Prenant prétexte de la progression rapide du sous-variant d’Omicron BA.5, Biden tente désespérément de promouvoir la 4e dose. En effet, il prévoit de proposer une seconde injection de rappel à tous les adultes. La mise en exécution de ce plan dépendrait du nombre d’hospitalisations.
Aux Etats-Unis, les autorités sanitaires s’attendaient à ce que les vaccinations et les mesures sanitaires strictes freinent la propagation des infections et minimisent les cas graves.
Au mois de mai 2022, le pays a franchi le palier du million de morts du covid. Avec les nouveaux sous-variants d’Omicron BA.4 et BA.5 hautement transmissibles (mais peu dangereux), les experts du CDC américain (Centers for Disease Control and Prevention), ont aussi annoncé une hausse substantielle de la propagation du virus. Le problème commence quand ils annoncent des hospitalisations en hausse – sans que l’on ait un ration entre hospitalisations et nombre d’infections. De nouveau, les bureaucrates de la science exhortent l’administration Biden à préparer le public à un nouveau dérapage de l’épidémie et à effectuer à temps les injections de rappel. Ou bien veulent-il fournir au gouvernement des arguments dans un contexte où le scepticisme se répond face aux vaccins utilisés contre le COVID?
Un plan pour contrer les dégâts causés par le sous-variant BA.5
Le conseiller médical en chef de la Maison Blanche, le Dr Anthony Fauci, et d’autres hauts responsables de l’administration Biden sont préoccupés par la forte progression du sous-variant BA.5 dans le pays. Extrêmement contagieux, il aurait provoqué une hausse des cas d’hospitalisations. Mais ils ne donnent aucune analyse sérieuse des chiffres.
La Maison Blanche a mis au point un nouveau plan de lutte. Il consiste à proposer une seconde dose de rappel à tous les adultes dans le cas où le nombre d’hospitalisations continue à augmenter.
Selon le Dr Ashish Jha, coordinateur du programme Covid à la Maison Blanche, les responsables fédéraux de la santé ont déjà pensé à la possibilité de faire une nouvelle injection de rappel aux adultes face à la circulation rapide des variants BA.4 et BA.5.
La FDA et les CDC comme seuls maîtres de décision
Selon les données des CDC plus de 80% des nouveaux cas d’infection au Covid-19 aux Etats-Unis sont causés par les sous-lignages d’Omicron BA.4 et BA.5 au cours de la semaine du 9 juillet.
Pour rappel, les autorités sanitaires fédérales ont déjà autorisé l’administration d’un second rappel pour les personnes immunodéprimées et celles âgées de 50 ans et plus en raison de la propagation rapide du sous-variant BA.2. Les CDC ont révélé que seuls 30% des personnes éligibles ont reçu une injection.
Il s’avère que le plan évoqué précédemment n’est pas encore finalisé. Par ailleurs, la Maison Blanche n’a pas voulu confirmer sa mise à exécution.
Selon M. Jha, la décision finale reviendrait toujours à la FDA (Food and Drug Administration) et aux CDC. Il a ajouté que les personnes éligibles au rappel devraient se faire vacciner pour profiter d’une protection en automne et en hiver.
Pour rappel, fin mars, l’Agence des aliments et des médicaments (FDA) a validé l’administration d’une quatrième dose de rappel aux patients de 50 ans et plus, quatre mois après leur troisième injection. De son côté, le Dr Ashish Jha espère que le Congrès validera la demande de nouveaux fonds Covid d’un montant de 22 milliards de dollars. Il a indiqué que si la nation ne dispose pas de doses de vaccins et de traitements suffisants, de nombreuses vies seraient menacées. Affirmation sans fondement scientifique mais qui est bien dans la lignée des politiques sanitaires mises en place depuis deux ans.
