Avec son expérience personnelle des dynamiques de conflits et une vision fine des (auto-)manipulations psychologiques auxquelles donnent lieu toutes les guerres, Alexandre N nous propose une lecture originale de ce qui se joue au Proche-Orient. En fait, il nous montre comment réfléchissent les conseillers militaires des gouvernants partout où les États assument des politiques de puissance. On formule des hypothèses, au besoin “limites”, pour identifier les failles des autres puissances. Et pour se préparer au pire.
À la guerre c’est presque toujours pareil, dans la première phase :
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Effrayant…
La guerre de Troie n’aura pas lieu…
Difficile avec tout ça d’imaginer l’avenir sous un bon angle…
Merci. L’analyse est convainquante.
La seule attitude à avoir : nous ne devons pas prendre parti, nous devons respecter et prendre en considération le peuple israélien ET le peuple palestinien. Ensuite traduire en justice deux et uniquement deux individus 1/ Netanyahou 2/ le chef du Hamas qui réside courageusement au Qatar.
Prendre parti et sortir de la neutralité c’est être belliciste.