L’affaire a été révélée par le site Disclose et oblige désormais la CNIL à lancer une enquête administrative. De manière totalement illégale, la police française utilise depuis 2015 un logiciel de reconnaissance faciale conçu par une société israélienne pour pratiquer de l’espionnage sauvage dans nos rues. Le logiciel permet même de pratiquer des recherches par origine ethnique… Voilà une parfaite illustration du décalage qui existe entre une législation déjà beaucoup trop liberticide et le pouvoir que la police s’arroge sans aucun fondement pour fliquer les citoyens. Une reprise en main énergique de la police s’impose.
Selon le site Disclose, donc, et sans que la police n’ait opposé de démenti à ces affirmations, la police nationale aurait acquis en 2015 un logiciel israélien, « Video Synopsis », en toute illégalité et en toute discrétion, pour pratiquer de la reconnaissance faciale dans les rues. Ce logiciel contrevient à toutes les règles en vigueur et serait utilisé de façon totalement sauvage par nos représentants de l’ordre, si soucieux d’être respectés dans une population dont ils ne respectent pas eux-mêmes les règles.
Ce logiciel est distribué par la société israélienne Briefcam.
L’équipement n’a reçu aucune autorisation de la CNIL, à laquelle il n’est d’ailleurs pas déclaré.
Plus grave, plusieurs dizaines de villes auraient équipé leur police municipale avec ce logiciel, utilisé en Israël pour surveiller les populations palestiniennes.
Une enquête de la CNIL est en cours.
depuis que vous payez votre cardiologue avec une carte bancaire dont le nom du praticien
apparaît sur le relevé ,ou sa spécialité comme dans mon cas, toute personne ayant accès à mes données est au courant de ma pathologie.Il y a là une rupture du secret médical ,de fait ,dont se fout la CNIL qui a mon intervention sur ce sujet sous le coude depuis 10 ans ! l ÉTAT PROFOND se protège et prolifère, Israël ou pas !!!