Big Pharma est une industrie mafieuse qui alloue chaque année des milliards pour acheter des études scientifiques bidons, des médecins, des journalistes, des politiciens, des statisticiens, des instituts de prédiction, bref, toute personne ayant un rôle pour orchestrer ensuite sa tromperie vaccinale et vendre un produit expérimental qui produit des ravages chez les personnes hypnotisées par leur télévision. Cette injection mortifère pour un virus qui a remplacé tous les virus grippaux de la terre et dont c’est jamais arrivé auparavant dans toute l’histoire de l’humanité, provoque des arrêts cardiaques, des cancers à tout va, de la stérilité chez les jeunes, bref, le plan de Davos et sa réduction de la population est en marche et il faut vraiment être sourd/aveugle/muet pour ne pas le voir soi-même simplement en s’informant un peu ou en discutant à droite et à gauche. Demandez aux femmes qui ont pris cette merde comment se passe à présent leurs règles. Allez sur le portail Telegram et rejoignez n’importe quel réseau qui parle des effets secondaires de cette saloperie et quand vous verrez tous les témoignages des personnes détruites à vie ou des morts d’enfants/d’adolescents, peut-être qu’enfin les peuples du monde vont se réveiller car en face nous avons des tueurs de masses et autres psychopathes qui massacrent leurs congénères pour de l’argent et du pouvoir, des êtres misérables à l’existence misérable et dont le retour du bâton sera rien en regard de tous les morts qu’ils ont sur leur conscience.
Et en France, on cherche à neutraliser les médecins qui soignent selon leur conscience
https://youtu.be/NnIbIEFd37Y
pour essayer d’aider ces médecins courageux
https://tpmd.fr/
« Le conseiller médical en chef de la Maison Blanche, le Dr Anthony Fauci, et d’autres hauts responsables de l’administration Biden sont préoccupés par la forte progression du sous-variant BA.5 dans le pays. »
Non: le conseiller médical en chef de la Maison Blanche, le Dr Anthony Fauci, et d’autres hauts responsables de l’administration Biden ont un plan com pour persuader la population que l’heure est grave. Pour ce faire, ils sont aidés par des tests PCR inappropriés, non ciblés et non normalisés.
Je ne voudrais pas dire de bêtise, mais je crois que les PCR ne sont plus utilisés aux USA depuis le début de l’année contre la Covid. Ils ne sont pas considérés comme fiable.
Finalement, un écolier peut être, leur fera remarquer qu’il vaut mieux ne pas se faire protéger, plutôt que de se faire vacciner et risquer d’en décéder.
Combien de bacheliers en France, philosopheront sur cette existentielle question?.
Réponse, le baccalauréat 2023, risque de ne pas se faire, dans la mesure ou la colère des français aura atteint son apogée après la gestion calamiteuse de la mascarade covid19 par le gouvernement Macron1 puis celle ruineuse de la crise des énergies gazières et pétrolières par le gouvernement Macron2. L’astre Jupitérien a perdu son orbite quinquennal et le dieu du feu qui lui succède pour 5 ans prévu, disparaitra comme les comètes.
Si j’étais de méchante humeur ce qu’à Dieu ne plaise, jésus Marie Joseph, je dirais à Biden de s’en servir pour soigner ses hémorroïdes. Des 3 précédentes doses aussi, au diable la varice ????
Variants, sous-variants, et bientôt sous-sous-variants …. Quand vont-ils arrêter de nous les casser avec leurs discours de bateleurs de foires ? Cela ne prend plus et cela va encore moins prendre quand la réalité de la catastrophe sanitaire en cours remontera aux consciences avec la connaissance des effets secondaires graves.
Ci-après les éléments extraits de l’enquête de pharmacovigilance publiée par l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) portant sur la période du 29-04-2022 au 09-06-2022 (42 jours).
Il s’agit de l’enquête de suivi du Comirnaty BionTech (nom commercial Pfizer) uniquement (voir les rapports concernant les autres injections sur le site de l’ANSM) selon les données transmises par les Centres Régionaux de PharmacoVigilance de Bordeaux, Marseille, Toulouse, Strasbourg portant sur ce que la publicité mensongère bien qu’officielle présente comme un « vaccin sûr et efficace ».
Il est ici rappelé que les effets indésirables sont notoirement sous-déclarés et que les chiffres retenus ne représentent pas le quart des cas réels.
Rappel préliminaire : Nombre de personnes vaccinées à la date du 09-06-22, depuis l’ouverture à la vaccination :
1ère dose : 42,5 millions
2ème dose : 41,3 millions
3ème dose : 26 millions
4ème dose : 1,6 million
Période du 29-04-2022 au 09-06-2022 – 42 jours
Effets indésirables déclarés non-graves : 80 247
Effets indésirables déclarés graves : 27 183
dont 1499 décès
dont 1172 pronostics vitaux engagés
dont 14750 « autres situations médicales graves » (non définies explicitement)