Comme la peste noire, donc – à laquelle la Grippe19 a été, lors du lancement de la psy-op covidiste, comparée de façon aussi massive que frauduleuse et préméditée – le la ayant été donné par Klaus Schwab himself dans son Covid19 : la Grande Réinitialisation.
Et ce, en vertu d’un raisonnement aussi simple que la pensée magique elle-même : comme (du point de vue de l’historiographie progressiste) la peste noire a été une divine surprise en vue de la pré-industrialisation de l’Europe, étant donné que nous étions en 2019 censés être au seuil de la fameuse « 4e Révolution Industrielle » (autre fiction due à ce même Schwab), c’est donc que le Covid19 doit être une nouvelle peste noire.
La tuberculose : 100% plus mortelle que la Grippe19
Or pendant que l’ARNm et autres Spoutniks sauvent l’humanité de la grippe, la tuberculose, elle, continue à la décimer sans se gêner – comme le reconnaît, la bouche enfarinée, un texte mis en ligne sur le site de l’ONU : « La pandémie de Covid-19 (…) a anéanti des années de progrès réalisés dans la lutte contre la tuberculose. »
Et le multi-génocidaire Tedros Ghebreyesus – pourtant peu suspect d’anti-schwabisme primaire – d’enfoncer de sa main un clou dans le cercueil de la « 4e Révolution Industrielle » : « La tuberculose est évitable, traitable et curable, et pourtant ce vieux fléau (…) continue (…) de tuer des millions de personnes chaque année ». En d’autres termes : la technologie influence peu le destin des humains.
La différence des conditions de vie entre Namibie et Suisse s’explique avant tout par des divergences politico-culturelles – qui risquent d’ailleurs de s’amenuiser, maintenant que l’Occident s’est, en bout de parcours, reconverti à la pensée magique.
L’occident collectif, miné par la lancinante farce protestante, a apostasié. Donc la boussole de ses citoyens nés tourne à la pensée magique, celle de l’homme soumis aux esprits, aux lumières, aux mensonges.
« miné par la farce protestante… » Je ne vois pas ce qu’en quoi le protestantisme est concerné avec les méfaits comparés de la tuberculose et du covid. Vous vous gargarisez de mots. Quant au côté farceur du protestantisme je vous renvoie à l’hostilité du monde catholique envers la Réforme car la Réforme est une réaction à la déliquescence de l’Eglise catholique au début du 16e siècle. Qu’ont préconisé les réformateurs ? Le recours à la Bible, véritable Parole de Dieu, du premier verset de la Genèse au dernier verset de l’Apocalypse, sans les deutérocanoniques évidemment. La Saint-Barthélemy, les dragonnades, la condamnation aux galères, les bûchers et j’en passe, seraient-ils donc des applications directes de l’esprit du Nouveau Testament ?
Les réformateurs ont préconisé de brûler des sorcières pour réduire l’emprunte carbone de leurs ouailles. Des écologistes avant l’heure.
Un de mes ancêtres a été décapité en place publique à la demande de Calvin pour avoir écrit un pamphlet niant l’existence de Dieu. Quel rapport avec la lecture de la Bible ?
Ah non! la trace carbone des bûchers, c’est catastrophique!
Décollation + humusation, là déjà, oui, on se rapproche du « net zéro ».
L’homme occidental est ainsi devenu: il regarde où on lui dit de regarder, il suit la majorité – puisque, par définition, elle a raison -, et il vote comme on lui dit de voter.
650 milliards d’euros empruntés par la PharMacronie aux Banksters pour lutter contre une pandémie inexistante: ce n’est pas banal… après avoir détruit la France.
La Pandémie n’a jamais existé: Totale absence de sur-mortalité, en Chine, en 2020, sauf à Wuhan. Pourquoi?
http://xochipelli.fr/2023/02/la-pandemie-na-jamais-existe-totale-absence-de-sur-mortalite-en-chine-en-2020-sauf-a-wuhan-pourquoi/
L’OMS est une pandémie de politique et de profit. Le reste n’est que littérature.
