Même si, à l’approche des élections, Macron a fait passer le mot de ne pas dramatiser la situation de nos finances publiques, il y a quand même péril en la demeure. On n’en veut pas seulement pour preuve le processus pour déficit excessif que la Commission Européenne a lancé dans l’indifférence générale. On évoquera aussi la feuille de route que la FMI a dressée pour l’après-élection. Et si l’on fait la somme des réformes demandées par cette institution spécialisée de l’ONU, le moins que l’on puisse dire, c’est que l’addition va commencer à être salée. Notamment pour les détenteurs de contrats d’assurance-vie… et pour les bénéficiaires du crédit impôt recherche.
Les élections de ce dimanche devraient être beaucoup moins pacifiques et indifférentes que certains ont voulu le faire croire. Très rapidement, en effet, le gouvernement (s’il reste en place) devrait embrayer sur une hypothétique reprise en mains des finances publiques, avec, le 18 juin (nous l’avons évoqué), la remise du rapport rédigé par la task force réunie par Gabriel Attal pour “taxer les rentes”. Parallèlement, le programme de stabilité envoyé en avril devrait déboucher sur des réformes contestées, comme celle de l’assurance-chômage (les décrets sont devant le Conseil d’Etat pour avis).
Rappelons que la Commission Européenne a demané 25 milliards d’économies pour 2025, quand le gouvernement en envisageait 20. Mais c’est surtout le programme discret du FMI qui retient l’attention.
Ce contenu est réservé aux abonnés
Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.
toujours la même chanson, austérité,chômage, réduires les dépenses sociales et d’éducation.
Quid de l’évasion fiscale? de la désindustrialisation? de la destruction de secteurs publics qui fonctionnaient parfaitement Poste, Télecom, sncf, la santé …remplacer le recul de la taxe sur les carburants par une taxe transport sans favoriser le rail, c’est encore une fois pénaliser le plus grand nombre, les gagnants les oligopoles mondiaux, et européens trés souvent anglosaxons!
la seule chanson inventer de nouvelles taxes, ne pas baisser les taxes sur la nourriture, la restauration, favoriser la malbouf anglosaxone! Merc le FMI et Bruxelles.
Si vous ne voulez pas d’austérité, il suffit de gérer correctement son budget, pas dépenser des sous qu’on a pas pour des projets débiles dont le seul objectif est permettre la réélection de leurs promoteurs.
Plan de route en 5 étapes : 1/ Il me semble que le bon sens serait de congédier le capitaine incompétent qui pilote le navire. 2/ retour à la souveraineté politique et monétaire de la France. 3/un audit des dépenses de l’état. 4/baisser les charges sociales et fiscales sur les entreprises. 5/le retour de la rentabilité des entreprises va créer des emplois et des rentrées fiscales.
Agrandir les salles de classes et globalement les capacités de détention des élèves, poser des miradors et des barbelés autour des établissements, associer pas trop de profs à spas mal de surveillants armés jusqu’au dents pour “mieux prendre en charge la jeunesse et la mieux éduquer” et faciliter le passage vers la prison qui est l’horizon de bien trop de jeunes!