La religion antifasciste, c’est tout ce qui reste à Macron pour combler en paroles le vide abyssal du En même temps. Il ne rate donc aucun des rituels surannés de cette secte en bout de souffle, interrompant même ses semaines de jet-ski pour aller pontifier à Bormes-les-Mimosa, à la commémoration de tel ou tel débarquement, d’où le Huffington Post nous assure qu’il a lancé « à la jeunesse » un message qui devrait la passionner comme l’an 1944.
Mais c’est qui, au juste, la jeunesse ? Etant légèrement plus âgé que le mari de Brigitte, j’imagine que je n’en fais pas partie. Pas besoin, donc, de m’évangéliser dans le culte de 1944, année que j’ai souvenir d’avoir entendu mentionner dans les récits de feu mon grand-père : revenu cette année-là du régiment S.A. dans lequel Tonton Adolf l’avait embrigadé, il a tiré les leçons de Stalingrad, en rejoignant aussi sec la CGT, elle aussi friande de chant choral et de rafraîchissements pour adultes, mais alors, antifascistes, hein, pas d’ambiguïté !
Heureusement, Macron, secondé par le Huffington Post, vient au secours de ma perplexité :
« Emmanuel Macron a insisté sur les notions de devoir et de liberté, souhaitant mettre en garde la jeune génération (…) Une référence à peine voilée aux récentes émeutes… »
Du No pasarán au Pan-pan-cucul flash-ball
Eh oui, c’est vrai : comme, grâce au féminisme, nous ne faisons plus d’enfants, les « jeunes », ce sont ces arabes « racailles » qui, de temps en temps, sous l’influence délétère des jeux vidéo et de TikTok, se mettent à appliquer trop à la lettre le Coran, et notamment le verset 22 de la Sourate des Godasses : « Le centre commercial, ô Croyant, tu dépouilleras jusqu’à l’arrivé des cognes ! »
Et ces jeunes-là, du coup, ils étaient où, leurs ancêtres les Gaulois, en 1944 ? Sûrement dans des régions du globe hautement sensibilisées à l’épopée sublime de Bormes-les-Mimosa.
Soyons donc certains qu’ils vibrent en ce moment aux paroles du Petit, dont l’action évangélisatrice sera probablement amplifiée par une bonne rasade de pognon de dingue « à la Ville », plus, éventuellement, quelques interdictions d’associations « d’extrême-droite » par Gérald « Karcher de Dieu » Darmanin, pour marquer le coup.
Après tout, qui s’étonnera de constater que les gérontophiles excellent dans l’art de réchauffer ?
Le devoir et la liberté… C’est gonflé, quand même, pour un traître qui n’a de cesse d’annihiler les libertés…
Pour un bateleur dont s’est doté un peuple béat qui à oublié la diatribe du crime contre l’humanité proféré en Algérie contre l’ignominieuse France, il est bien dans sa comédia dell’arte. On a les gouvernants que l’on mérite.
“Pour être un politique, il faut avoir été opéré de la honte”.
Bernie Bonvoisin
Il parle du fachisme à la jeunesse ?, mais ces ‘jeunes’ ont ils la moindre idée de ce que cela représente ?
Ps je vous ai lu, mais je reconnais que je suis incapable d’entendre ne serait-ce que sa voix, de là à le voir, c’est trop demander
hors sujet, cette histoire à Maui, me touche profondément, moi si attaché à des champions comme Robbie Naish, celui là qui défie les grandes vagues. Toute l’histoire des peuples de Polynésie, à été détruite, en un jour, à grand coup de dew. Quelle bande de salauds ont pu faire ça. Réveil, ou bien!
Un ultime 11 septembre, sauf que là, on ne rigole plus, les Français, sont au courant,
Lundi bonheur, c’est la rentrée. Bon courage à vous, vous nous aidez.
Avec Maui, ils nous déclarent la guerre totale, la guerre d’Ukraine, c’est plus leur dada, ils perdent comme des gamins. Lundi soyons sérieux. Super sympa Robby Naish, c’est la nuit de la glisse, et faut savoir tenir son manche. Pour être aimé, et surtout, affronter l’immense vague.