Le tournant énergétique compte parmi les facteurs d’influence les plus forts et les plus néfastes pour l’économie de la République fédérale et donc pour l’économie de l’Europe. Cette politique est menée dans un double jeu entre la Commission d’Ursula von der Leyen et le cabinet d’Olaf Scholz. L’Allemagne est certes en récession, les prix de l’énergie pèsent autant sur l’économie que sur la société, et pourtant des décisions politiques importantes sont soumises au diktat de la transition énergétique. Le gouvernement fédéral allemand n’hésite même pas à enfreindre la Constitution – il suffit de penser à la crise budgétaire actuelle. Celle-ci a été déclenchée, comme on le sait, parce que des autorisations de crédit issues de la crise Covid-19 devaient remplir les caisses du fonds climatique.
Les voix critiques ne sont pas les bienvenues, même lorsqu’elles émanent de personnes compétentes. Le tournant énergétique est devenu en peu de temps une question de foi. Avec le scénario menaçant du “changement climatique d’origine humaine”, on met en scène une crise, on crée une situation d’urgence qui ne tolère aucune contradiction.
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Qui détient le pouvoir, en Allemagne comme ailleurs? Dans quel but?
La transition écologique est une arme de destruction massive de l’Europe, de nombreux prix Nobel ont déclaré l’année dernière qu’il n’y avait pas d’urgence climatique, les chinois les indiens n’ont pas l’intention de décarboner. Seul les européens vont se suicider avec la décroissance, qui portera la contradiction au dénommé Jancovici véritable danger publique.