Toutes les nouvelles ne sont pas mauvaises dans l’actualité. À l’usure, la presse (plus ou moins) libre parvient à mettre à genoux la presse des milliardaires subventionnée à coups de centaines de millions par Macron. Les plans sociaux se succèdent chez les propagandistes officiels du pouvoir, auto-proclamés “médias” d’information. Nous faisons le point aujourd’hui de leurs difficultés.
Plusieurs titres de presse “mainstream” rencontrent de sévères difficultés malgré d’importantes subventions versées par la caste pour acheter leur docilité :
- 20 Minutes, l’un des premiers sites français d’actualité, ouvre un plan social
- Marianne, l’hebdomadaire de Natacha Polony et surtout du milliardaire tchèque Kretinsky, est à vendre, à cause de sa ligne trop “souverainiste radicale”
- le magazine hyper-macroniste Challenges, détenu par le quasi-centenaire Claude Perdriel, et par Bernard Arnault, va bénéficier d’une augmentation de capital de 7 millions €
- Capital, de Prisma Presse, va faire l’objet d’un plan de départs volontaires
Dites donc, ça n’a pas l’air simple, la presse, en ce moment.
Il faudrait supprimer l’audiovisuel publique et les médias subventionnés, car ils ne respectent pas la pluralité de l’information, pourquoi la France devrait garder une presse du style de la Pravda ?
Étrange de mettre Marianne dans le lot, qui essaie de donner un ton différent de ladite presse subventionnée en général.
Hélas de nos jours il est de plus en plus difficile de faire différence entre vérité ou mensonge, antagonisme ou complémentarité.
Néanmoins en ce qui concerne Marianne, suffit de considérer son propriétaire.
Lequel a menti sur le modèle économique de sa feuille de choux : Elle est financée par les abonnements des bibliothèques et médiathèques publiques.
Sans oublier ses fraudes à la TVA sur la presse.
Challenges, de bons petits macronistes.
Fusion entre tout ces acteurs, comme pour France Inter et le sévice public, durer un peu plus et enfumer définitivement les populations dans un dernier coup de collier ?
Belle illustration des bienfaits de la concurrence et de la compétition internationale.
Le monopole de l’information française, autrefois institué par l’ORTF et détruit par Giscard en 1974, s’est reconstitué sous forme d’un réseau capitaliste de connivence avec l’Etat bureaucratique. Cela ne marche pas grâce à la concurrence des medias libres ou étrangers francophones, c’est une bonne nouvelle pour les libertariens.
Reste à inventer une loi sur le contrôle de l’ingérence étrangère…ou recréer un monopole bien de chez nous.
Je partage votre point de vue.
Peu importe l’ingérence étrangère si tout le monde a le droit de le faire et pas que les US ou que les chinois
Ensuite les gens lisent ce qu’ils veulent mais il devrait y avoir une obligation de publier en dernière page les modes de financement mais également les liens des journalistes avec tel ou tel parti ou autre.
Les lecteurs seraient libres et éclairés et auraient les mains libres pour lire ce qui leur convient
Comme pour le monde médical la presse devrait annoncer ses conflits d’intérêt !
Les bonnes nouvelles font plaisir! Il faut espérer que s’ils sont remplacés par d’autres médias toujours sous argent publique, les gens ne tomberont pas dans le panneau et ne leur feront pas confiance tant que l’Etat continue de protéger les puissants contre le peuple.
Pas bien grave si l presse écrite disparaît, car le peuple bien formaté “réagit” aujourd’hui uniquement sur de l’émotionnel qui ne requerra que des réflexes humains. La preuve avec le génocide infernal de Gaza, qui devient problématique pour cette caste immonde. Ils ont d’ailleurs un sérieux souci ne trouvez-vous pas? Qui peut engendrer une réaction en chaîne à leur propre détriment d’un point de vue mondial géopolitique, d’où la formidable accélération de leurs divers calendriers mondialistes…..
A vouloir courir plusieurs lièvres à la fois…!
Dans un même temps on parle toujours de Gaza ; il faut aussi la question du pourquoi maintenant ?
Pourquoi ne parle-t-on plus des massacres en Afrique, dans d’autres pays du moyen orient, etc…
Les victimes de Gaza sont importantes comme toutes les autres dont on ne parle pas ou plus
Déjà rien que là c’est biaisé