Après l’orchestration de la peur autour du virus H5N1 et l’émergence d’une potentielle épidémie de la variole simienne(mpox) en Afrique, une maladie inconnue ferait des dizaines de morts au RDC Congo. Dans la province du Kwango, dans l’ouest de la République démocratique du Congo, une maladie inconnue aurait provoqué des dizaines de décès. Les symptômes seraient similaires à ceux de la grippe. Cette « maladie inconnue » qui ressurgit actuellement, rappelle déjà le spectre des menaces sanitaires.
Une épidémie d’origine inconnue frappe sévèrement la province du Kwango, située dans l’ouest de la République démocratique du Congo (RDC). Les localités de Panzi, Kamucheke et Mukanza sont particulièrement touchées, avec un bilan provisoire de 143 décès enregistré au 2 décembre, selon les déclarations du vice-gouverneur de la province, Remy Saki.
143 décès signalés au 2 décembre
Une épidémie causée par une maladie non identifiée s’est déclarée à Panzi, Kamucheke et Mukanza, des localités de la province du Kwango, dans l’ouest de la République démocratique du Congo (RDC).
Selon le vice-gouverneur, Remy Saki, les victimes présentaient les mêmes symptômes que la grippe. On cite entre autres la fièvre, la toux et les maux de tête. Le ministre provincial de la Santé, Apollinaire Yumba, a également révélé une baisse anormale du taux d’hémoglobine dans le sang. Au 2 décembre, cette maladie inconnue aurait déjà fait 143 décès selon le bilan officiel.
Une recommandation de ne pas toucher les cadavres
Les autorités congolaises ont rapidement déployé une équipe d’experts sanitaires pour effectuer des prélèvements sur les cas suspects. Ces échantillons seront analysés à l’Institut national de recherche biomédicale (INRB) afin d’identifier la nature exacte de cette maladie.
En parallèle, des mesures préventives ont été instaurées pour limiter la propagation. Selon Remy Saki, cela inclut :
- La limitation des déplacements des populations dans et hors des villages touchés.
- Le renforcement des mesures barrières similaires à celles appliquées pendant la pandémie de Covid-19, notamment le port du masque.
- L’interdiction de toucher les cadavres
Alors que le mystère plane toujours sur l’origine de cette maladie, les habitants du Kwango et des zones environnantes restent dans l’incertitude, espérant une réponse rapide et efficace des experts médicaux.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) aurait envoyé une équipe sur le terrain pour évaluer la situation et coordonner les efforts avec les autorités locales, selon une source anonyme au sein de l’organisation.
Rejoindre la chaîne « Patrimoine »
l’OMS appartient quasiment à Bill Gates qui a des laboratoires pharma en Afrique. Cela est plus inquiétant que la maladie elle-même. Le virus Ebola a déjà fait plus de 25 apparitions depuis 1976, tuant des centaines de malades sur de courtes périodes.