Devenue virale sur Internet, une vidéo hollandaise d’apologie des thérapies de réassignation (pardon : de « lutte contre la transphobie »), ciblant un public d’âge scolaire, nous montre le vrai visage de la « nouvelle normalité ». Schwabisme : stop ou encore ?
Quand on la compare aux frasques encore transgressives de la clique woke parisienne (par exemple : à l’atmosphère de canular soixante-huitard dans laquelle Marlène Schiappa exhibe ses bourrelets dans Playboy), ce qui frappe le plus dans cette vidéo pédagogique, c’est son ambiance de petite bourgeoisie parfaitement apaisée, propre sur soi. Presque tous les acteurs sont blancs, et le seul « racisé » du clip n’en rajoute pas en matière de caractérisation ethnique. C’est bien une sorte de normalité qu’on essaie de nous vendre : la nouvelle normalité de Klaus Schwab.
A ceux des lecteurs de son Covid19 : La Grande Réinitialisation qui se seraient demandé ce que peut bien signifier « inclusif » dans l’expression « vert et inclusif » qui s’est, dans ce texte et autour, transformée en tic verbal des davosiens – à ceux-là, il suffit désormais de montrer ce clip hollandais.
Cessez d’être transphobes : devenez anthropophobes !
Et en effet, la continuité avec les méthodes et les buts du covidisme est parfaite. La dysphorie de genre (maladie sous-jacente de ceux des enfants que notre société incite à devenir « des personnes trans ») a probablement toujours existé dans l’humanité, de même que les épisodes grippaux du début de l’hiver (quelle qu’en soit la cause médicale exacte) emportent des vieux et des malades chroniques – probablement depuis l’installation de Sapiens sapiens en zone de climat tempéré.
Le covidisme nous a donc transplantés dans un monde imaginaire, dans lequel la mortalité des vieux et des malades chroniques n’est pas normale, mais il est, en revanche, normal d’obliger les jeunes à vivre (« confinement ») comme s’ils avaient 80 ans et un cancer. L’état de ceux qui souffrent de dysphorie de genre, de même, paraîtra d’autant moins pathologique (dans l’esprit des davosiens) qu’on réussira à convaincre les enfants sains qu’il n’y a rien de plus désirable qu’une dangereuse opération d’amputation irréversible.
Le hic, c’est que les fameuses thérapies de réassignation produisent (en termes de suicides post-opératoires etc.) des résultats à peu près aussi brillants que les vaccins Pfizer. Le hic, c’est que l’espèce humaine existe – encore.
John Money, théoricien du genre, était un ardent défenseur de la pédophilie. Outre qu’il a détruit deux enfants au propre comme au figuré, il les a probablement violés.
Dans le soviet de Hongrie de Bela Kun, on ne poussait pas les enfants à devenir trans, on organisait des viols collectifs dans les écoles.
La pérennisation de l’Etat totalitaire se fait toujours avec les enfants.
Les vrais coupables dans ce RESET ce sont les VICTIMES : elles en redemandent ou elles se foutent de tout.