Selon l’administration Biden, il existerait des conditions ou facteurs médicaux qui exposent un individu à la forme grave du Covid-19. Outre les facteurs de comorbidité(obésité, diabète, l’hypertension, maladie cardiovasculaire…), selon les autorités sanitaires, la “race” ou l’origine ethnique constituerait selon le gouvernement démocrate aussi un critère qui pourrait « placer les patients individuels dans une situation de risque élevé de progression vers le Covid-19 sévère ». Selon les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), les personnes « non blanches » ont plus de chance de mourir du Covid. Mais à l'approche des élections mi-mandat, le 08 novembre, il semblerait que les statistiques auraient évolué, selon une analyse du Washington Post le taux de mortalité lié au Covid-19 a connu une hausse chez les Blancs. La presse subventionnée US est de nouveau prête à relancer la folie covidienne.
Les Français ont du mal à entrer dans les catégories avancées par les Américains. Au début de la pandémie, le risque de mourir du Covid-19 était plus élevé chez les Noirs, les Amérindiens et les Latinos, affirmait-on outre-Atlantique. Facteur social, penserons-nous spontanément. Mais les Américains veulent y voir du « facteur ethnique ». En effet, face au Covid, les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) ont indiqué que les Afro-Américains ont environ deux fois plus de chances d’en mourir que les personnes blanches. Suite aux directives de l’administration Biden, même la distribution des traitements anti-Covid s’est faite selon certaines conditions ou facteurs médicaux. Dans certains Etats comme New York et l’Utah, la race ou l’origine ethnique font partie des critères d’éligibilité aux médicaments. Biden n’a pas hésité à prioriser les personnes « non blanches » dans l’administration des traitements par anticorps monoclonaux.
Mais apprêtez-vous à secouer la tête d’étonnement! selon le Post, les statistiques auraient beaucoup évolué au fur et à mesure que la pandémie progressait. En effet, le journal a « révélé » que le taux de mortalité lié au Covid-19 a connu une hausse chez les Blancs. Il a même excédé celui des Noirs. Selon son analyse, le refus de se faire vacciner serait à l’origine de ce grand changement. Alors que de nombreux Américains songent aux prochaines élections, Joe Biden et ses amis politiques ont franchi un pas de plus dans les « mythologies » du Covid.
Entendons nous bien: il se pourrait que l’appauvrissement de la société américaine, spectaculaire depuis que Biden est à la Maison Blanche – surtout après les belles années Trump – ait fait monté la vulnérabilité face au COVID chez « les Blancs ». Mais il s’agirait de faire une étude sérieuse des déterminants sociaux de l’exposition à la maladie. Ce n’est pas du tout ce qu’on a en tête à Washington.
Réduction de l’écart entre le taux de décès dû au Covid-19 entre les Noirs et les Blancs
Au début de la pandémie, on a observé un écart considérable au niveau du taux de décès à cause du Covid-19 dans les communautés de couleur et les Blancs aux États-Unis. En effet, il était 60% plus élevé dans les communautés des Noirs, des Latinos et des Amérindiens.
Les données de la FDA ont révélé l’existence d’un risque élevé au développement des maladies graves chez les personnes de couleur ou population BIPOC , incluant les populations noires, indigènes et autres personnes de couleur.
Dans certains Etats, notamment New York, le Minnesota, l’Utah, la race “non blanche” et l’ethnie hispanique sont considérées comme ayant des facteurs de risque au développement du Covid-19 grave, et ce en raison des « inégalités sociales et sanitaires systémiques de longue date », selon le gouvernement de ces Etats.
Mais selon une analyse du Washington Post , lorsque la pandémie a progressé, les statistiques ont changé. En effet, l’écart s’est rétréci petit à petit. Actuellement, selon les CDC, le taux de décès chez les Blancs a dépassé celui des communautés noires.
Selon les scientifiques, l’inégalité au niveau de l’exposition au coronavirus, de la propagation de la maladie, de la vulnérabilité et de l’accès aux soins a causé l’écart. Il faut souligner que le risque de développer le Covid-19 grave est plus important chez les personnes qui souffrent de comorbidité comme le diabète, l’hypertension et l’obésité… Or, elles sont plus nombreuses chez les Afro-Américains et les latinos.
Les causes du changement du schéma de mortalité due au Covid-19
Quelle serait donc la raison de ce grand changement au niveau du schéma de la mortalité liée au Covid-19 ?Selon le Washingtonpost, on constate une hausse du nombre des Blancs qui décèdent du Covid-19 depuis l’apparition du variant Delta, ce qui a provoqué une hausse des cas d’infection, des hospitalisations et du nombre de décès. Vous auriez pu croire un petit moment, au vu de ce qui vient d’être dit, que les autorités sanitaires américains vont s’attaquer aux inégalités sociales face à la maladie. Eh bien non! Elles veulent fourguer le vaccin!
