Le port du masque est-il devenu un symbole de domination sociale, au-delà de sa simple fonction sanitaire ? Si le gouvernement annonce que son port restera obligatoire "à l'intérieur", même s'il est question d'en abandonner l'obligation du port extérieur, le respect de l'obligation est devenue socialement trè marqué. Autant les quidam continuent à s'y astreindre, autant le port du masque est beaucoup rare dans la caste. Quelques photos du G7 l'ont maladroitement rappelé.
Le port du masque est-il un marqueur social, celui d’une domination discrètement imposée par ce signe extérieur ? Les photos du G7 que nous reproduisons ici illustrent la question de façon éloquente. On y voit les chefs d’Etat, y compris la reine d’Angleterre, y discuter allègrement sans aucun respect des distances sociales, pendant que le personnel de service est soumis à l’obligation de porter le masque.
Deux conditions sociales, deux tenues.
Le port du masque, obligation définitive ?
La confrontation des images souligne le caractère très variable de l’obligation du port du masque. Alors que, en France, la discussion est en cours pour savoir si l’obligation du port extérieur peut être levée, il est acquis le port intérieur de masque restera obligatoire.
Désormais, le COVID porte avec lui une sorte d’obligation définitive, celle de se masquer dans les lieux intérieurs, pour éviter de se contaminer. Cette obligation devrait illustrer la permanence de l’alerte sanitaire. Mais sera-t-elle uniformément respectée partout ? ou sera-t-elle simplement un outil destiné à mettre sous contrôle une partie de la société pendant que la caste s’en affranchit ?
Y aura-t-il un retour à la normale ?
Au fond, les débats sur le port du masque, la pratique sociale « différenciée » de son port qui s’est instaurée, montrent plusieurs évidences. La première est que le retour à la normale n’est pas pour demain, et que ce symbole de la menace endémique de COVID qu’est le masque est parti pour durer au-delà de ce qui est raisonnable ou utile. Le masque s’impose comme une stratégie de contrôle avant d’être une stratégie sanitaire.
Dans la caste, en revanche, le port du masque est beaucoup plus parcimonieux. Ne pas porter son masque est devenu un privilège.
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Cet article et le comportement de nos dirigeants illustrent ce que nous vivons chaque jour: il n’y a jamais eu de masque dans les beaux quartiers. Cela vaut à Paris, et dans toute la France.
Toute cette mascarade relève de la fumisterie, et fait effectivement penser à une manière d’abaisser le peuple.
Je n’ai rien contre la lutte des classes, je ne sais pas ce que vous appelez les « beaux quartiers » mais je me déplace tous les jours dans le 7eme arrondissement de Paris et tout le monde y est masqué… ce qui n’est pas forcément le cas des quartiers moins huppés.
Le masque est aussi le symbole de ceux qui affichent fièrement leur vassalité consentie
Ce qui me chagrine et m’inquiète terriblement, c’est la docilité de mes concitoyens à ces absurdités (1).
Je partage le pessimisme de quelques analystes comme maitre Di Visio ou Ariane Bilheran : il n’y aura pas de sursis, nous irons jusqu’au bout du bout des conneries.
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(1) : dont 5 minutes de réflexion et 15 minutes de recherche sur internet suffissent à constater la débilité. Les Français qui n’ont pas trouvé ces 320 minutes en un an et demi méritent ce qui nous arrive.
* 20 minutes. Lapsus calami.
Depuis quand les lois sont votées pour la caste ?
Macron aurait une immunité de 13 mois car il aurait eu le covid en automne 2020?
Sidérant! Ubuesque mais lui a le droit, tous les droits.
Je suis immunisée contre le covid mais on me dira que je mens.
Tout cela est vrai pour tout.
Nous n’allons pas vers une dictature, nous y sommes déjà.
La question demeure entière : comment va-t-on s’en sortir car tous les politiques sont de mèche?
L’armée, peut-être ? Mais quelqu’un de réfléchi en liens avec des groupes de citoyens, des référendums pas des paras allumés en connivence avec des milices de survivalistes.
