Dans l’univers étonnant de la macronie, les affaires de moeurs se succèdent, pour le meilleur comme pour le pire. Surtout pour le pire, comme le rappelait récemment Xavier Poussard à notre antenne (n’oubliez pas de vous abonner à notre passionnante chaîne Youtube ! où nous distillons les informations…). Dernière en date : celui qu’Emmanuel Macron avait sondé un temps pour devenir son “spin doctor” (le gars qui vous prend la main et vous rassure quand vous pétez un câble sous l’effet du stress), Mathias Vicherat, un temps accointé à la fille de Drucker, et désormais directeur de Sciences-Po, s’est retrouvé en garde à vue pour s’expliquer sur des violences présumées contre sa nouvelle compagne. Il s’est fendu d’un mail aux étudiants de Sciences-Po pour expliquer que les ruptures n’étaient pas toujours heureuses. Cette clique gouverne la France en nous méprisant et en nous donnant des leçons…
Hier, on ne parlait que de cela… Ce sont les dures lois du vedettariat macroniste. Un petit malin, à la Préfecture de Police, a craché le morceau, à l’AFP ou dans une autre officine diffamante, et Mathias Vicherat, directeur de Sciences-Po, s’est retrouvé en une de la presse people.
Une chose n’était pas contestable : l’intéressé était en garde à vue pour s’expliquer sur de prétendues violences conjugales, que lui-même imputait à sa compagne, elle aussi inquiétée par la police. Il y a des gens dont les ruptures passionnelles passent inaperçues. Quand on est copain de promo à l’ENA de Macron, directeur de Sciences-Po, enfant chéri du système, et ex-compagnon d’une fille de Michel Drucker, la discrétion est moins facile à garder.
Toujours que si Mathias Vicherat avait accepté le poste de spin doctor (euh… pardon… de conseiller communication) que Macron lui avait proposé, l’Elysée se serait retrouvé dans de beaux draps.
Quant à Sciences-Pipeau, après la mort malaisante de Richard Descoings à New-York, puis le départ mouvement de Frédéric Mion dans la foulée de l’affaire Duhamel, voilà quand même une nouvelle affaire de moeurs pour son directeur général, contrainte d’envoyer un mail d’excuses aux étudiants. Quelle étrange République finissante.
Apres l’histrion et l’obligeant (Brigitte Taittinger, Olivier Duhamel, Aurelie Filippetti) voila le violent. L important c est le parcours SNCF.
“Cette clique gouverne la France en nous méprisant et en nous donnant des leçons…”
Et oui, car comme dirait le Fantomas du Havre : “Ca passe.”
Pendant combien de temps encore ?
“A failli”, “s’il avait accepté” oui, mais rien de tout ça ne s’est passé, alors de quoi parle-t-on ici ?
Quand j’étais jeune et que je fréquentais Nancy et ses fêtards, l’homosexualité de M. Lang paraissait être une évidence pour les gens qui m’entouraient. Pour ce qui est de la pédophilie, nul n’en parlait. Vidéo passionnante. Merci.
Bonjour. Votre vidéo passionnante m’a laissé sur ma faim. Comment trouver les éléments réunis par M. Poussard pour les décortiquer? Il y a là matière à polar. Je me débrouille mieux en terme d’écriture que pour défricher le Net et je fais donc appel à vous. Merci.
https://www.egaliteetreconciliation.fr/Qui-est-Jean-Marc-Borello-1-Le-numero-519-de-Faits-Documents-est-disponible-72984.html
https://faitsetdocuments.com/index.html