Selon une récente étude britannique publiée dans le Journal of Epidemiology and Community Health, les traumatismes de l’enfance pourraient influencer l’effet du Covid-19. Les personnes ayant subi des violences physiques, émotionnelles ou sexuelles ou ayant vécu un évènement stressant pendant l’enfance sont plus susceptibles de développer la forme grave du Covid-19. Elles présentent plus de risque d’être hospitalisées ou de mourir de la maladie.
Une récente étude menée au Royaume-Uni suggère que les adultes ayant vécu des traumatismes pendant leur enfance sont plus susceptibles de subir des conséquences graves du COVID-19 et d’autres maladies. Cette recherche, basée sur 150 000 adultes, montre une corrélation entre l’adversité infantile et une probabilité accrue de décès ou d’hospitalisation liés au virus. Les traumatismes incluent la violence et le stress toxique. Cette découverte souligne l’impact à long terme du stress de l’enfance sur la santé.
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Merci messieurs les anglais mais il est archi connu que le stress a une action toxique sur le système immunitaire et finalement sur la santé. Par contre à ma connaissance le Covid n’a pas été grave pour les enfants sauf les porteurs de poly morbidités.
Ils ont donc trouvé qui éliminer : famille, entourage, proches.
En un mot : les méchants !
Ou comment la caste va récupérer la jeunesse, et la modeler à son image.
Un peu comme les souriants crétins dans le film “Starship Troopers”.
Un avenir radieux, qu’on nous dit…