En plein milieu d’une séquence d’émeutes qui profite avant tout à l’agenda liberticide des davosiens au pouvoir, l’Office français de protection des réfugiés et apatrides nous apprend qu’en 2022, la France s’est « enrichie » d’un demi-million de « réfugiés » : « détail » qui ne semble inquiéter ni les chantres de « l’intégration », ni les propagandistes de la guerre civile ethnique.
Après tout, plus on sera de fous – soit pour fantasmer sur une Opérations Ronces, soit pour alimenter la tournante associative des orgies d’argent public – plus on rira aux dépens du cocu gaulois qui, non content de perdre un véhicule garé au mauvais endroit ou de choper une balle en caoutchouc perdue, continuera à financer ce bal des vampires qui, en ce qui le concerne, a aussi tout d’un dîner de cons.
Que la gauche ne s’alarme pas de cet afflux dépassant un demi pour cent de notre population, c’est hélas une conséquence prévisible de son mondialisme assumé, et du totalitarisme moralisateur qui s’est substitué à l’intérêt de classe à la faveur de la digestion du Parti Communiste par le socialisme bourgeois, à partir du Programme commun des gauches.
L’UE, cette racaille dont personne ne réclame l’expulsion
L’attitude de la droite « anti-immigrationniste » pourrait sembler plus étonnante. Tout en grossissant avec gourmandise le poids du facteur ethnique dans une crise pourtant principalement déterminée par le naufrage de l’autorité institutionnelle aux mains des pyromanes de la Macronie, elle préfère en faire des tonnes sur l’intégration plus ou moins ratée de français de branche présents, pour certains, depuis des décennies sur le territoire – plutôt de que de commenter l’arrivée d’une livraison 2022 dépassant le demi-million !
Et pour cause : se pencher sérieusement sur le problème de la porosité des frontières impliquerait de remettre en cause le rôle et la légitimité de l’UE – ligne rouge de toutes les oppositions contrôlées, qu’elles soient politiques, syndicales ou médiatico-culturelles.
Du coup, pendant les travaux de détricotage des libertés publiques – qui permettront à terme une répression plus efficace des autochtones avant tout – les arrivages continuent, qui permettront d’alimenter les crises de demain, plus ou moins provoquées, plus ou moins récupérées.
Et n’est-ce pas là, finalement, ce que mérite un peuple qui – quand il ne cède pas complètement aux sirènes du mondialisme humanitaire – couine pour être protégé, mais pas pour être souverain ?
Tout à fait M. Schwartz. «La liberté n’a pas de prix» mais elle a un coût que pas mal de français ne semble pas être prêt à payer. Notamment les pseudo-élites qui fuient la responsabilité comme la peste.
Voilà comment on engendre la haine de l’autre et surtout de l’étranger. Il suffit de citer un chiffre unique et surtout celui qui fait peur, celui des entrants. Surtout ne dites pas combien sortent chaque année, environ 300 000. Vous ne dites pas non plus que les demandeurs d’asile venus des pays en guerre de notre continent sont en augmentation. Plus je vous lis moins j’aime vos propos toujours tendancieux et peu rigoureux. C’est si facile de n’exiber que sa détestation de tout et de tous. Vraiment dommage pour le CDS.
Ce n’est pas une question de sentiment, mais un problème politique. Dans la mesure où l’Etat s’avère (a été rendu?) incapable d’intégrer ces étrangers, tout Français lucide s’oppose à cette politique décidée d’ailleurs au niveau de l’UE.
Grâce à tous ceux qui font du problème politique une question moral, sur le thème de l’antiracisme ou de la haine, les politiciens peuvent se permettre de ne pas demander l’avis de la population. Avis qui n’est pas demandé non plus sur tous les sujets qui touchent à l’euromondialisme…
Si vous saviez ceux qui engendre « la haine de l’autre » à grande échelle , vous seriez surpris !!
Pas d’accord sur le chiffre donné de la façon façon lapidaire habituelle à M.Schwartz.
le chiffre de l’OFPRA pour 2022 est de 56000, ce qui porte le total, selon l’ofpra à un peu plus de 500000 demandes d’asile acceptées. Je n’ai pas trouvé la date de départ du comptage, néanmoins, j’ai vu, aussi, que les réfugiés ukrainiens ne sont pas comptés, car par une subtile manœuvre, nous leur accordons une autre statistique. fallait le faire, non? Mais d’autres pays comme l’Allemagne, appellent les chats par leur nom et mes enfants qui sont revenus de KIEV en 2022, ont été habiter à Düsseldorf. Ma belle fille a obtenu le statut de réfugiée. elle est bien comptée parmis les demandeurs d’asile…. oui, mais les allemands ne sont pas subtils, c’est bien connu.