Face à la capacité du coronavirus à muter avec le temps, les scientifiques continuent à rechercher de nouvelles méthodes pour créer des traitements plus efficaces, capables de le neutraliser définitivement. L’équipe de chercheurs de la société de biotechnologie à Farmingdale, New York, Codagénix, a par exemple misé sur le sérum vivant atténué. Les autres œuvrent à créer des vaccins capables de se renforcer eux-mêmes.
Pour élaborer un vaccin plus efficace, il faut faire en sorte qu’il offre au système immunitaire plus de moyens à reconnaître et à attaquer une seule partie du virus. Pour le SARS-CoV-2, il s’agit de la protéine de pointe. Or, celle-ci a tendance à muter facilement. Voilà pourquoi, les vaccins disponibles perdent leur efficacité et n’arrivent plus à offrir une protection élevée contre les nouveaux variants du coronavirus. L’équipe de Codagenix a donc décidé de se concentrer sur une méthode différente. Il s’agit d’utiliser l’ensemble du virus vivant, atténué afin qu’il ne puisse pas générer une maladie. Les chercheurs de l’Institut de technologie du Massachusetts, quant à eux, testent le vaccin auto stimulant, qui ne nécessite pas de doses de rappel.
Le vaccin vivant atténué de Codagenix
Codagenix a annoncé élaborer un vaccin vivant qui imite le coronavirus. Selon le PDG de la société, Robert Coleman, la personne qui reçoit ce vaccin a le Covid, mais ne tombe pas malade. Son corps va produire des anticorps et des cellules immunitaires capables d’identifier toutes les protéines du virus.
Pour faciliter la conception du vaccin, l’équipe de Codagenix a exploité un code génétique. Pour information, le génome des virus utilise des bouts de codes à trois lettres nommés codons qui permettent de spécifier l’acide aminé à ajouter pour la construction d’une protéine.
Les chercheurs ont échangé les codons moins favorisés qui se situent à 283 endroits du génome viral. Selon Mr Coleman, le virus a peu de risque d’adopter une forme plus agressive grâce à ces changements.
Le vaccin vivant atténué de Codagenix a été testé pour la première fois sur l’homme. Il a été administré sous forme de gouttes nasales. Les premiers essais ont alors révélé que le vaccin est capable de produire une forte réponse immunitaire.
La compagnie va entamer la dernière étape des tests, un essai clinique de phase 3 sur un maximum de 20 000 personnes. Si ces essais sont concluants, ils donneront naissance à une nouvelle génération de vaccins, qui serait disponible l’année prochaine. Il sera sous forme de spray nasal.
S’il obtient l’autorisation des différents régulateurs de santé, il deviendra une alternative aux vaccins déjà disponibles. Il s’agit en effet d’un vaccin sans aiguille qui présente de nombreux avantages.
C’est une méthode non douloureuse étant donné qu’elle ne requiert pas l’utilisation d’une aiguille. Cette formule de prévention du Covid-19 se démarque aussi par sa facilité de manipulation. Outre le Covid, ce vaccin intranasal offrirait également une protection contre d’autres virus respiratoires. Il permettrait de déclencher une réponse immunitaire dans les voies respiratoires, les principales zones d’attaque du coronavirus, en étant moins invasives pour le reste de l’organisme.
Des vaccins capables de se renforcer eux-mêmes
Actuellement, l’administration de doses de rappel est nécessaire afin de renforcer la protection offerte par les vaccins contre le Covid-19 déjà existant. Cela pose de nombreux problèmes au niveau de la santé publique. Les gens refusent de recevoir les rappels jugés trop fréquents. Les chercheurs de l’Institut de technologie du Massachusetts ont trouvé une solution.
Il s’agit d’administrer les rappels en même temps que la dose initiale. Ils ont découvert le moyen d’y arriver. Il s’agit d’encapsuler les doses de rappel dans des petites boîtes ayant la forme d’un grain de sable.
“En modifiant la chimie de ces matériaux, on peut modifier la dégradation”, explique Ana Jaklenec, ingénieur biomédical au MIT, qui dirige l’équipe. Les boîtes se dégradent lentement. Elles seront conçues avec les matériaux utilisés pour dissoudre les sutures chirurgicales. Les boîtes sont censées se dégrader après une période définie pour libérer les nouvelles doses de vaccins en une seule fois, des semaines ou des mois après l’injection.
L’équipe de chercheurs teste actuellement ce vaccin Covid autostimulant sur des animaux de laboratoire, et elle espère que les essais sur l’homme pourront commencer d’ici un an ou deux. L’approche pourrait également être utile pour d’autres vaccins qui nécessitent de multiples injections.
on préférera jusqu’au bout jouer aux apprentis sorciers plutôt que de reconnaître que l’Ivermectine ça fonctionne très bien
Il faut à tout prix entretenir la fable vaccinale…
Ça rapporte très très gros…. Voyez Bourla, le renégat de Pfizer !
Blablabla blablabla
Blé blé blé.
Pour les labos collabos…
Mouais… Money first !
C’est l’hydroxy’ qui a sauvé l’Afrique, l’imervectine l’Inde. Point barre.
Circulez….
non vacciné , aucun test PCR , je n’ai rien pris depuis 2 ans et demi si ce n’est vitamine D , zinc et magnesium, voir citrobiotic et remèdes homéopathiques depuis 40 ans en cas de fièvre rhume …Tout va bien. Quand je pense qu’en plus ils suppriment toute formation médicale en homéopathie dans les universités et herboristerie , huiles essentielles alors que ces produits sont complémentaires on tombe dans le monde de l’absurde et d la dystopie !
Au sujet des pays qui savent compter et de ceux qui ne savent pas :
L’Inde (dont le monde s’arrache les ingénieurs informatiques), le Pérou (qui a divisé par 14 la mortalité lors de sa campagne Ivermectine, puis multiplié par 13 après le chantage OMS-FMI. Source “The real Fauci” R. Kennedy Jr p. 93-124), le Mexique, l’Afrique noire (qui devait subir une hécatombe), etc. ne savent pas compter, c’est bien connu.
L’Islande non plus, qui ne compte pourtant que 300 000 habitants, ne sait pas calculer sa surmortalité 2021 de 55 %. Les fact-checkeurs de Libé doivent se contortionner pour abaisser à 35, puis 15 %. C’est vrai que la France est bonne dernière des tests PISA en maths, et ce ne sont sûrement pas ces marionnettes pathétiques qui relèveront le niveau.
Donc on peut compter nos morts du Covid (20 000 ? 130 000 ?), nos non-vax (6 % ? 14% ?), notre surmortalité (0% ? 15 % ? 40 %), nos effets secondaires (0 ? 50 %), etc.
Normal, on a l’INSEE, l’INED, l’ATIH, la DRESS, la HAS, l’ANSM, la CNAM, les milliers de fonctionnaires des ARS, si brillants et honnêtes. Tant de raisons d’être fiers et confiants…
On se demande pourquoi les lecteurs de la “presse du cartel” (Slate, HuffPost…) traînent sur le CdS. Pour troller ? Oh les vilains.