À la suite d’une décision du 7 septembre 2023 de l’ANSM, entrée en vigueur le 14 septembre, tous les vaccins ont été classés sur la liste I des substances vénéneuses, à l’exception des vaccins grippaux et contre le Covid. Pour rappel, face à une prétendue hausse des cas Covid-19, le ministre de la Santé Aurélien Rousseau avait décidé d’avancer au 02 octobre le lancement de la campagne de vaccination. Malgré les soupçons de dangerosité des vaccins covid, les autorités sanitaires s’entêtent.
L’ANSM classe plusieurs vaccins sur la liste I des substances vénéneuses. Cette classification implique désormais que leur délivrance en pharmacie est soumise à une prescription médicale obligatoire. Selon l’ANSM, “les substances vénéneuses correspondent à toutes les substances stupéfiantes, psychotropes ou susceptibles de présenter un danger pour la santé (alors classées sur « liste I » ou « liste II » selon le degré de risques pour la santé). Lorsqu’une substance ou un médicament est classé comme « substance vénéneuse », sa dispensation en pharmacie est soumise à prescription médicale obligatoire, et pour les médicaments stupéfiants, à la présentation d’une ordonnance dite sécurisée”.
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Attendiez-vous autre chose de la part de ces idéologues ?
Appelons les des criminels
Les allemands ont dénombré une surmortalité de 66000 personnes en 2022. Très certainement en lien avec la vaccination débutée en 2021, nous savons que ce n’est pas un vaccin mais une thérapie génique dont l’expérimentation a été bâclée. C’est un scandale du Mediator puissance X.
Je suis d’accord avec vous mais même quand on dit ça certains répliquent que la situation aurait été encore plus catastrophique sans les vaccins Covid. Quand on dit que la natalité chute à cause des vaccins certains disent c’est parce que la jeunesse n’a pas le moral actuellement, cela n’a rien à voir avec les vaccins. D’un certain sens, les remarques se tiennent d’un côté comme de l’autre. Tant que des preuves scientifiques claires et nettes et révisées par des scientifiques indépendants, il y aura toujours des doutes d’un côté comme de l’autre.
Malheureusement…
Effectivement, les vaccins sons susceptibles de présenter un danger pour la santé.
Il suffit de chercher la liste des ingrédients…
https://www.cdc.gov/vaccines/pubs/pinkbook/downloads/appendices/B/excipient-table-2.pdf
On l’aura compris, les sels d’aluminium dans les déodorants, c’est pas bien, dans les vaccins, c’est bien.
Le Formaldéhyde dans les planchers, c’est mauvais, mais dans les vaccins, c’est bien.
On me dira que tout est une question de dose… Justement, il y a un facteur 100 à prendre en considération entre ce qui est ingéré et ce qui est inoculé.
Prescrire un vaccin doit être un acte réfléchi car cela peut faire plus de mal que de bien. Et un vaccin utile un temps peut devenir inutile donc nocif plus tard. L’obligation sur les bébés avec autant de vaccins est pour moi une hérésie justifiée par des intérêts commerciaux et sans doute politiques en tant que moyen de coercition. En ce qui concerne les injections géniques complètement expérimentales « contre » la covid, il m’apparaît inadmissible de les avoir rendues obligatoires surtout avec les doutes émis depuis le début sur l’efficacité et la toxicité par les labos eux-mêmes (pour qui arrivait à lire les contrats et les résultats des études entre les lignes), et la manipulation des résultats hélas fréquente dans le monde du médicament (Médiator, Vioxx, opioïdes aux USA….) a été dénoncée assez vite par des observateurs très compétents dans le monde entier qu’on a cherché à occulter voire (Chine par exemple) qui ont disparu. Il n’y a pas eu que le Pr Montagnier loin de là. En dehors de dénonciateurs incompétents ou « complotistes » pour employer ce terme galvaudé il y a eu nombre de scientifiques sérieux, de personnels soignants de terrain. On a abouti à des politiques sanitaires aberrantes et nocives en empêchant les médecins de soigner entre autres car on a rayé partout la liberté de prescription (la Justice américaine a mis en cause laFDA à ce sujet pour sa lutte contre l’Ivermectine). Certes il n’était pas facile pour des gouvernants surtout au début de l’épidémie de prendre les bonnes décisions ce qui appelle à une certaine indulgence mais assez vite on a eu à les yeux les moyens de voir plus clair et de corriger le tir. Il y a eu manifestement des raisons non médicales à cette gouvernance et ce n’est chez nous pas le mode décisionnel en conseil de défense qui pouvait inspirer confiance