D’après Tasleem Padamsee, professeur adjoint à l’université d’État de l’Ohio, on pourrait expliquer ce grand changement du schéma de la mortalité dû au Covid-19 au refus des républicains de se faire vacciner. Il serait aussi lié à la désinformation. Cette désinformation concerne notamment l’innocuité des vaccins Covid-19.
Selon le journal, les chercheurs de l’Université de l’Ohio ont révélé que même si l’hostilité à la vaccination était constatée chez les Noirs et les Blancs, les communautés de couleur ont réussi à surmonter leur doute rapidement. Ils ont fini par comprendre qu’ils avaient besoin de se protéger contre le Covid-19. Le problème serait d’ordre comportemental. Malheureusement les « Blancs », surtout s’ils votent républicain, auraient besoin d’être rééduqués…..
Malgré la vaccination, une étude a déjà confirmé que les sous-variants d’Omicron BA.4 et BA.5 échappent aux réponses anticorps à la fois chez les personnes ayant déjà été infectées par le Covid-19, mais aussi chez celles qui ont été entièrement vaccinées. Des études des CDC américains présentaient les mêmes résultats.
Des chercheurs de l’université de Géorgie ont constaté que « les Blancs » ne « prenaient pas au sérieu »x la gravité du Covid-19 et refusaient de se faire vacciner. Selon un article paru dans Social Science & Medicine, ces derniers craignaient moins d’être infectés par le coronavirus par rapport aux communautés de couleur.
Mais il y a aussi cette méfiance envers les institutions médicales liées à la politisation de la santé publique. Le directeur du département de médecine, santé et société de l’université Vanderbilt, Jonathan M. Metzl, l’a décrit dans son livre “Dying of Whiteness: How the Politics of Racial Resentment is Killing America’s Heartland.” (Mourir de blanchitude: comment la politique du ressentiment racial tue le coeur géographique des Etats-Unis – il faut oser un titre pareil! )
A noter que l’ancien président Donald Trump a toujours fustigé l’intégration de la race parmi les critères de détermination des personnes à risque qui devraient accéder aux traitements anti-Covid. Les CDC avaient maintenu que les personnes de couleurs auraient un risque d’hospitalisation environ deux fois plus élevé que les Blancs.
Toujours à l’approche des midterms, et surtout à cause de la peur de Trump et de son éventuel retour, dans un rapport , de hauts responsables des CDC accusent l’administration Trump d’avoir censuré des informations sur le Covid afin d’aller dans le sens de la vision optimiste de l’ancien président américain.
Selon les CDC, durant son mandat, des responsables au niveau de la Maison-Blanche auraient tenté de prendre le contrôle du journal scientifique hebdomadaire des CDC, le « Morbidity and Mortality Weekly Report », en censurant des articles qu’ils estimaient néfastes pour le président Trump.
On voit bien: ce qui se présentait comme « scientifique » n’est en fait qu’une politisation des politiques sanitaires!
À mon avis, la mortalité des formes actuelles de Covid est devenu infinitésimale chez tout le monde, bien moindre que celle de la grippe. C’est essentiellement du à l’atténuation habituelle de la virulence des virus avec le temps et au développement d’une immunité collective puisque presque tout le monde a été en contact avec le virus. Il est donc bien normal que ceux qui étaient le plus atteints au départ, aient vu la décroissance la plus forte de la gravité. En ce qui concerne les injections et sans parler de leurs effets secondaires (tout un débat), même en admettant qu’elles aient pu au départ, réduire la mortalité d’une partie de la population, je crois sincèrement qu’elles ne jouent aucun rôle à long terme, car c’est l’immunité naturelle qui prend le dessus.
Il ne leur reste que la guerre nucléaire pour les gagner ces élections : mais là ils commencent à se diviser.
https://nicolasbonnal.wordpress.com/2022/10/25/armageddon-nucleaire-les-democrates-enfin-une-partie-prennent-peur-et-demandent-a-biden-et-a-sa-folle-administration-de-faire-demi-tour-pour-eviter-une-guerre-nucleaire-contre-la-chine-et-la-russ/
Il y a une erreur: les médias américains ne sont pas subventionnés. Cela serait inacceptable chez eux. En revanche ils sont en grande majorité tous à gauche. Enfin, depuis le début de la Covid la politisation est énorme et très souvent exploité par la gauche et la « fausse » droite.
Les médias américains sont en grande partie détenus ou soutenus financièrement par des oligarches (Bezos, Gates, pour ne citer qoe les plus connus) dont l’agenda économique ne peut être réalisé qu’avec le concours des politiques. Donc , même si le système diffère du nôtre, il n’empêche que les enjeux et le résultat restent bien les mêmes.
Mince alors… heureusement nous on ne risque rien puisqu’on on a réélu maqueron. ????????