Rassemblant les experts d’une pseudoscience – la climatologie, créée ad hoc pour élever l’hypothèse boiteuse du réchauffement anthropique au rang d’une vérité révélée – et ceux des spécialistes de sciences légitimes qui ont accepté, moyennant quelques subventions, de s’asseoir sur leur épistémologie pour prêcher cette pseudoscience, le GIEC est donc à la fois une Congrégation pour la doctrine de la foi climatique et un Synode de Sodome de la corruption tous azimuts.
Ses orgies périodiques débouchent sur la ponte de rapports, qui – parodiant l’attente apocalyptique des premiers chrétiens – nous annoncent systématiquement la fin du monde pour dans 5 ans, tout en nous assurant (en contradiction avec les menaces du rapport précédent – et quitte à avoir à effacer quelques tweets plus tard) que « nous pouvons encore assurer un avenir durable vivable pour tous ».
Ce « pour tous » – cri de ralliement de tous les socialismes – prépare l’entrée en scène, lors du dernier synode (célébré à Interlaken), du Premier Vicaire de Davos : le communiste onusien António Guterres, qui conclut, dans le style caractéristique des ventes frauduleuses, qu’il n’y a « plus une minute à perdre ».
Nicolas Jeanneté doit assumer la présidence du GIEC !
Plus une minute à perdre, notamment, pour renflouer ses copains des élites kleptocratiques du monde en développement, qui – tout en offrant des orgies de développement carboné à une population qui risquerait, sinon, de les carboniser eux – entendent bien en profiter pour rançonner la jobardise sénile de l’homme blanc. Dans le dernier rapport, cet abus de faiblesse prend même le nom ronflant de « justice climatique ».
Ce faisant, le GIEC élargit aux rapports Nord-Sud le mode de fonctionnement qui est devenu le business model par défaut de la politique occidentale : la juxtaposition de pratiques mafieuses dont certains Borgia auraient pu avoir honte et d’un discours de la vertu immaculée qui semble avoir été calibré pour les adeptes florentines de Jérôme Savonarole.
Le JDD nous apprend, par exemple, que « Ce lundi, le directeur du parti politique Les Centristes, Nicolas Jeanneté, a été interpellé par la brigade des stupéfiants de Paris. Selon des informations du Parisien, il est soupçonné de s’être livré à un trafic de stupéfiants lors de plusieurs soirées ‘chemsex’. » Mais aussi que « l’élu centriste avait pourtant l’habitude de mettre en garde à propos des fléaux de la drogue ». Ite, missa est !
On peut s’autoriser à ne jamais lire une quelconque publication, compte-rendu ou communiqué du GIEC. C’est ce que je fais depuis au moins 2 ans.
En effet, Une rapide description de ce qu’est le GIEC s’impose. Contrairement à ce qu’affirme explicitement son intitulé en français (Groupe d’experts Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat), le GIEC n’est tout d’abord en rien un groupe d’experts, et le mot expert ne figure pas dans sa dénomination en anglais qui seule fait foi : Intergovernmental Panel on Climate Change, ou IPCC.
L’introduction mensongère du mot << expert » dans la traduction en français – comme dans les autres langues – du titre d'origine – est à elle seule révélatrice de l'absence totale de scrupules de ceux qui y ont procédé, convaincus qu'ils agissaient pour la bonne cause. Comme le montre tout dictionnaire, <> se traduit simplement par groupe. S’ils avaient voulu dire « groupe d’experts », les fondateurs de l’organisme onusien auraient employé l’expression « panel of experts », comme le spécifie à nouveau tout dictionnaire.
Ce mensonge fondateur est capital car, contrairement à la croyance désormais universelle et grâce à lui, le GIEC a réussi à faire croire qu’il était composé d’experts alors qu’il n’en est rien. Source Christian Gerondeau.
J’ajoute que le GIEC est en réalité un organisme dirigé par des idéologues et des politiques
Il semblerait que Monsieur Gerondeau ne soit pas exsangue de tout reproche non plus
Il s’attribue des qualifications qu’il n’a pas
Cela ne veut pas dire qu’il a tort mais pourquoi déformer la réalité le concernant
Cela décrédibilise son discours
À date je cherche essaye de comprendre mais il est difficile de tirer le vrai du faux sur le climat
Une chose à peu près sûre c’est que associer tous les problèmes de climat sur l’unique CO2 est du grand n’importe quoi, de là à dire que le CO2 ne soit pas un problème est aussi une hérésie
Maintenant une fois qu’on a dit ça on fait quoi ?
