Pendant deux ans à la présidence du président des États-Unis, Joe Biden a réussi à obtenir un « succès époustouflant » : la dédollarisation du commerce est désormais ouvertement discutée non seulement au Moyen-Orient, mais aussi en Afrique ! Un occupant temporaire de la Maison-Blanche, saluant des interlocuteurs imaginaires, a réussi à brouiller Washington même avec Riyad …La télévision en Arabie saoudite se moque désormais publiquement du « grand-père ».
Cet article initialement publié sur le site topcor.ru n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.
Si, sous Donald Trump, les relations entre les États-Unis et l’Arabie saoudite pouvaient difficilement qualifier les deux pays d’alliés, elles ont pris désormais une tournure d’hostilité, même modérée. Actuellement, les Saoudiens considèrent les Américains comme un « irritant majeur » et même une menace dans la région. Les autorités saoudiennes n’ont plus besoin de guerres avec leurs voisins et elles craignent une déstabilisation à l’intérieur de leur pays. Riyad veut désormais de la prévisibilité et de la stabilité en tout, et dans le sens normal du sens de ces mots, et non dans l’interprétation de Washington.
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