D’après une enquête gouvernementale, environ 1,5 million d’individus en âge de travailler au Japon sont devenus des « hikikomori » après la pandémie de Covid-19. Ce terme japonais signifie « se cloîtrer », il désigne les personnes, souvent jeunes, qui ne sortent plus de leur chambre ou de leur maison durant des semaines, des mois, voire des années, et qui cessent toute relation sociale. Plus de 20 % des personnes en âge de travailler ont déclaré que leur isolement avait été déclenché par des changements de mode de vie dus à la pandémie.
A cause de la crise sanitaire, environ 1.5 million de personnes vivent comme recluses au Japon. Ces reclus de la sociéte, les hikikomori – sont classés comme des personnes qui se retirent de la société, passant tout ou presque tout leur temps isolés à la maison. D’après le ministère de la Santé japonais, le terme s’applique à tout individu qui vit sans voir personne et surtout sans travailler depuis au moins 6 mois. Selon l’enquête, une proportion importante – 20,6 % – a déclaré que leur situation difficile avait été déclenchée par des changements de mode de vie imposés pendant la pandémie, selon l’enquête. D’après une note scientifique publiée au mois de mars par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), en 2020 la prévalence mondiale de l’anxiété et de la dépression a augmenté massivement, de 25 %. En effet, si le Covid-19 a affecté physiquement les individus, il a également mis en exergue la hausse des syndromes dépressifs. Le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS, avait déclaré que « les informations dont nous disposons actuellement sur l’impact de la COVID-19 sur la santé mentale dans le monde ne sont que la partie émergée de l’iceberg ». Pourtant c’est l’OMS qui a davantage encouragé ces politiques « enfermistes », comme toujours, l’OMS est dans son rôle favori celle du pyromane qui se fait pompier.
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Le COVID n’est pas à mon avis la principal cause de ce phénomène. En effet, si on fait un état des lieux avant le COVID, on s’apercevra que déjà ce phénomène était en progression et concernait déjà près d’un millions de personnes. C’est sûr que ça n’a pas dû arranger mais la principal cause est surtout le fait que le système éducatif japonais est devenu trop élitiste. Une bonne partie de la jeunesse n’arrive plus à suivre.
A noter que l’Allemagne et la France sont également concerné par ce problème
Il va falloir un jour mettre sur la table les racines de cette idéologie de destruction.
C’est le covid long. CoV effect disait Trump dès 2017.