Jacques Attali vient de livrer un post de blog particulièrement amusant : il confirme en tous points les avertissements que nous avons lancés aux épargnants après la faillite récente de la Silicon Valley Bank aux Etats-Unis. Une crise obligataire majeure se prépare, liée à la dédollarisation, dont nous parlons souvent dans le Courrier. Manifestement contaminé par les complotistes, Jacques Attali se met lui aussi à pronostiquer ce phénomène… pour cet été, exactement comme nous l’avons annoncé. Simplement, Attali en tire la conclusion qu’il faut accélérer le Great Reset, quand nous préconisons, bien au contraire, la fin du multilatéralisme et le retour aux relations bilatérales.
Nos lecteurs se souviennent que nous avons expliqué les risques techniques qui pèsent sur les marchés financiers du fait de la remontée rapide des taux. Ces risques sont particulièrement forts pour l’assurance-vie. Nous avons aussi pronostiqué la survenue de cette crise à la rentrée de septembre, pour des raisons structurelles liées à la mise en place des monnaies numériques, élément qui fait partie de la stratégie du Great Reset.
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Pas de quoi s’en vanter : Attali promeut la confiscation de tout bien immobilier. Mise en place du communisme ploutocratique sous coivert de lutte contre l’énième crise des marchés.
Ôtez-moi d’un doute : vous n’imaginiez pas que Jacques Attali qui était allé chercher Macron à la banque Rothschild pour le lancer dans les jambes de François Hollande et en faire le Président de la France, eût pu être autre chose qu’un “propagandiste du Great Reset” ?
Attali, cette sorte de Talleyrand, qui encombre les couloirs de la politique française depuis 1981 est un agent du mondialisme. Est-ce lui, en particulier, qui assure le suivi des politiques destinées à “couler” notre pays?
Qui a fait attention à ses propos en 1981 dans “L’avenir de la vie” ?
« À l’avenir il s’agira de trouver un moyen de réduire la population. Nous commencerons par les vieux, car dès qu’il dépasse 60-65 ans l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte cher à la société.
Ensuite les faibles puis les inutiles qui n’apportent rien à la société car il y en aura de plus en plus, et surtout enfin les plus stupides.
Une euthanasie ciblant ces groupes ; l’euthanasie devra être un instrument essentiel de nos sociétés futures, dans tous les cas de figure.
On ne pourra bien sûr pas exécuter les gens ou faire des camps. Nous nous en débarrasserons en leur faisant croire que c’est pour leur bien.
La population trop nombreuse, et pour la plupart inutile, c’est quelque chose d’économiquement trop coûteux.
Sociétalement, il est également bien préférable que la machine humaine s’arrête brutalement plutôt qu’elle ne se détériore progressivement.
On ne pourra pas non plus faire passer des tests d’intelligence à des millions et des millions de gens, vous pensez bien ! Nous trouverons quelque chose ou le provoquerons, une pandémie qui cible certaines personnes, une crise économique réelle ou pas, un virus qui touchera les vieux ou les gros, peu importe, les faibles y succomberont, les peureux et les stupides y croiront et demanderont à être traités.
Nous aurons pris soin d’avoir prévu le traitement, un traitement qui sera la solution.
La sélection des idiots se fera ainsi toute seule : ils iront d’eux-mêmes à l’abattoir. »
Pas sûr qu’il soit aussi pertinent aujourd’hui. Il avait prévu la fin de l’euro en 2012…
Cette citation, bien que séduisante est apocryphe. Attention
De plus, nous sommes en 2022/2023 : aucune mention de ce titre (l’Avenir de la vie) de 1981
n’avait été faite depuis. On l’apprend maintenant. A-t-il vraiment existé ?