Titrant sur les déboires de Léa, maçon transgenre qui, depuis sa « transition », ne trouve plus tellement de travail, le Parisien ne peut bien entendu qu’abonder dans le sens de la victime sacrée, qui incrimine « un milieu macho et transphobe ».
La formulation de Léa – visiblement bien coaché(e) par les éducateurs néo-trotskystes de la révolution trans – souligne justement le lien d’engendrement entre deux glissades anthropologiques certes successives, mais qui, essentiellement, n’en font qu’une : féminisme et transsexualisme.
L’intransigeance des activistes trans face à ce « milieu macho et transphobe » qu’est la société humaine s’enracine en effet dans le souvenir (au demeurant truqué) des victoires du féminisme : comme on a réussi à faire admettre qu’une femme est un homme comme un autre…
Réussi, vraiment ? A le faire admettre par qui ? Par des sociétés depuis lors incapables d’assurer leur propre survie démographique, et par conséquent appelées à moyen terme à laisser la place à d’autres cultures, généralement moins féministes.
Pour en revenir au cas Léa : la problématique – objet de l’après-vente dont le Parisien a été chargé – des professions trans duplique le vieux dada féministe/queer de l’abolition des professions masculines.
Abolissons les chromosomes !
Résultat des courses : après plusieurs générations de bourrage de crâne intensif pour convaincre les petites filles qu’elles rêvaient de conduire des poids-lourds, et les petits garçons qu’ils brûlaient d’envie de changer des couches, les statistiques ont révélé un échec si complet que divers Etats encadrant certaines des sociétés les plus progressistes/libérales de la planète (comme la Norvège) ont officiellement renoncé à ces politiques d’endoctrinement – sucrant notamment les subventions qui maintenaient en vie, au sein de leurs universités, l’Ersatz de théologie manichéenne connu sous le nom de « théorie du genre ».
C’est pourquoi les plus conséquents des progressistes, assumant aujourd’hui pleinement leur haine de l’espèce humaine, sont passés corps et biens à la chapelle transhumaniste – tant il est évident que, tant que (à l’image de tous les mammifères supérieurs) les petits Sapiens naîtront équipés de chromosomes soit XX, soit XY, l’idéal occidental de l’humain indifférencié (manifesté, en français contemporain, par le tic verbal « les personnes ») viendra systématiquement se heurter, comme Léa, au mur du réel.
En attendant, comptons sur l’Occident néo-trotskyste pour en déduire qu’il faut nationaliser de facto le BTP, pour mettre fin à sa dérive transphobe.
La théorie du genre a été promue par un sadique défenseur de la pédophilie. Cette théorie a poussé deux enfants au suicide.
La tricherie a ses limites. Une connaissance a parmi ses proches une femme devenue homme. Enfin selon l’apparence. Eh bien, ce qui est observé, c’est qu’il (ou elle) réagit comme une femme dans les conversations, et que cela se remarque. Bref, la chirurgie et les traitements ne changent pas la psychologie. Décidément, le réel résiste!
Bien sûr, une femme opérée pour soit disant devenir un homme ne sera toujours qu’une femme mutilée, je n’en veux pas au malheureux transgenre victime de ses fantasmes mais au chirurgien qui l’a opéré qui est un docteur Mengele en liberté.