Le G7 s'est réuni pendant trois jours au pays de Galles, à Carbis Bay. Sous l'impulsion des États-Unis et de Joe Biden, ce sommet multilatéral a donné lieu à une esquisse d'union occidentale contre la Chine. L'une des conclusions du sommet consiste notamment à demander à la Chine de permettre une enquête approfondie sur l'origine du virus. Rappelons que, il y a un an, ces soupçons sur l'origine du virus étaient considérés comme complotistes (au point de valoir un bannissement de Facebook), et restent encore largement suspects pour les chiens de garde binaires d'officines comme l'Observatoire du complotisme.
Le G7 s’est réuni au pays de Galles et a donné lieu au resserrement des rangs occidentaux, sous la conduite des États-Unis, face à la Chine. Les conclusions du sommet comportent en effet une adresse toute particulière à l’adresse de la puissance qui est absente d’une réunion où se retrouvent les USA, le Canada, le Japon, la Grande-Bretagne, l’Allemagne, la France et l’Italie.
On notera tout particulièrement le volet « complotiste » des conclusions du Sommet : le G7 demande à la Chine d’autoriser une enquête approfondie sur les origines du virus, ce que la Chine refuse.
Le G7 soupçonne une origine humaine du virus
On retrouvera donc, dans les conclusions du sommet, un appel au respect des Droits de l’Homme dans la province ouïghoure du Xin Jiang, mais aussi la demande d’une enquête internationale sur les origines du virus.
On se souvient que cette thématique est devenue dominante depuis quelques semaines dans l’Amérique de Biden. D’ailleurs le Président a demandé une enquête de ses services sur le sujet, qui semblent divisés. On ajoutera que les soupçons ne cessent de monter quant aux expérimentations qui ont pu conduire à la création éventuelle de ce virus.
Une thèse interdite pour cause de complotisme
Faut-il rappeler qu’il y a quelques semaines encore, le seul fait de s’interroger sur la vraisemblance de la théorie selon laquelle une chauve-souris aurait mordu un pangolin qui aurait mordu un Chinois qui aurait contaminé la planète était passible de la pire accusation de complotisme ? Cet article du Monde du 8 avril 2020 donne un très beau florilège de la haine et des quolibets adressés par la presse subventionnée à tout esprit critique sur la thèse officielle.
L’une des techniques utilisée, la caricature systématique de toute opinion divergente, y est parfaitement dressée.
Mais on se souvient que Donald Trump et son entourage ont eux-mêmes été la cible d’attaques pour avoir évoqué la responsabilité chinoise dans l’apparition du virus.
À quoi sert l’anti-complotisme ?
Alors que le site de Rudy Reichstadt, auto-proclamé observateur de l’anti-complotisme, continue à combattre le débat sur les origines du virus, le moment vient de s’interroger sur la nature ou la finalité de l’accusation de complotisme, et sur les véritables finalités poursuivies par les anti-complotistes. S’agit-il vraiment de défendre la vérité ? Ou bien s’agit-il d’imposer des mensonges, d’occulter des vérités, pour servir tel ou tel intérêt (géo)-politique ?
On attend en tout cas avec impatience les articles de Conspiracy Watch dénonçant les thèses complotistes du G7.
Carbis Bay est bien en Cornouailles britannique et non pas au pays de galles.
Pendant que la main invisible s’offre une grande « mascarade » planétaire ritualisant Éros et Thanatos, elle convoque ses pantins, ses guignols au Pays de Galles pour la petite mascarade du G7.
Est-il utile de rappeler que les USA et ses alliés ne sont plus depuis le début du XXème siècle gouvernés par ce qu’on appelle un phénomène politique, qui représente l’intérêt commun, mais par un cartel d’entreprises dirigé par les principales banques globales d’investissement qui ont leur quartier général, depuis Oliver Cromwell, à la City de Londres.
Le véritable pouvoir aujourd’hui n’est pas à rechercher dans l’apparence des arcanes politiques, il se cache derrière l’anonymat des capitaux et dans les paradis fiscaux. Le véritable pouvoir auxquelles sont soumises les populations, maintenues dans la naïveté et l’inconscience, est économique : il appartient aux principaux détenteurs de capitaux de la planète ; lesquels ont tant et si bien œuvrés depuis des centaines d’années qu’ils sont devenus propriétaires directs et/ou indirects de la majeure partie des actifs tangibles de ce monde.
