Compilées par le Figaro, les réactions des ténors d’EELV aux conclusions du Conseil de planification écologique, prononcées lundi par Macron, sont, sans surprise, l’expression d’un maximalisme déçu. Mais c’est l’Obersturmführer Jadot qui résume le mieux cette position des miliciens locaux du fascisme vert-brun de Bruxelles : «L’écologie à la française, c’est la France condamnée par l’Europe.»
En d’autres termes : l’heure des petits capos d’EELV ne viendra réellement que lorsque la France, ayant perdu le très peu de souveraineté interne qui lui reste (et qu’elle a, de façon suicidaire, confié à l’incendiaire Macron), sera entièrement à la merci d’un gouvernement de protectorat pouvant enfin – à la différence de Macron – faire totalement abstraction de l’opinion populaire.
Or cette opinion, dont le politicard démocratique Macron doit (horresco referens) encore tenir compte, est de plus en plus hostile à cette religion des Khmers verts, jadis perçue comme un dada pour marginaux, mais qui montre désormais son vrai visage de programme de réagencement autoritaire de l’existence humaine, en comparaison duquel les divers puritanismes religieux du passé pâlissent.
D’où la rage froide de la femme blanche Tondelier contre un président dont l’« inaction totale en la matière participe d’un dangereux déni climatique. » Pour sa part, on aura compris qu’elle préfère de loin le déni démocratique, seul susceptible d’entretenir des inutiles comme elle dans des positions de pouvoir.
Et si c’était plutôt la France qui condamnait l’Europe ?
Les saillies démagogiques du mari de Brigitte en faveur de « la bagnole » (l’usage du français populaire, chez Macron, signalant systématiquement des moments d’insincérité intense : quand il adopte le dialecte sans-dents) suscitent chez ces gardes rouges-verts des crises de rage qu’on aurait cependant tort de s’imaginer sincères. Chacun joue son rôle, et les dindons de la farce seront, en fin de compte, toujours ceux qui auront cru aux diverses poses exhibées sur la scène de ce théâtre d’ombres.
Car ce qui distingue la Macronie de gouvernement de ses gardes rouges-verts n’a rien d’idéologique. C’est une différence purement positionnelle : formellement situés dans l’opposition, les petits capos davosiens d’EELV peuvent se permettre une liberté de parole (comprendre : de très rentable conformité avec le programme de Klaus Schwab) qu’un titulaire de mandat (a fortiori présidentiel) doit s’interdire.
Par ailleurs, ils pensent tous la même chose : que nous sommes trop riches, trop libres, et que l’Europe y mettra bon ordre.
« Le déni démocratique seul susceptible d’entretenir des inutiles comme elle » qualifie très bien madame Tondelier, encore que les verts ont bien rendu service un temps à l’Allemagne pour détruire notre électricité nucléaire et aujourd’hui ils servent les USA.
Les verts sont les dignes héritiers du NSDAP dirigé par un taré sexuel vegan. Que Tondelier se soit réjouie de la mort de 20000 personnes au Japon en 2011 aurait dû mettre la puce à l’oreille.