Depuis la découverte de laboratoires américains de biotechnologies en Ukraine en 2022, ainsi que dans d’autres parties du monde, il est prudent si ce n’est impératif de faire preuve d’une grande méfiance à l’égard des agissements des Etats-Unis. Bien entendu, il ne faut pas attendre des médias mainstream de jouer un rôle de « lanceur d’alerte sur le sujet ». Au contraire, il suffit de lire Libération ou encore Le Monde pour apprendre que, selon eux, tout ceci appartient à une théorie du complot. Une de plus… Il est vrai qu’il est difficile d’aller à la « soupe aux dollars » et de maintenir une stricte déontologie journalistique. Aussi, lorsque l’armée russe fait état de forts soupçons sur l’implication des États-Unis dans la pandémie du Covid-19, tout cela est réfuté en chœur par une presse occidentale en première ligne dans la guerre du narratif. Le silence des journalistes règne également sur les opérations d’identification génomique, à l’œuvre outre-Atlantique. Autrefois porte-drapeau de la liberté, l’Amérique semble être devenue une machine infernale, prête à broyer tous ceux qui s’opposent à son hégémonie.
Cet article initialement publié sur le site octogon.media n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.
Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis ont annoncé l’expansion de la surveillance génomique des maladies infectieuses dans quatre principaux aéroports du pays. Les CDC justifient cette mesure par la nécessité de contrôler les futures épidémies. Cependant, certains scientifiques estiment qu’il s’agit en réalité de collecter de l’ADN et que les résultats peuvent être utilisés, et pas seulement pour le bénéfice de l’humanité.
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« Broyer », et non pas « broyeur ».