Comme l’humanité pompe trop d’eau souterraine, contribuant ainsi à « désaxer la Terre » (sic), la Macronie et le reste des gouvernements davosiens « vont devoir », eux aussi, pomper davantage. De notre fric.
Non, ce thème du pompage n’est, cette fois-ci, pas porté par un nouveau roman de l’alter-égote de Marlène Schiappa. C’est le bulletin paroissial du mondialisme de gauche intitulé Huffington Post qui s’est collé à la tâche ingrate de nous expliquer sans rire que « L’humanité a changé l’inclinaison de la terre à force de pomper l’eau souterraine ». Dans la presse subventionnée, il y a des gens payés pour ce genre de prestations (N.B. : je ne parle toujours pas de Marlène Schiappa).
« Du coup », le cardinal Macron, candidat à la papauté climatiste, veut rameuter à Paris un nouveau synode, chargé de pondre un « pacte financier » mondial « pour le climat » : un montage calqué sur la « jurisprudence » des fonds Covid (Schwab lui-même nous avait prévenus que ça serait réutilisé !), consistant, pour les pays peu endettés (et s’endettant donc à taux bas), à garantir les prêts « climatiques » consentis à des pays surendettés.
Finalement, le pompeur sera aussi le payeur
C’est donc ni plus, ni moins qu’une généralisation planétaire (au moins dans l’esprit du mari de Brigitte) de l’arnaque intitulée « Zone Euro », avec l’ensemble des pays blancs dans le rôle de l’Allemagne, et les autocraties davoso-compatibles du Tiers-monde dans celui de la Grèce (Goldmann Sachs devrait, a priori, conserver le rôle de Goldmann Sachs, c’est-à-dire celui d’empocher la com’).
Et, comme lesdits bantoustans ne rembourseront bien entendu jamais rien – et qu’on parle donc bien, sous couvert de « prêts », de subventions –, cette nouvelle dépense publique (réputée « mondiale » !) fait bien entendu miroiter à ses ordonnateurs de crédit le droit d’imposer une fiscalité tout aussi mondiale :
« Pour trouver des moyens de financements (…) l’attention se concentre surtout sur la mesure de taxation des émissions de carbone du transport maritime. Les besoins sont tellement énormes… », souligne une conseillère d’Emmanuel Macron.
En d’autres termes : des improductifs réputés vertueux (aimés du Dieu climatique) vont rançonner en haute mer le passage des marchandises qu’échangent ceux qui ont le mauvais goût d’en produire. Revoici donc la piraterie, refondée et légitimée sur fonds davosiens.
Les mondialistes aiment la dette, c’est le meilleur moyen d’asservissement des peuples. Le tout est de trouver des prétextes pour l’augmenter toujours plus.
C’est le but ultime de l’escrologie, rançonner à tout va pour la bonne cause. Qui est contre sauver la planète ?
« Redécouvrir », mais dans une perspective ouvertement néo-gnosticiste, la précession des équinoxes comme facteur de changement climatique, là, je dis, chapeau la clique journaleuse inféodée à Davos! On aurait en tout cas grand tort de sous-estimer l’importance du système mythologique inhérent au « projet » davosien, quand bien même ledit système se réduirait à une gnose et à un panthéisme d’école de commerce…
taxer les co2 des cargos porte-containers ? Ce sont des mesures protectionnistes déguisées.