Nous avons saisi l’occasion des événements en Russie, et singulièrement de la rébellion de Prigojine dans le Donbass, pour faire une interview-vérité avec Edouard Husson sur les analyses du Courrier depuis plus d’un an sur la question russo-ukrainienne. Parfois accusé d’être trop favorable à la Russie, Edouard s’est prêté au jeu ouvert des questions et des réponses sans tabou sur ses relations avec Vladimir Poutine.
Cette mise au point nous paraissait importante dans la mesure où les analyses d’Edouard Husson ont régulièrement marqué une distance importante avec les analyses diffusées par la propagande officielle ou par le cartel des médias subventionnés. Certains ont parfois regretté une forme de partialité supposée dans la ligne tenue par le Courrier. Il était donc essentiel de préciser le contexte dans lequel Edouard Husson intervient.
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la famille de Pregogine n’a-t-elle pas été épargnée par les sanctions ocidentales ?
Monsieur Husson, dans cette affaire je trouve qu’être pro-Français, c’est condamner la politique occidentale en Ukraine et refuser la distanciation de la Russie
J’ai adoré cet entretien avec sa part d’infos et d’humour ! Plus je vous découvre tous les deux, et plus je suis admirative de votre manière de traiter l’info. Merci !
Merci pour votre échange plein de sincérité, de prudence et même d’un peu de facétie de la part de monsieur Verhaeghe. Je pense qu’à notre époque d’effondrement il faut être conservateur de ce qui fait notre civilisation. C’est la religion qui au cœur d’une civilisation, et nous vivons une époque décérébrée. Tocqueville -le plus grand analyste politique français- disait « il n’y a pas de liberté sans morale et de morale sans foi »
La religion entraîne les mêmes maux que la politique voire en pire
On oublie le passé et l’histoire
Cela ne veut pas dire qu’il faut écarter la spiritualité mais les religions sont à bannir
Lorsque, vendredi 23 juin au soir, Prigojine annonce qu’il lance sa tentative de putsch, il oblige à retourner vers cette querelle interne les moyens de guerre informationnelle russes (l’état-major russe parle de « guerre mentale »). Ce redéploiement a été visible sur les réseaux sociaux, avec la réduction brutale de l’activité des faux comptes de désinformation au cours de la journée du samedi ainsi que le désarroi des relais d’influence de Moscou, à commencer par la cacophonie qui a régné au sein de la blogosphère prorusse!
Un tel croit dire vrai et tel autre ne sait pas qu’il dit faux? L’objectivité est quasiment impossible, il faut respecter la pluralité des opinions. Merci de ne pas stigmatiser la diversité en qualifiant le contradicteur de « blogosphère pro russe »
Vu de DC c’est différent:
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Mais d’où proviennent les recettes qui financent ces compagnies militaires privées ? De royalties sur le transit de carburant et de biens dans leur zone ?
False flag otanien sur la Centrale nucléaire de Zaporijjia. Et Poutine devra réagir ?
Je trouve cette interview intéressante et drôle aussi l’humour d’Eric Veraeghe.
Je trouve néanmoins en lisant les articles d’Edouard Husson qu’il apparaît très anti-ukrainien, par exemple, pourquoi parler toujours “d’armée kiévienne” comme si l’Etat ukrainien n’existait pas ? Pourquoi alors ne pas réduire aussi l’armée russe à l’armée moscovite ?
Des exemples de partialité pro-Russe dans les articles d’EH, je pourrais en citer des dizaines…
Alors pendant qu’on y est : Est ce que Lalaina est payé par Pfizer ?😁
La situation actuelle du monde et de la Russie en particulier est complexe et bien malin celui qui prétend avoir la bonne grille de lecture des événements actuels.
Nous assistons à un affrontement entre des puissances politiques, économiques militaires et religieuses qui souhaitent imposer leur vision du monde selon leurs principes sans se soucier vraiment du bien de leur concitoyens.
À vrai dire cela n’est pas nouveau mais le phénomène a pris de l’importance ces derniers temps et pourrait effrayer au premier abord.
Prenons du recul et évitons de prendre trop parti pour un camp.
Commençons à bien faire ce qui est à notre niveau, c’est à dire à agir sur nos différents devoirs d’état et ne doutons pas qu’avec le secours du ciel nous arriverons à faire bouger les lignes et les différents milieux dans lesquels nos personnes évoluent.