Depuis le XVIIIème siècle, les principaux banquiers sont étroitement interconnectés entre eux et ont des intérêts communs et liés. Les activités de ces banquiers sont structurellement internationales, leurs intérêts pouvant être qualifiés d’apatrides, ou plus exactement de supranationaux, en ce sens qu’ils n’ont aucun rapport avec un quelconque « intérêt national » au sens culturel et géographique du terme « national ».
Précisons à propos des USA que la Réserve fédérale américaine, la « FED », dont l’objectif est de « centraliser et contrôler l’économie mondiale », est née en 1913, des menées des banquiers globalistes, dont le noyau dur se trouvait à Londres ; menées auxquels les intérêts de la Banque Rothschild (via les banquiers Warburg), ceux de l’empire financier des Rockefeller, et ceux de J.P. Morgan, n’étaient pas étrangers. Trois personnalités de premier plan étaient opposées à la création de cette banque centrale américaine : Benjamin Guggenheim, Isidor Strauss et Jacob Astor (ami et mécène de Nicola Tesla). Ils périront dans le naufrage du Titanic… en 1912.
En réalité, les Etats occidentaux n’existent plus car ils ont été privatisés lorsque le contrôle de leurs monnaies est tombé dans les mains des banquiers privés, ce qui explique, en Europe, l’apparition des institutions européennes, qui ne sont que la formalisation politique (traités de Maastricht et Lisbonne) de cette capture des règles d’organisation des peuples par des intérêts privés.
Tant que le destin des monnaies restera l’apanage des banquiers mondialisés, et continuera en conséquence à échapper aux peuples qu’elles contraignent, nous assisterons à la continuation de la mise sous tutelle financière, économique, juridique et politique de ces derniers.
Pour ceux qui l’auraient oublié, cette vérité a été directement précisée par l’un des fondateurs de l’oligarchie financière : « Donnez-moi le contrôle de la monnaie d’une nation et je n’aurai pas à m’occuper de ceux qui font les lois » (M. A. R.)
Si l’on retourne aux fondamentaux, il apparaît en effet que la monnaie, et son pendant qu’est la dette, conjuguée au principe de l’entreprise anonyme qu’elle a juridiquement autorisé à se mettre en place, sont les armes du servage d’aujourd’hui au même titre que l’épée et la lance étaient celles du servage d’hier.
NB : Du thêatre Etrusque et de la main occulte : de mas (mâle) on fit masque, masquer, mascarade. Un vieux mot arabe, maskara, exprimait déjà cette idée.
C’est cet homme masqué que la Comédie étrusque représenta dans Arlequin.
Voici Arlequin, l’homme masqué, qui cache ce qu’il est réellement et qui porte un habit fait de toutes sortes de pièces d’étoffes différentes. C’est le type de l’homme qui fait sa personnalité de tout ce qu’il prend aux autres. Ces morceaux disparates représentent les idées nées dans le cerveau des autres qu’il s’est assimilées.
Les Muses avaient accusé les hommes de leur prendre leurs idées et de faire des ouvrages qui n’étaient qu’un assemblage de copies disparates des pensées d’elles toutes. On représentera cet assemblage dans la comédie étrusque par l’habit d’Arlequin. Les hommes se vengèrent de cette accusation en la renvoyant à la femme, et Mosa, la Muse, (Myriam, la déesse Hathor, de Ha-Thora, « la Loi »)), en fut victime comme les autres ; on créa le mot « mosaïque » (fait de morceaux disparates) pour désigner son œuvre et se venger de « l’habit d’Arlequin ».
Blog : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/
Tout cela est fort juste tant que la monnaie a une valeur. Depuis les Accords de Bretton-Woods, cette valeur tend vers zéro et la Pyramide de Ponzi mondiale va terminer le travail. La seule valeur, c’est l’échange. Le troc prendra la suite en attendant qu’un nouveau système assaini de stabilité prenne la place. Nous nous sommes à la croisée des chemins. Certes, les États et les Peuples ont perdu leur souveraineté monétaire en Europe, mais cette situation aboutit toujours historiquement à la Chute d’un Empire, à la soumission et à l’esclavage sous une autorité forte, selon l’adage que la nature a horreur du vide.