Je vous suggère d’arrêter vos rêves sur l’armée et autres fantasmes de « paras allumés » qui fleurent bon les années 60 … nous ne sommes pas en Algérie et le putch c’était au 20eme siècle… par des hommes qui avaient connu la défaite de 40 et la débâcle indochinoise.
Je suis parachutiste, je courre 10 km en 40 minutes, je couche une cible à 300 mètres sans lunette de visée, je peux faire sauter un immeuble avec ce que je trouve en allant faire mes courses chez Leroy Merlin, j’ai un master 2, j’écoute du jazz, je ne bois pas d’alcool, je fais pousser des roses dans mon jardin, je joue à la Beyblade avec mon gamin et il ne me vient pas à l’idée un seul instant de remettre en cause la légitimité du chef de l’Etat démocratiquement élu. Je ne l’apprécie pas ? Et bien j’irai voter pour quelqu’un d’autre.
L’armée est au service de la nation et aux ordres de l’Etat et elle le restera. A part une quinzaine de frustrés ou d’égarés qui s’épanchent dans de pseudo tribunes médiatiques, les 120.000 militaires qui font leur boulot au quotidien n’ont pas la moindre velléité de se mêler de politique.
Et pendant que nous y sommes, qu’ont ils fait du pouvoir les putschistes d’Alger ? Et bien ils l’ont aussitôt rendu aux politiciens…
Preuve de plus, s’il en fallait, que ce virus est à peine plus dangereux que celui de la grippe saisonnière – sauf que si les vaccins contre la grippe sont efficaces au mieux à 50%, nous attendons toujours le retour de la vraie efficacité des thérapies géniques ayant une fâcheuse tendance à modifier l’ADN du piqué (efficacité qui de toutes façons sera trafiquée, puisque exprimée en pourcentage relatif et non absolu.)
Les abominaffreux komplotisss qu’ils sont méchants avec pause-caca et sa clique l’avaient annoncé dès le début, avalanche de sarcasmes et de moqueries des MSM faisant foi, tout comme l’origine artificielle du virus, et une fois de plus, ils ont raison a posteriori. C’est assez réconfortant de voir qu’à chaque fois que la presse subventionnée met les doigts dans l’embrasure de la porte, elle claque méchamment dessus quelques semaines ou mois plus tard et qu’elle devenue bien est incapable d’en tirer les leçons qui s’imposent… 🙂
Il y a autre chose que personne n’a remarqué en regardant ces misérables images qui pourront servir plus tard à illustrer le caractère pitoyable de nos pseudo élites c’est le non respect des gestes barrières notamment avec cette photo, que vous auriez pu aussi joindre en illustration, d’un Macron « papouillant avec ses mains pleines de doigts » le buste en les épaules d’un pauvre Biden qui n’en demandait sûrement pas tant. D’ailleurs il faut rappeler le temps pas si lointain où l’on préconisait le port du masque comme mesure venant en complément ou en palliatif quand, justement, il était difficile de respecter cette distance jugée prophylactique de 1 à 2 mètres entre individus. En fait, le vrai problème du covid c’est que l’autorité à systématiquement voulu ignorer le recours à la compréhension et à l’intelligence des citoyens en ne prenant pour armes contre l’épidémie que des mesures bureaucratiques élaborées sur le principe, qui de plus en plus abime la démocratie, et qui se résume par cette veille phrase à l’emporte pièce « il y a des nains faisons des portes basses ». Alors, évidemment étant à mille lieues de se considérer faisant partie du vil peuple des nains , quand ils sont entre eux « les portes basses » c’est pour les autres.
Souvenez vous de ce que Hollande disait à propos du bas peuple – » les sans dents »
c’est pour cela que ce dernier est masqué – ce n’est pas à cause du COVID
pour une fois qu’un président a raison … soyons fier de notre république
Le comportement nomenklaturiste a toujours été une permanence des régimes socialistes, comme des Anciens Régimes et des cours royales.
