Donc, il y a des bas salaires en France, ce qui constitue un véritable fléau. Et, comme par hasard, plus le temps passe, plus la France se smicardise. Les causes en sont bien connues : les cotisations sociales décroissent avec les salaires. Plus les salaires augmentent, plus la taxation du travail progresse pour financer la « solidarité ». Que faire ? Imposer des hausses de salaires avec des usines à gaz bien entendu. Et surtout pas repenser une solidarité qui permet d’avachir la population en la gavant d’aides pour qu’elle ne travaille pas.
On s’est bien amusé en regardant le discours de politique générale du Premier Ministre, qui a, pour l’essentiel, consisté à mettre dans la bouche du plus jeune Premier Ministre de la Vè République les recettes les éculées et les plus inefficaces que le régime pratique depuis 40 ans, grâce auxquelles il ruine le pays.
Donc, sur la question entêtante des bas salaires, Attal a ressorti la vieille soupe, qui a conduit à ce qu’il a appelé lui-même la smicardisation du pays : plus on baisse les salaires, moins le travail est taxé. Plus on augmente le salaire, plus le travail est taxé. Résultat : les employeurs maintiennent les salaires le plus près possible du SMIC. Bizarre, qui aurait pu imaginer cet effet ?
Le bon sens consiste évidemment à baisser de la même manière le coût du travail quel que soit le salaire, pour pousser les employeurs à les augmenter. Cela suppose l’impopularité de dire aux Français qu’on ne peut pas se plaindre de s’appauvrir tout en réclamant des revenus d’inactivité toujours plus élevés. Tôt ou tard, il faudra « atterrir » et admettre que la dépense de protection sociale sert d’abord à dominer les masses en les gavant d’allocations et de subsides divers pour les maintenir au calme. De ce point de vue, la dépense de protection sociale anarchique n’est pas une solution aux problèmes, mais bien le problème lui-même.
Loin de ce positionnement raisonnable et rationnel, Attal a repris fidèlement les éléments de langage qui nous ont amené à ce désastre. Il ne faut pas réformer la solidarité, il faut obliger les employeurs à augmenter les salaires avec une cascade de comités et de réunion qui démontrent leur inefficacité depuis 40 ans. Mais qu’importe au fond ! l’essentiel est de ne rien changer, en amusant la galerie et en calmant les spectateurs le plus possible.
Continuer et accentuer ce qui ne marche pas est bien un vieux principe communiste, non?
C’est PAS L’ETAT QUI FIXE LES SALAIRES MEME POUR LES FONCTIONNAIRES CE SONT LES PATRONS ET DANS LE PRIVE FAUT LECHER LE DERCHE DE SON PATRON QUAND AU CHARGES SI ON BAISSE LESS RENTREES POUR LA RETRAITE DEJA QUE CELLE-CI EST FAIBLE ON AURA PLUS GRAND CHOSES ET POUR LA MALADIE PAREIL.
Combattants du Hamas….
Vous voulez dirent terroristes du Hamas ..
Pas un mot sur les plus de 100 otages..
et ceux massacrés de façon inimaginable..
Et si Trump revient au pouvoir, il dialoguera
avec Poutine lui seul a la trempe de le faire.
Ca fait longtemps que l’on a compris qu’il n’y avait rien à attendre de Macron et de son équipe de bras cassés, tout aussi incompétents que diplômés.
Comment Attal qui dispose de zéro expérience peut-il être pris au sérieux ?
De nouveau, M. Asselineau a les justes mots pour parler de toutes cette génération de young leaders.
Ma foi, il y a un principe bien connu en entreprise qui s’appelle le « benchmarking ». Cela consiste à regarder ce que font les autres pour identifier ce qui marche bien.
Si on voulait vraiment faire baisser le chômage et augmenter le pouvoir d’achat, on s’inspirerait de ce que font les pays à faible taux de chômage, Singapour, Suisse, Norvège… Ah mais horreur, il faudrait baisser les charges sociales et réduire le périmètre de l’Etat…
Finalement non, on va garder notre chômage…
Comment l’Assemblée Nationale écouterait-elle le Premier Ministre quand le gouvernement n’écoute pas l’Assemblée, ne respecte pas ses votes ?
Comment respecter par le silence un chef de gouvernement qui n’a pas choisi et nommé lui même son gouvernement conformément à la Constitution, qui se présente avec un gouvernement provisoire incomplet, sans ses secrétaires d’Etat ?
Comment écouter avec attention le discours de politique générale du PM quand le Président auparavant lui a volé l’effet d’annonce ?
Il y aura toujours des puces n’en déplaise aux amateurs de pesticides. Désmicardiser? Quelle vulgarité inadmissible venant d’un PM. S’agit-il de faire disparaître tous les valeureux travailleurs condamnés à recevoir des bas salaires tant la productivité générale des français est grevée par les (overheads) frais fixes de l’Etat qui pèsent sur les comptes d’exploitation de tout ce qu’ils entreprennent.
Délester l’Etat de son obésité et sa lourdeur en cessant de le gaver comme une oie, n’aurait-il pas été plus sympathique? Mais à qui profite le foie de l’oie?
Délire chez les BLOB !