Les monnaies actuelles, c’est du vide. Il n’y a plus d’étalon métallique. Est-ce que le Bitcoin est un étalon de rechange ? Il est fictif, c’est une monnaie scripturale sans étalon. Comme il a une valeur limite, il n’est qu’un paradis fiscal supplémentaire, sélectionne les entrants. Il ne changera en aucun cas le trend glissant de la crise. Pire, il l’accélèrera le chaos en enlevant d’énormes liquidités au marché. Le Bitcoin, c’est un continuum de l’AC (Art contemporain), marché sur lesquels les grandes fortunes ont continué leur mécano de Ponzi en spoliant le dernier entré, par le mécanisme de la patate chaude.
Le souci, c’est qu’aucun des systèmes testés n’a vraiment démontré sa robustesse, à part, peut-être, les monnaies nationales directement gérées par les états et encore, la bonne tenue de cette monnaie dépendant directement du sérieux et des compétences de ceux qui tiennent les cordons de la
boursebanque centrale nationale, autant dire que ça n’est pas gagné actuellement.Un étalon métal pose plus de problèmes qu’il n’en résout dans une économie mondialisée et il faut aussi regarder la looongue litanie des manipulations des cours de l’or pour voir que ça ne le fait pas (sans parler de l’escroquerie sans nom de l’or-papier, pour laquelle les banquiers devraient tous se retrouver à vie derrière les barreaux.)
Le BTC n’est qu’un galop d’essai à raccorder directement à la volonté d’ériger une crypto-monnaie mondiale dont le but réel est de pouvoir éliminer tout opposant un peu trop turbulent d’un seul clic – le problème se pose exactement comme pour le reste, comme tout ça est devenu une théologie, « ils » tâcheront de nous l’imposer par tous les moyens, qu’ils soient légaux ou non (ce que nous constatons aujourd’hui avec la BCE qui se met à financer les états, alors que c’est en totale violation avec plusieurs traités.)
De fait, c’est la finance actuelle qu’il faut sortir du jeu – spéculer sur des monnaies, sur de la bouffe ou sur de l’eau potable, pour ne prendre que des exemples emblématiques, ne sont pas vraiment les choses les plus naturelles qui soient, quand on y réfléchit bien – il faut donc que l’argent revienne dans le giron de l’économie réelle, ce qui veut dire beaucoup moins de gains pour les joueurs.
En un mot, l’argent doit servir les gens et non les asservir, c’est pourquoi je serais assez d’accord avec vous question troc, du moins dans un premier temps, parce que tôt ou tard, vu la mentalité humaine actuelle, il faut un compteur personnel pour que les comptes généraux restent équilibrés.
Il y aurait bien une autre solution, comme celle de ne travailler que pour le bien commun, uniquement dans ce que chacun maîtrise et aime et sans obligation aucune, mais pour en arriver là, il faudra un temps certain avant que ça ne percole dans des esprits qui sont chaque jour plus délabrés du fait que l’ednat s’est maintenant donnée la mission de ne plus fournir que de bons petits esclaves dociles qui ne doivent surtout pas être à même de se faire leur propre opinion en dehors des spots de pub ou de la désinformation des MSM, maintenant constante… des fois qu’ils s’aperçoivent que les puissants se foutent de leur tronche (et, oui, ça ressemble furieusement à du communisme, mais dans le sens noble de la chose, ce qui change singulièrement par rapport à l’histoire et nécessite l’adhésion sincère d’une grande majorité de gens – pas gagné ça.)
Dans les années 30, quand on a demandé à Edgar Cayce ce qu’il fallait prévoir pour le siècle à venir, il a répondu qu’avoir une petite maison avec du terrain pour y cultiver sa subsistance était la chose la plus intelligente à faire – une fois de plus, il ne s’était pas trompé…
Le développement de la Chine dérange FORTEMENT les USA.