Il en va du masque comme il en allait de la hauteur de la selle entre les manants et les nobles. Comme de l’usage des mignons dans les châteaux… C’étaient des marques d’apparat et de distinction sociale. L’odieux et pouilleux dénonciateur finissait d’ailleurs généralement à l’état de dépouille dans un fossé, car il avait osé vouloir se faire justice lui-même pour sa fille violée ou son fils abusé et mangé par l’ogre de céans. Quand on tue la preuve, on assassine la vérité. On ne dérange pas impunément la caste dirigeante !
Alors peu importe quand le maître actuel de l’Elysée ne devrait sortir pour sa part du Palais de la Présidence à la fin de son mandat qu’avec les menottes dans le dos, pour Crimes d’Etat, contre l’Etat et le Peuple, articles de loi à la pelle. C’est un récidiviste, lui ! Ses condisciples sont dans la Californie francilienne à qui il ne manque que l’Océan Pacifique pour être une nouvelle Silicon Valley. Moi aussi j’ai donné le nom d’Einstein à mon psittacidé rappeur. Il a un talent fou, il danse sur mes rythmes.
Je me rappelle qu’en 1980-1981 Mitterrand avait été accusé d’être un récipiendaire de la Francisque.
Ce n’était bien entendu qu’un ragot nauséabond d’extrême droite, spa ! As usual.
Qui ne sait que, une fois les caméras éteintes, « en off » comme on dit, la haute société gouvernante fait l’inverse de ce qu’elle impose aux autres par les textes législatifs ! Ne parlons pas des basiques et permanents dépassements de crédits, de privilèges et de prébendes, de vitesse sur les routes dans les voitures officielles, de la pollution des aéronefs utilisés jusqu’à l’ivresse car « C’est l’Etat qui paie ! » Là, le quotidien des usages aristocratiques « ne coûte par un pognon de dingues » quand on arrête en parallèle avec présentation au juge une mobylette mal réglée et pétaradante à 11 heures du soir alimentée par un gramme de shit. Révérence absolue à la loi, hein !
Au moins, à l’armée, quand le colon nous punissait d’une série de pompes, il en faisait de même et nous imposait le respect par son physique et sa droiture irréprochables. Aujourd’hui, peut-on encore donner le titre « d’élite » à ces racailles financières ?
Mais pourquoi les policiers se font désormais tirer l’oreille par la hiérarchie pour absence de verbalisation massive ? Il se murmure qu’ils auraient pris fait et cause pour le Peuple, peut-être pour ne pas se retrouver à endosser pour l’Histoire une nouvelle Rafle du Vel’d’Hiv.
Il y a donc beaucoup plus grave que ces entorses domestiques du port du masque ou non. Des enquêtes pour pédophilie sont en cours et qui impliquent les grands de ce monde à la suite du scandale Epstein. Compte tenu de la propriété avenue Foch du plus célèbre détenu « suicidé » dans sa prison de haute sécurité new-yorkaise (parce qu’il impliquait un ancien POTUS et sa femme, sans doute le Parti Démocrate US, la famille régnante UK et la socialie française habituée des riads de Marrakech), compte tenu de ses parts dans l’agence de mannequin parisienne, le non port du masque comme marque ultime de l’appartenance au « sang bleu » (la norme du masque est bleue), est un détail, que dis-je une consolation populaire ! à côté des ballets roses qui ébranlent les beaux quartiers et la République jusque dans ses fondamentaux constitutionnels. On arrête un fils de milliardaire proche du pouvoir pour trafic d’images pédo-pornographiques. On étouffe médiatiquement l’affaire immédiatement, avec menaces financières et professionnelles.
L’ambiance contemporaine putride du pouvoir nous rappelle l’affaire dite des Ballets Roses en 1959.
La Vème République survivra-t-elle à la socialo-macronie et à la pédo-criminalité endémique de ces régimes ?
Enfin, est-il légal, légitime ou à l’inverse « complotiste » de parler des délits, des frasques et des crimes de la Haute Société gouvernante ?