Cas d’école de l’expertocratie actuelle, la Société Diététique d’Allemagne (DGE, en allemand) est une association professionnelle « indépendante », mais disposant néanmoins de prérogatives de certification – par exemple, pour les cantines scolaires. Elle recommande désormais une élimination pratiquement totale de la viande.
Sûr de tenir son scoop, le journal Bild a en effet calculé que, conformément aux recommandations de la DGE, la portion recommandée équivaudrait à une saucisse blanche (Currywurst) par mois.
Surtout, Bild remarque judicieusement que, rompant avec sa pratique antérieure – qui consistait, conformément à son objet d’activité, à baser ses recommandations sur des considérations de santé –, la DGE n’hésite désormais plus à étayer ses jugements par des arguments écologiques.
C’est donc le désormais le mythe climatique qui oriente, en République Fédérale d’Allemagne, l’action d’une institution de santé publique. Mais après tout, n’était-ce pas déjà le cas sous le Covid, quand les diverses tentacules de l’OMS, tout en échouant apparemment dans leur grandiose croisade contre le rhume, semblent en revanche avoir rendu, en termes de dénatalité et de dépopulation, un fier service « à la Planète » ?
Prolétaires de certains pays, suicidez-vous !
Rien d’étonnant à cela. Dans l’Union Soviétique, la construction du communisme n’était pas seulement l’affaire du Parti et des chaires de socialisme scientifique : c’était celle des maternités, des hôpitaux, des épiceries de quartier et des dancings. Le respect de la diversité des missions et des attributions des divers organismes d’une société humaine est incompatible avec la folie monomaniaque de ces théocraties sans dieux du socialisme.
L’URSS telle qu’elle a réellement existé – tout comme la Chine communiste actuelle – avait certes plutôt des objectifs d’augmentation de la ration quotidienne de viande. Il faut dire qu’il s’agissait de pays émergents, pratiquant le natalisme, l’industrialisme et le militarisme – ayant donc besoin au lit, à l’usine et éventuellement au front d’une tonicité masculine qu’il est difficile d’entretenir avec des salades de quinoa.
La section blanche de l’internationale davosienne, au contraire, est représentée par des politiciens pseudo-démocratiques pratiquant plutôt la sexualité passive (conformément ou non à leur sexe naturel), et souhaitant d’ailleurs pousser les petits garçons des sans-dents vers la castration – tant il est vrai que les princes de l’Occident pigmenté, à qui ce ramassis humanoïde a cédé nos industries, préfèrent, pendant leurs séjours touristiques dans l’Occident historique, avoir à faire à des femmes de chambre bien passives.
C’est l’alliance du capitalisme mondialisé avec le crédit social à la chinoise qui se met en place progressivement.
Ce processus d’auto destruction est proprement terrifiant !
Vous oubliez les camps de concentration qui n’ont jamais été aussi remplis.
Un coup de peinture et Auschwitz pourra repartir avant Fessenheim.
Rajoutez “de connivence”à capitalisme..vous ferez plaisir à m’sieur eric !????
Les protéines animales sont des sources importantes pour les acides aminés essentiels à la vie humaine. Ils savent très bien ce qu’ils font: détruire notre santé.
Non sans blague vous croyez ? Vous pensez qu’ils veulent vraiment dépeupler?????pour une nouvelle c’est une nouvelle dites donc!????
Mangez des Allemands.