Pfizer a annoncé la hausse du prix du vaccin contre le Covid-19 qu’il a développé avec BioNTech dès le premier trimestre 2023. Il s’agit d’une décision prise dans le cadre d’une transition que la société initie. Depuis le début de la pandémie, pourtant, les prix des vaccins n’ont cessé d’augmenter. Au grand bonheur des laboratoires pharmaceutiques, grands gagnants de cette crise sanitaire.
Grâce à la crise du Covid, l’industrie des vaccins et des biotechnologies a réalisé en moins de 2 ans un chiffre d’affaires qu’elle n’aurait pu espérer obtenir en 15 ans. Nos gouvernements ont toujours été complices de leurs manœuvres en versant des sommes considérables à cette industrie. Suite à la propagation du variant Omicron, les campagnes de rappel se sont intensifiées dans plus pays européens et aux États-Unis. Voilà comment, ces industries ont pu décrocher des contrats de ventes et d’options depuis 2021. Grâce aux ventes du vaccin Covid-19 et du traitement antiviral Paxlovid, selon le directeur général de Pfizer, Albert Bourla, le chiffre d’affaires de l’entreprise en 2021 aurait dépassé les 80 milliards de dollars en 2021, le chiffre annuel le plus élevé de son histoire. Les analystes pensent que le géant américain pourrait obtenir plus de 100 milliards de dollars de chiffre d’affaires cette année 2022 rien qu’avec sa pilule Paxlovid.
La dose vendue entre 110 et 130 dollars
Pfizer vient d’annoncer que le prix de son sérum contre le Covid-19 élaboré avec BioNTech va augmenter aux États-Unis à compter du premier trimestre 2023. Il sera vendu entre 110 et 130 dollars (entre 112 et 132 euros) la dose. Autrement dit, le prix est quatre fois plus élevé que le tarif actuel, qui est de 30 dollars la dose.
Pourtant, le gouvernement américain se trouvera dans l’obligation de lancer de nouvelles commandes en 2023. En effet, son programme d’achat actuel est en cours d’expiration et les États-Unis ne peuvent plus acheter de nouvelles doses jusqu’à épuisement des stocks.
Selon la présidente mondiale de l’activité hospitalière de Pfizer, Angela Lukin, le prix du vaccin Covid reflète la valeur que la société estime apporter aux patients et à la société sur la base de sa modélisation des coûts.
D’après elle, les CDC vont bientôt recommander la vaccination annuelle contre le Covid-19. Est-ce un aveu d’échec de l’efficacité des vaccins ou est-ce la peur des effets nocifs des vaccins à répétition ? Néanmoins, elle estime qu’il n’y aura « pas de frais à la charge des Américains, quelle que soit leur assurance.”
Une hausse tarifaire liée à un changement au niveau de l’approvisionnement
Au début de la pandémie, tous les laboratoires pharmaceutiques devaient s’accoutumer à l’environnement de l’EUA (autorisation d’utilisation d’urgence). Mais à présent, on est dans une phase où on se prépare à retrouver le marché commercial traditionnel.
Autrement dit, le modèle de distribution adopté pendant la période pandémique va prendre fin pour laisser place aux processus d’approvisionnement normaux. Les coûts de distribution vont aussi augmenter.
Selon Pfizer, il y aura également un changement au niveau du conditionnement, car les flacons multidoses seront remplacés par la version unidose. Tout cela expliquerait l’application de cette tarifaire.
Même le démocrate Bernie Sanders a dénoncé cette décision sur Twitter en déclarant, « Pfizer a reçu des milliards en contrats fédéraux pour développer son vaccin… il devrait coûter 0 dollar ».
A noter qu’il y a quelques jours, sa rivale Moderna, avait également annoncé une hausse de prix de son vaccin, avec une fourchette de prix de 64 à 100 dollars par dose.
À ce jour, la société pharmaceutique américaine détient encore la grosse part du marché en matière de produits contre la pandémie. Depuis le début de cette pandémie, la biotech profite grassement de l’argent public. Mais il semble que ni les autorités sanitaires ni les laboratoires pharmaceutiques ne répondent aux questions que de plus en plus de personnes commencent à se poser, à savoir les effets secondaires et la durée d’efficacité de leurs traitements.
Lalaina A. souffle le chaud et le froid dans tous ses articles. L’utilisation du terme “sérum” qui se substitue progressivement au (pourtant déjà impropre) “vaccin” témoigne d’une ambiguïté bien gênante, comme parler d’une “baisse d’efficacité” pour une daube qui n’en a jamais eu aucune, d’efficacité… Laissez les “éléments de langage” aux manipulateurs.
Idem sur l’Ukraine (grosse gênance avec l’interview d’E. Husson par E. Verhaegue). Le Courrier devrait davantage assumer ses opinions, sans ambivalence ni circonvolutions. Au lecteur de faire le tri ensuite. Grâce au filtre qu’il possède entre les oreilles.
NORMAL, les peuples – espérons-le – ne vont pas se précipiter cette fois pour recevoir leur DOSE de POISON ! Ils ont des frais…. ces pauvres Laboratoires !!
66 millions d’idiots à vacciner 10 fois multiplié par 130 dollars. 10 milliards de gagnés sur la peau du froncé.
Avec un carnet de vaccins rendant tout obligatoire. Voir Eric ce matin.
Achetez du Pfizer !
https://nicolasbonnal.wordpress.com/2022/10/26/inconscience-francaise-jusqua-quand-desintegration-francaise-en-attendant-la-police-ne-serait-plus-efficace-defonce-de-rire-les-parents-denfants-rosses-se-revolteraient-a-lyon-la-fashi/
C’est normal. Ils veulent conserver leur marge.
“quand on pense qu’il suffirait que personne n’achète pour que cela ne se vendre plus” (Coluche).
Faut conserver les moyens de corrompre !
Danielle Smith, Premier ministre de l’Alberta, a présenté des excuses aux fonctionnaires non vaccinés.
Indemnisation et retour des droits aux suspendus…
Tout va bien. La moitié des automobilistes privés de leur bagnole tantôt en ville : dixit BFM euphorique.
https://nicolasbonnal.wordpress.com/2022/10/26/un-automobiliste-sur-deux-empeche-de-rouler-nous-dit-en-ricanant-la-chaine-du-baphomet-la-chienne-des-chaines-tele-le-reste-avec-sa-bagnole-electrique-ne-pourra-de-toute-facon-que-faire-de-la-ville/
Faut il que nous soyons si cons? Repus peut être? C’est bien possible.