Règle d’or de tous les violeurs de talent : ne jamais oublier de culpabiliser la victime : « Regarde tout ce sang qui tache mon pantalon, salope ! ». Institutrice vertueuse, Attal, de même, nous fait la leçon : 3 000 milliards d’euros de dette, c’est pas bien ! Va falloir se serrer la ceinture !
Le point commun entre un système bancaire en régime d’argent magique et un système politique où tout se résume à une élection présidentielle à gagner tous les 5 ans contre un représentant ou un autre du clan Le Pen, c’est la disparition de tout mécanisme de sanction. Comme la défaite électorale du parti au pouvoir est devenue aussi improbable que la faillite d’une banque systémique, les décisionnaires ne sont, littéralement, plus susceptibles de mauvaises décisions : toutes les décisions sont bonnes, puisque tous les paris sont gagnants !
Produit de ce système de dévirilisation des élites occidentales, Gabriel Attal, sous-fifre du Young Global Leader qui a endetté la France de plus ou moins mille milliards en vue de combattre la grippe (alors même que l’exemple suédois montrait, même aux adeptes du récit covidiste, que les effets sanitaires de ce gaspillage étaient, dans le meilleur des cas, nuls) nous parle aujourd’hui, sans rougir, de « désendettement ».
Macron nous a gâté – nous méritons qu’Attal nous punisse !
Au milieu de ce magnifique exercice de 50 nuances de en même temps, gageons qu’il se trouvera tout de même des naïfs pour se dire, face aux mimiques rassurantes d’Attal gendre idéal, que cette fois, au moins, nos bons maîtres ont appris de leurs erreurs : enfin, la gabegie s’arrête ! Fin du quoi-qu’il-en-coûte !
Pas du tout : le sac percé Ukraine (pour l’instant : sa destruction – plus tard : sa reconstruction) a pris le relai du sac percé Covid. Sur les bords du stade, le Climat s’échauffe.
En réalité, on sait parfaitement comment, pour les Davosiens, la « crise de la dette » est censée « se résoudre » : par le passage aux « crypto-monnaies de banque centrale » (comprendre : au rationnement généralisé), et probablement aussi au régime de dette perpétuelle (réduite au paiement des intérêts – mais à perpétuité) suggéré par G. Soros. En d’autres termes : à une sorte de système néo-soviétique qui assumerait le caractère néo-féodal du pouvoir de sa Caste régnante.
Tant q’il y a des sous pour lutter contre la transphobie, tout va bien…
Ils nous préviennent qu’ils auront besoin de nous prendre 413 milliards pour t uer Po ut ine .
Mais il ne dit pas comment rembourser la dette du covid et parle pour ne rien dire.
Koikilenkout !