La loi immigration entame son parcours à l’Assemblée Nationale, où l’aile « gauche » du macronisme espère détricoter les amendements adoptés par les Républicains au Sénat. Dans une tribune publiée dans l’Opinion, diverses personnalités de ce macronisme de gauche ont clairement pris position sur le sujet, au nom de valeurs humanistes. Parmi les signataires, on retrouve un certain Jean-Marc Borello, fondateur du groupe SOS, et accessoirement maître initiateur de Macron. Et, comme par hasard, Borello a transformé le migrant en un commerce juteux, au nom de l’économie sociale et solidaire, bien entendu. Voilà encore un joli conflit d’intérêts dans la macronie.
Quand, aux côtés de Marisol Touraine, Pascal Brice, Philippe Aghion, Romain Goupil, Philippe Martin, Thierry Pech ou encore Jean Pisani-Ferry, Jean-Marc Borello prend position contre les amendements que les Républicains du Sénat ont apporté à la loi immigration, dans une tribune publiée par la très mondialiste Opinion, on a envie de sortir les mouchoirs. Enfin, des gens qui défendent l’humanité contre la barbarie.
On retiendra notamment cette phrase :
«une hostilité de principe désormais affichée non seulement à l’égard de l’immigration mais des étrangers eux-mêmes, le plus souvent à raison de leur origine et de leur culture»
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Le poisson pourrit par la tête.
C’est ce qui se passe avec la France et aussi avec l’Europe chaque jour.
Le côté positif c’est que tout cela va exploser. L’euro et l’Europe exploseront en 2026-2027. Les hedge funds se positionnent déjà, les capitaux quittent l’Europe à vitesse V. C’est que dans 3 ans.
Le chaos qui se met en place permettra après 2030-2032 l’arrivée de nouvelles formes de gouvernements en France et dans les autres pays européens.
Et la tête du poisson commence de pourrir par la langue ???? «celui qui contrôle le logos c’est à dire le langage contrôle la société.»
Faits et Documents n°519 fait un dossier complet sur Borello :
https://jeune-nation.com/lectures/faits-documents-portrait-jean-marc-borello-1
trafic d’êtres humains, ni plus , ni moins.
Quand on voit les arrivées à Lampedusa et ailleurs, on voit tout de suite que c’est organisé comme une opération militaire.
Par les mêmes qui nous enjoignent de culpabiliser pour la traite transatlantique…
L’horreur de découvrir que sous le prétexte d’aider, l’entreprise va jusqu’à l’exploitation de la détresse à des fins d’exploitation des corps lucratifs ! Le dégoût et l’indignation me gagne !!
Mais qu’est ce qu’on attend pour mettre tout ce bordel par terre ?
La France est sur le continent EURASIEN….La Russie et la Chine attendent leur tour …. Et sur le plan geo stratégique nous avons la chance d’ être dans le RIMLAND…pour les Américains : bad luck !……
Quand l’idéologie se monétise. Ça serait intéressant de savoir combien gagnent les complices des négriers.
Le contribuable sera heureux de savoir qu’il finance l’esclavage.
La vidéo avec Xavier Poussard est époustouflante, un immense merci au CdS de nous ouvrir les yeux sur le crime organisé qui est au pouvoir en France. Où se trouve l’Eliot Ness qui fera tomber l’Al Capone jean Marc Borello, le crime de pedophilie devrait être une bonne raison pour le condamner et profiter pour nettoyer le fumier de Science po Paris, du Siècle, de l’institut Montaigne et de L’Elysée.
Le statut associatif ne permet d’échapper ni au droit du travail, ni à l’inspection du travail, ni à la médecine du travail, ni aux institutions représentatives, ni au contrôle obligatoire d’un commissaire aux comptes. Que ces institutions ne fassent pas leur travail parce qu’elles sont poussées à ne pas le faire est une chose, mais franchement le statut associatif ne diffère du statut lucratif que par le fait qu’il n’y a pas de redistribution de bénéfices. Et le patrimoine de l’association dès lors qu’il a été acquis sur fonds destinés à un objet précis ne pourra être que dévolu à une association poursuivant le même objet. Mais bien sûr est ce que les inspections, les ARS et les départements qui doivent contrôler ces organismes le font ?
Il y a quand même quelques autres différences : la prise de risque financière et la capitalisation.
Ils nous fatiguent ceux qui transforment la question de l’immigration, qui est un problème politique en « hostilité à l’égard des étrangers ». Parce qu’évitant le débat politique, essentiel, ils nous assènent leurs leçons de morale afin de neutraliser leurs opposants.