Après un échange de vues actif, fin février, sur la situation actuelle et ses perspectives entre les trois « centres du pouvoir » mondiaux (Russie, États-Unis, Chine), une période d’accalmie s’est installée. Très probablement, très courte : un maximum de deux semaines, pas plus. Car pas plus tard que les dix derniers jours de mars, de nombreux « faisceaux » militaro-politiques et financiers-économiques devraient converger vers un objectif commun. La seule question est de savoir où se produira cette concentration et dans quelle direction elle se déplacera ensuite.
Cet article initialement publié sur riafan.ru n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.
Le fait que « l’alliance des démocraties » ait décidé de riposter, et ait commencé à menacer d’ouvrir un second front contre la Chine, indique que, soit la confiance totale des États-Unis et de ses alliés dans leur avantage, soit au contraire que la situation se détériore rapidement pour eux. Par conséquent, il leur faut donc, le plus tôt possible, « engager une bataille générale », à la suite de laquelle il sera possible de parler des conditions, sinon pour la paix ou une trêve, du moins pour un répit.
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