Cheffe des maladies infectieuses de l’hôpital Saint-Antoine, Karine Lacombe, accuse Patrick Pelloux d’agression sexuelle et morale. L’accusation a été confirmée par Agnès Buzyn et Roselyne Bachelot. Pendant la crise du Covid, tout comme sa consœur Karine Lacombe, Patrick Pelloux a été régulièrement invité sur les plateaux de télévision, faisant partie de cette « garde rapprochée » de médecins de la technostructure sanitaire connus pour leurs discours covidistes, enfermistes et anxiogènes. Si l’infectiologue Karine Lacombe s’était illustrée comme pro-confinement, l’urgentiste Patrick Pelloux, s’était prononcé en faveur de la vaccination obligatoire des enfants contre le Covid-19. Désormais, elle accuse l’urgentiste d’être un « prédateur sexuel».
Dans un récent entretien accordé à Paris Match, Karine Lacombe a levé le voile sur les comportements inappropriés qu’elle aurait subis de la part de Patrick Pelloux. Karine Lacombe, médecin star de la technostructure sanitaire, accuse ouvertement Patrick Pelloux, une figure respectée dans le domaine médical, de comportements déplacés et d’agressions sexuelles. Après l’industrie cinématographique et le secteur militaire, c’est maintenant le domaine hospitalier qui est touché par le mouvement #MeToo.
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Comme le monde du spectacle, le monde politique , le monde universitaire, le monde médical ont été des acteurs débridés de la libération sexuelle soixante huitarde. Ce sont les machos, les mâles dominants comme Patrick Pelloux, qui ont été les grands gagnants de la contraception, l’IVG et de la libération des femmes. Aujourd’hui nous avons un retour du balancier Me Too contre les dragueurs, l’histoire est cyclique.
Les loups se dévorent entre eux.
Deux larbins vendus du mondialisme fasciste qui se déchirent ? Inutile de s’attarder sur eux. Qu’ils se déchirent le plus possible, c’est tout ce que je leur souhaite.
Parfaitement d’accord avec vous .
Il est indéniable que cela fait très longtemps que les professeurs qui opèrent, ainsi que les infirmières sont à poil sous leurs blouses, et que les parties de jambes en l’air sont monnaie courante dans les hôpitaux ; alors, qu’on arrête de faire semblant d’être étonnés de ce qui arrive maintenant, car il y a de plus en cocus et cocues dans le personnel des hôpitaux, comme si cela était tabou !!!
Avec le temps tout fout le camp.