On est dépendant des ressources fossiles alors est-ce que l’idée cachée derrière le faux ennemi n•1 que serait le CO2 n’est pas en quelque sorte une diversion pour nous faire accepter une transition forcée pour se libérer de notre dépendance aux nations exportatrices moyen orient russie etc…
Le seul problème dans ce raisonnement est que les solutions retenues nous rendent dépendants à d’autres pays (mais avec possibilité de recyclage)
Le sujet est complexe et on ne peut pas dire pro climat ou climatosepticisme ! C’est plus complexe que cela
D’un point de vue politique par contre on prend n’importe quelle décision du moment que cela fait gagner une élection peu importe les conséquences ; et cela est vraiment problématique car on dirait qu’il n’y a pas de réflexion long terme
Vous ne pouvez pas comprendre tant que vous en restez au niveau “scientifique”, de même que la limitation au niveau sanitaire de la crise “sanitaire” est insuffisante.
Une fois démontée la narration pseudo scientifique, on découvre que ces questions sont d’abord politiques: schématiquement: des problèmes mondiaux doivent justifier l’instauration d’un gouvernement mondial à travers des instances ad hoc et l’instrumentalisation d’une science dévoyée par l’argent et les honneurs médiatiques. Le consensus affiché dans les deux cas n’est que la conséquence de la censure des dissidents fussent-ils des sommités dans leur domaine.
Le CO2 anthropique, extrêmement minoritaire par rapport aux flux naturels, n’a rien à voir dans l’affaire. On doit ici rappeler qu’il était en forte augmentation après la guerre alors que le climat global refroidissait ( un froid qui servait alors d’argument au Club de Rome et consorts pour annoncer que la fin du monde – et des ressources – était inéluctable ).
https://www.climato-realistes.fr/dans-les-annees-1970-cest-un-refroidissement-global-qui-inquietait-la-communaute-scientifique/
Deux époques différentes, même discours catastrophiste (emballé différemment), même accusé: l’homme dont il importe qu’il consente à être asservi à une dictature mondiale technocratique.
Ce n’est pas nouveau d’instrumentaliser à des objectifs politiques ce qui est impossible à vérifier pour le commun des mortels. Jadis, ce fut les religions (qui persiste toujours du reste). De nos jours, la complexité de la science, l’invisibilité d’un virus mais pas l’hystérie qui en découle, l’action invérifiable du carbone à part susciter des taxes bien ressenties celle là, je pense qu’une invasion extra-terrestre n’est pas à exclure à l’avenir si la crédulité se renforce par l’abrutissement généré, technologie comprise, et généralisé.
Si Pablo Escobar avait adhéré au parti socialiste et au GIEC, peut-être serait-il toujours en vie et serait encore plus riche.
Après le réchauffement, le changement, le dérèglement (comment donc le climat doit-il être réglé), les questions sur les températures commencent à poindre ça et là. Températures qui refusent d’ailleurs de s’affoler, d’autant que la moyenne mondiale est une supercherie.
La narration suivante pour continuer le délire climatique, ce sera la sécheresse. Faites attention, les mots d’ordre sont déjà lancés. Là encore, et comme pour le Covid, la réalité – virtuelle – sera créée par les décrets de l’administration, et la base factuelle par quelques actions en amont (comme la mauvaise gestion des barrages et autres réserves).
La miss météo de France TV nous “informe” quotidiennement du réchauffement spectaculaire à l’aide d’un thermomètre révolutionnaire qui affiche 9 décimales, soit une résolution de 1 nano degré.
Nonobstant cette prouesse technologique, j’avoue ne pas être très impressionné par un réchauffement de 1 degré par siècle alors que l’incertitude de mesure n’est certainement pas négligeable.
Donner un résultat de mesure sans en indiquer la marge d’erreur n’a aucun sens quand on fait de la métrologie. S’il y a des scientifiques au GIEC, ils doivent savoir cela !
La marge d’erreur admise est de plus ou moins 0,1 degré, soit 0,2 degré au total. Donc parler de nano degré pour mesurer le climat est juste une grosse arnaque!