Dans un long entretien sur la chaine -ouebe « Thinkerview », le frère de l’ancien CEMA Pierre de Villiers évoque la mise en place du Coronacircus.
https://www.youtube.com/watch?v=AoLw-Q8X174
Il existe une autre vidéo sur U-tube du Donald alors Potus au début du coronacircus : on voit le Donald au pupitre de WH qui se fait souffler par Mike Pompeo ( ancien directeur de la CI( bof) A) et secrétaire d’Etat US qu’il s’agit d’un test et le Donald lui répond : vous auriez pu me prévenir…..
La croissance américaine n’est pas à deux chiffres comme l’est la chinoise.
L’intelligence militaire n’est pas sous la responsabilité du Pentagone en temps de paix ( absence de guerre déclarée) mais sous la conduite du Potus + C. I. ( re-bof) A.. Cette dernière est devenue INCONTROLABLE y compris par le locataire-même de la WH.
Le Donald a voulu y mettre de l’ordre comme ailleurs, en vain.
Nombreux sont ceux qui estiment que tout va vers une 3ème guerre mondiale …. Les élites-mondialistes-apatrides ( quoiqu’ils en aient une depuis 1948) y sont particulièrement favorables. Fin de la « pax judaïca » ? that is the question.
Les Chinois sont intelligents et il ne faut jamais mésestimer ses adversaires.
J’aime bien l’humour de cet article, il y en aura d’autres à écrire prochainement de la même mouture : traitements précoces contre le covid, toxicité des vaccins… D. Raoult à raison lorsqu’il dit que la vérité finit toujours par se révéler. N’empêche que pendant ce temps des centaines de milliers de gens sont morts suite au covid, et que les laboratoires ont fait carton plein de revenus. Et probablement qu’aucun des responsables n’en subira les conséquences, sauf quelques fusibles et quelques amendes de principe. On a déjà vu.
Il me semble que Carbis Bay est en Cornouailles et non pas au Pays de Galles…
Conspiracy Watch est une petite ventouse d’une des tentacules mondiales de l’Open Society de George Soros. Pour qui George Soros roule-t-il ?
Cet homme est soutien intime des Démocrates dont les bureaux du WTC ont été vidés quelques semaines avant le 11/9… Il est progressiste, il est malthusien, il est marxiste-léniniste capitaliste de connivence, il veut tuer les Etats-Nations en attaquant les monnaies et les équilibres régaliens conservateurs. Il finance tout ce qui peut déstabiliser les structures séculaires des pays. Il financé les BLM et le chaos US de 2020, puis la fraude électorale anti-Trump…
Alors, c’est bien de s’attaquer à la Chine, hein, Joe Alzheimer ! Mais est-ce que cette attaque va aller jusqu’à demander l’implication de la Chine dans le succès de l’organisation frauduleuse de l’élection POTUS 2021 ? Jusqu’à impliquer Barack Obama (wikileaks) qui a soutenu le plan de guerre bactériologique dans lequel le bon Dr. Fauci a les mains dans le cambouis jusqu’aux coudes ?
L’honnêteté humaniste de Joe Biden, membre des Démocrates qui se sont battus férocement et historiquement contre l’abolition de l’esclavage face à Lincoln, l’homme qui ne supportait pas les noirs dans les écoles de ses enfants, l’homme qui a perdu les élections d’octobre 2020 mais est devenu frauduleusement POTUS, doit être sérieusement mise en doute avec d’immenses réserves.
Les nuages de fumée progressistes Démocrates US, c’est terminé, coco !
Tout le monde doute de cette administration US qui était déjà illégitime avant d’être intronisée… La mafia à la Maison Blanche. En général, cela ne réussit pas à l’élu !
Et nous la France, on s’émancipe quand de ce cirque pervers? …
Et pendant ce G7 notre Mc Rond national a exhorté les pays riches à vendre leur or pour aider l’Afrique, puits sans fond de corruption depuis des décennies. Là, on fait quand même dans le lourd débile. Peut-être que cela camouflera le fait qu’avec Goulard et JPMorgan, cet or n’est déjà plus là.
Bonjour Mr Eric Verhaeghe.
Veuillez s’il vous plait rectifier votre article .Carbis bay est situé en Cornouailles
britannique . le pays de galles est une autre nation constitutive de la grande Bretagne.
Merci d’ avance . Bonne journée.