Je suis sans doute un peu débile mais j’ai beaucoup de mal à comprendre ce que M. Schwartz veut exprimer dans ses articles. Il semble utiliser des expressions dont je ne suis pas sûr qu’elles traduisent bien les merveilleuses pensées qu’il aimerait que ses lecteurs comprennent. Ne dit-on pas que ce qui se pense clairement s’exprime clairement ? En tout cas ma pauvre intelligence ne me donne pas accès à sa pensée certainement géniale. Je pense que je ne souffrirai plus de ne rien comprendre en arrêtant tout bêtement de lire ce qu’il écrit.
Arrêter de lire, ou de commenter?
A mon avis, une fois réalisé le constat de mon hérésie (par rapport à quelle idole au juste: Marine? Zemmour? Poutine? – à la rigueur, qu’importe), vous n’avez plus tellement lu, préférant concentrer vos efforts sur l’art du commentaire comminatoire.
En revanche, si je peux me permettre un conseil: vous pourriez changer de pseudo de temps en temps, de façon à susciter l’illusion du nombre… Parce que là, on finit par les mémoriser, et donc par se rendre compte que vous êtes 15…
Les connaissances en virologie sont bien antérieures à l’apparition de la biologie moléculaire. Il n’est donc pas question de remettre en cause l’existence des virus et leur capacité à provoquer des infections. Avec les techniques actuelles de microscopie électronique, un virus, surtout de la taille d’un coronavirus, se voit. Les techniques d’isolement anciennes reposent sur l’ultracentrifugation et fonctionnent très bien.
Ce qui est ici en cause est l’instrumentalisation des techniques de biologie moléculaire, dont la complexité et la nécessité de porter un regard très critique sur ses propres résultats permettent de frauder très facilement. De nombreux auteurs, dont le plus emblématique est le professeur de virologie allemand Ulrike Kämmerer, ont montré que ce qui a dupé l’ensemble du corps médical est le choix d’amorces fantaisistes et de température de cycles inadéquates, ce qui permet l’hybridation des amorces un peu partout sur la chaîne d’ADN. Et ceci a concerné autant les tests diagnostiques que les séquençages à haut débit, puisque ces derniers reposent également sur la technique PCR.
Par ailleurs, les connaissances fondamentales de l’évolution biologique suffisent à contredire formellement le narratif des variants, au sens de souche mutante aux capacités nouvelles sur un temps court.
Tout est expliqué ici:
https://alpinismesansguide.blogspot.com/2023/02/la-maladie-dite-covid-19-nexiste-pas.html?m=1
Je n’ai jamais parlé de l’EXISTENCE des virus (qui me semble relever de connaissances bien acquises, en effet), mais de leur rôle pathogène, et donc du concept d’épidémie virale (sur le modèle des infections bactériennes). C’est concernant cette seconde notion que les observations statistiques de P. Chaillot semblent suggérer de gros doutes quant à la validité des modèles de propagation.
Pierre Chaillot a montré que la cinématique de la mortalité toutes causes confondues pendant la période « Covid » était incompatible avec la propagation d’une virose, ce qu’avait également montré Denis Rancourt. Ces travaux participent à démontrer que la maladie dite Covid 19 n’existe pas mais ne peuvent nullement être étendus aux viroses en général, sous peine de devenir un discours parfaitement inaudible. Pierre Chaillot, très mal entouré, à sa droite par l’un des nombreux vigiles du chenil spécialisé en chiens renifleurs de virus (ayant commis l’inutile préface disant l’inverse du contenu du livre – préface à déchirer dès l’achat de l’ouvrage…), à sa gauche par un Jérémy Mercier tenant la vieille science obsolète de Béchamp pour parole d’évangile, doit être suivi pour ce qui se rapporte à son domaine de compétences, qu’il maîtrise parfaitement, et non pour les très mauvaises influences qu’il subit.
Merci pour cette remarque, que j’ai d’ailleurs transmise à P. Chaillot.
A ce point, le débat atteint une profondeur scientifique où j’ai déjà peine à le suivre.
L’essentiel, de mon point de vue, étant que tous ceux qui débattent (a priori, de bonne foi) soient au moins d’accord pour constater que « la pandémie de Covid19 » est (pour le dire joliment) un « être de raison ».
A partir de là, mes conclusions du Magicien de Davos et de Køvíd restent en principe valables.
Je laisserai les hommes de l’art discuter entre eux des questions plus strictement biomédicales.