Avec la fin des restrictions sanitaires et la normalisation progressive de la vie quotidienne, les autorités sanitaires françaises veulent maintenir un climat anxiogène sur le COVID . Les derniers chiffres de Santé Publique France publiés le 12 juin 2024 ont révélé que les cas de Covid-19 ont progressé depuis le mois de mai en France. Une hausse de 51% des actes pour suspicion de Covid-19 a été constatée entre le 3e et le 10 juin.
Le Covid-19 n’a pas encore disparu d’après le dernier bilan publié par Santé Publique France ce 12 juin 2024. Le nombre de cas a même augmenté ces dernières semaines. En effet, une hausse des actes pour suspicion de Covid-19 de 51% a été constatée entre le 3 et le 10 juin. Les passages aux urgences pour suspicion de Covid-19 ont également augmenté de 52% au cours de la même période.
Une hausse des cas de Covid-19
Cette hausse des cas concerne toutes les classes d’âge. Mais elle est beaucoup plus importante chez les plus de 75 ans et les moins de 2 ans. Notons que sur le JN1 est la souche dominante en France actuellement. C’est un sous-variant d’Omicron. Le nouveau variant nommé KP.2, surnommé FLiRT, commence aussi à se propager, surtout en Espagne et aux Etats-Unis.
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Evidemment puisque la Commission européenne vient de signer, au nom des États-membres un nouveau contrat d’achat de 665.000 vaccins “prépandémiques” et une option pour 40 millions de doses supplémentaires…
La gestion de la santé n’est pas une prérogative de la commission européenne, c’est un nouvel abus de pouvoir qui nous mène à l’Europe fédérale que les français ne veulent pas. La mise en commun des dettes des européens est une manière anti démocratique de forcer la main des citoyens. Il faut comprendre que Macron a volontairement dilapidé de l’argent « quoique qu’il en coûte « pour provoquer un déficit abyssal et pousser à la France de rentrer dans l’