A propos de la visite d’Etat de Jill Biden qui commence ce lundi, TF1 parle d’une « rencontre de premières dames ». Même si la Constitution française ne prévoit rien de tel, cette rencontre symbolise, effectivement, la communauté de destin qui est celle de ces premières dames de l’Empire davosien que sont Washington et Paris.
Cette rencontre étant placée sous le signe de la satisfaction universelle, elle donnera d’abord aux « souverainistes » (qui n’ont pas entendu parler de Davos) et aux « gaullistes » (qui ont tout oublié du De Gaulle réellement existant) l’occasion de défouler leur anti-américanisme primaire : en allant se recueillir sur un site du débarquement, Jill Biden leur permettra de rappeler (à bon escient, au demeurant) que la défaite du nazisme a été l’œuvre de l’Armée rouge, bien plus que celle des Etats-Unis. 1944, c’est la patrie de cœur de tous ceux qui ne comprennent rien à 2020.
Mais Jill Biden vient aussi rendre visite à une autre première dame du mondialisme, dont TF1 ne parle pas : Audrey Azoulay, directrice de l’UNESCO. Car Mme Biden sera aussi en France pour assister « à une cérémonie célébrant le retour des États-Unis dans l’Unesco, que le pays avait quitté sous la présidence de Donald Trump. »
La première dame est l’avenir du pantin davosien
Bonne occasion (que la plupart desdits souverainistes, hélas, rateront), de rappeler que, loin d’incarner je ne sais quel « impérialisme américain » (dont le véritable représentant serait Trump), Biden, comme Macron, est avant tout le garant de la vassalisation de son pays aux intérêts de Davos – c’est-à-dire de cette multilatéralité dépassant le paradigme géopolitique, car tout aussi à l’aise à Pékin et à Moscou qu’à Delhi et à Londres.
Au vu de ce ticket Jill-Brigitte, on comprend – abstraction faite des différences individuelles séparant le sénile Biden de l’un peu trop jeune mari de Brigitte – qu’à vrai dire, ce sont eux, les deux mâles blancs (dont un au moins s’expose à de sérieux soupçons d’hétérosexualité) qui détonnent dans le tableau du harem politique de Davos, où les racisés comme Sunak ou Yousaf ne côtoient normalement plus que des femmes blanches : Brigitte, Jill, Audrey, Ursula, Sanna &Cie.
Dans le rôle du Daron, Klaus Schwab, syndic de la Caste des milliardaires, observera probablement avec émotion les « débats contradictoires » entourant ce goûter au harem.
La défaite des nazis ? Force est de constater que les nazis ont peut-être perdu une bataille mais pas la guerre
Schwab fils de nazi
Toutes les marques allemandes créées sous le nazisme toujours présentes et bien ancrées
On ne va pas parler des différents traités européens inspirés par l’idéologie nazi
Et la protection américaine des nazis chercheurs scientifiques et tout le reste
Ils sont patients les bougres et reviennent tenter leur chance une nouvelle fois
On comprend mieux sous cet angle le réveil de l’ours russe… ou simple coïncidence ?
Un produit industriel Michou et une Ganster’s moll Jill. desole je n’ai pas trouve l’equivalent en Francais d’une Gangster’s moll. La femme ou la conjointe au courant des activites criminelles et mafieuses de son mari et qui en profitent sans denoncer.