C’est le Wall Street Journal qui le révèle dans une enquête très fouillée : alors qu’il avait écopé d’une peine de prison, en 2008, pour des relations sexuelles tarifées avec une mineure, Jeffrey Epstein a continué, jusqu’en 2009, le “trafic” de jeunes mannequins pour la caste aux Etats-Unis (et ailleurs…). Le quotidien américain souligne notamment l’étrange présentation d’une jeune mannequin à Bill Gates en 2014.
Le Wall Street Journal publie une série de photos (sans le visage des mannequins) prises par Jeffrey Epstein avec des “people” de tous horizons, dont Bill Gates, mais aussi Ehud Barak, ancien Premier ministre israélien, ou Woody Allen, avec de jeunes mannequins qu’il leur présentait au cours des années 2010, c’est-à-dire après sa condamnation pour faits de moeurs. Ceci ne signifie bien entendu pas que les photos prouvent qu’il y ait eu des actes délictueux. Simplement, on peut se demander pourquoi des personnalités en vue, donc exposées, se sont compromises en s’affichant avec de jeunes mannequins présentés par un homme sulfureux, condamné officiellement pour des pratiques proches de la prostitution, y compris avec des femmes mineures.
Très fouillée, l’enquête du Wall Street Journal sur laquelle le cartel français de la presse subventionnée fait une étrange impasse détaille les activités d’Epstein après sa condamnation de 2008. Elle ne manquera pas de relancer les spéculations sur la technique du “Kompromat” qu’Esptein aurait pu utiliser pour “tenir” la caste américaine. Et elle ne manquera pas relancer les spéculations sur les commanditaires de cet étrange agent qui a mis en difficulté de nombreux grands de ce monde pour les avoir reçus sur son île en charmante compagnie.
Insistons toutefois, pour faire pièces à des fantasmes qui brouillent les pistes, que si Epstein pouvait mêler des mineures à ses activités, il ne s’agissait pas d’enfants. La confusion avec la pédophilie est donc hasardeuse et présente l’inconvénient de diluer les crimes d’Epstein dans un grand tout indistinct qui dissimule la nature politique de ses activités.
Quel dommage que Jeffrey Epstein se soit suicidé malencontreusement et ne puisse plus nous expliquer son activité de proxénète de la jet set. Je ne voudrais pas être à la place périlleuse du magistrat qui instruit l’affaire, à moins que l’enquête ne soit classée sans suite.
La juge qui s’occupait de l’affaire a été mise sous contrat , mais elle était absente quand le tueur est arrivé et c’est son fils ( de mémoire) qui s’est pris une balle.
Toute cette histoire est ténébreuse.
Le complice d’Epstein, un français nommé Brunel ( agence de mannequins) n’a pas été inquiété pendant deux ans, puis sans doute à cause de pressions, a été interpellé alors qu’il s’envolait pour l’étranger.
Lui aussi s’est suicidé à la prison de la Santé. C’est bien commode.
Mais cependant, si des jeunes filles souhaitent prêter leurs charmes à des vieux bonshommes avides de chair fraîche, ça les regarde.
Mais quand elles ont douze ans, c’est une autre histoire.
La jeune fille qui s’est enfuie à la nage ( repêchée par un bateau des îles Vierges je crois) avait 14 ans.
Séquestration ?
Ça y ressemble.
Et la question de savoir ce que sont devenus tous les documents, films etc. saisis reste ouverte.
De même que celle du pourquoi Epstein, se sachant proche d’une arrestation, a fait couler du béton qui a entièrement scellé les sous-sols.
Enfin je crois savoir que son frère a fait faire une autre autopsie qui est en désaccord avec la thèse du suicide.
Je me demande où en est cette bien étrange histoire.
À propos de l’euro numérique vous n’avez pas expliqué l’intérêt pour un particulier d’en détenir
Epstein fait intégralement partie de la caste suprématiste occidentale. Il représente même une fonction interne de cette caste très prospère et lucrative.
Le silence des mérdias mainstreams sur cette affaire est assourdissant.