A l’approche des élections sénatoriales, les khmers verts d’EELV se prennent de passion pour cette chambre versaillaise, qu’ils comptent bien féminiser jusqu’à parité et au-delà… et aux dépens de LFI.
En 2020, « l’écologie » – comprendre : le masque vert derrière lequel avance le léninisme de Klaus Schwab – était devenue l’idéologie mondiale incontestée – tacitement acceptée par cette fausse droite (en France, notamment : LR, RN) qui, en paradigme gérontocratique, n’a pas osé passer pour l’alliée de la grippe. Du coup, on a vu les femmes blanches des centres de mégapoles, niqab pseudo-sanitaire en travers de la gueule, s’instituer en garde rouge du nouvel ordre virologique, et leur parti dédié, EELV, rafler une brouettée de municipalités, qui servent depuis lors de fermes-modèles à l’éradication des 4 nouvelles vieilleries.
Or tout cela a eu lieu avant l’émergence de l’alliance NUPES, et les sénatoriales, élections du copinage politicien par excellence, reflètent en général les rapports de force fixés dans les collèges électoraux par les municipales précédant le suffrage.
EELV : vers un sénat-gynécée strictement végane
On voit donc sans grande difficulté le message que cherchent, au sein de la NUPES, à faire passer les élu.e.s EELV en affirmant vouloir « représenter les femmes au Sénat » : outre l’absurdité – désormais communément admise – consistant à vouloir faire passer les détentrices d’ovaires (et identifié.e.s comme tel.le.s) pour une « communauté » ou pour une classe sociale, il s’agit, bien entendu, de faire comprendre à LFI ce qu’il pourrait lui en coûter de vouloir toucher au grisbi.
Face à un parti EELV dont le compostage semble être, en matière de retraites, le principal projet alternatif à la réforme macronienne, on pourrait en effet craindre, chez les choristes racisés de LFI et les spécimens muséographiques de feu le PC, que les dividendes médiatiques de leur pseudo-opposition inutile, mais bruyante ne finissent par leur monter à la tête.
Une mise au point s’imposait donc : ils auront leur part de prolos tabagiques amateurs de barbecue au Palais du Luxembourg, mais à condition de ne pas oublier – comme on dit en Roumanie – que « toutes les bouches doivent manger ». Y compris et surtout, derrière leur kleenex inclusif, les petites bouches véganes des khmères vertes, et la mâchoire aux muscles mal dissimulés du beylerbey Jadot, superviseur de harem de son état.
Il manquait plus que ça. Ceci dit, une chambre d’eunuques et de foldingues représentera parfaitement le pays des socialo au 21e siècle. Comme je dis souvent: maqueron c’est NOUS, personne d’autre.