Sur un plateau de France 2, Hugo Clément a réagi à ceux qui lui reprochaient d’avoir participé au dîner de Valeurs Actuelles. Dans le buzz qui a suivi, la presse mainstream, bavardant à perte de vue sur le thème de la liberté d’expression, rate, comme d’habitude, l’essentiel.
???? Non Hugo Clément, ce n’est pas en allant chez «Valeurs actuelles» qu’on parle aux électeurs RN
— Libération (@libe) April 17, 2023
L'immense majorité de ceux qui votent Le Pen ne paient pas 35€ pour écouter Bock-Côté et Christine Kelly parler péril civilisationnel porte de Versailles ⬇️ https://t.co/ORxPh05LSH
Hugo Clément aurait, par sa présence, offert l’écologie sur un plateau à l’extrême droite, ensemble de mouvances discriminatoires et donc incapables de pratiquer la « vraie » écologie, qui se doit d’être inclusive. C’est le point de vue de Paloma Moritz, qui veut sauver les dauphins et ne supporte pas que l’idéologie décroissante des Khmers verts échappe à l’extrême gauche.
Il est vrai que, pour l’instant, le droit d’affamer les gueux au nom du bonheur de Gaïa revient exclusivement aux Gardes rouges de Davos. Davos ayant le progressisme chevillé au corps, en effet, de Lula à Trudeau en passant par Sanna Marin, il vaut mieux être de gauche pour obtenir le droit d’appliquer avec une digne férocité les préceptes du Great Reset.
Du discours lepéniste, à la rigueur – mais alors, davoso-compatible !
Jean-Marie Le Pen avait bien, en son temps, donné des signes de bonne volonté, notamment en reprenant à son compte le discours néo-malthusien du Club de Rome sur la surpopulation, qui semblait faire bon ménage avec la thématique du Grand Remplacement.
Mais rien à faire : le discours de l’extrême droite ne devient présentable qu’à partir du moment où il est adopté par un parti convenablement doté en Young Global Leaders : un Macron cherchant depuis peu à voler le pain « Lisbonne Vladivostok » de la bouche des pépés LR, un Darmanin réchauffant du Sarko pour harponner du frontiste, un Le Maire découvrant le bruit et les odeurs ou un Véran scandant sans rougir « Travail, Ordre, Progrès ! ». Les gens veulent de la droite ? Davos va leur en donner !
Hugo Clément, ex-futur ministre de l’écologie de la Macronie, défend l’idée qu’« il faut faire en sorte que l’écologie dépasse les clivages partisans ». Mais, sur ce point, l’histoire lui donne d’ores et déjà satisfaction : la même psychose apocalyptique à base de climarnaque – appelant à l’application des mêmes bonnes recettes du N.O.M. façon Schwab – irrigue le discours de cette (extrême-)droite de synthèse (Renaissance Brune) et celui de la gauche de Davos (NUPES Rouge).
Il n’y a plus qu’un seul parti : le parti climato-génocidaire.
Tuer tout le monde sauf les milliardaires et les journalistes.
Autrement nommé parti du « capital »…
« Le Capital doit se protéger de toutes les manières possibles, par la combine et la législation à la fois. Les dettes doivent être remboursées, les hypothèques doivent être saisies aussi vite que possible. Lorsqu’à travers un processus légal, les gens ordinaires perdent leurs maisons, ils deviennent plus dociles et plus facilement gouvernés par le bras séculier du gouvernement mu par un pouvoir central exercé par les riches sous la direction des financiers.
Ces vérités sont bien connues de nos agents qui s’emploient à présent à former un impérialisme pour gouverner le monde. En divisant les électeurs grâce au système des partis politiques nous les forçons à dépenser leurs énergies et à se battre pour des questions insignifiantes. C’est ainsi, par l’action discrète, que nous parviendrons à sécuriser pour nous-mêmes ce qui a été si bien planifié et accompli avec autant de succès. »
(Montagu Norman, gouverneur de la BoE, discours tenu en 1924 devant l’Association des banquiers des Etats-Unis)
« Climarnaque » : Le Fonds pour l’environnement mondial (FEM) est l’un des mécanismes clés dans le cadre du financement de la future monnaie mondiale que les élites bancaires globalistes contrôleront, et qui débouchera, par la force des choses, sur un gouvernement mondial ploutocratique désigné du doux nom de « Nouvel Ordre Mondial ».
Le FEM, « validé » par le biais des Nations Unies en 1992, lors de la conférence sur l’environnement et le développement, plus connue sous le nom de « Sommet de Rio », est une organisation financière indépendante gérant le système de financement destiné, soi-disant, à mener des actions pour la préservation de l’environnement, dans le cadre du « développement durable ». Il accorde, entre autres, des subsides au projet lié à la lutte contre les effets du pseudo réchauffement climatique. « Pseudo », en effet, car il est avéré que la température, plus élevée dans les temps anciens, s’abaisse graduellement ; le mensonge du « réchauffement climatique » est destiné, en partie, à faire croire que les « élites » actuelles et leurs scientifiques dits « sérieux » peuvent apporter tous les progrès, même ceux du climat. Explication :
On observe dans la Nature deux espèces de mouvements : des mouvements « spontanés » et des mouvements « transmis ». Cette seconde cause de mouvement engendre des déplacements qui déterminent la plupart des phénomènes météorologiques en dérangeant la stabilité de l’enveloppe gazeuse de la terre. Nous voyons que c’est cette cause qui détermine la chute des corps à la surface terrestre. Mais cette réaction constante de l’Azote vers la terre, qui lui a pris sa place dans l’espace, n’est pas la seule réaction qu’il exerce. Il tend aussi à se dilater dans une autre direction, c’est-à-dire vers les régions célestes de l’infini. De ce côté il est contenu par l’action dynamique des radiations qui le frappent incessamment. Mais les radiations ne sont ni immuables ni éternelles, elles sont, au contraire, dans un état constant de variabilité. Or, chacun des changements qui surviennent dans leur mode d’action se traduit, dans les profondeurs de notre atmosphère, par un changement d’état de la réaction de l’Azote. L’Azote (appelé « Ether » dans l’antiquité, « Akâsha » chez les Hindous ou « Akéréné » dans la Science de l’A-Vesta) est une substance qui n’est pas seulement dans notre atmosphère, mais au-delà, partout, et dans l’univers entier, sous des états de condensation ou de raréfaction qui dépendent du milieu dans lequel elle s’épand.
– Si la pression des radiations devient moins forte, l’Azote se dilate dans l’atmosphère ; tous les corps qu’il comprimait se dilatent aussi : c’est la chaleur.
– Si la pression devient plus forte, l’Azote augmente sa réaction vers la terre, il comprime plus fortement les corps qui en occupe la surface : c’est le froid.
– Si la pression en plus ou en moins est accidentelle, si elle n’intéresse qu’un seul point de l’atmosphère, il en résulte un changement de densité qui, en se propageant aux couches les plus voisines y détermine « un courant ». C’est le vent.
– Si un seul faisceau de radiation vient à manquer subitement, c’est un vide subit qui est offert au besoin d’expansion de l’Azote et dans lequel il se précipite en tournoyant : c’est une trombe, une tornade, un cyclone. Le mouvement commencé dans les régions élevées de l’atmosphère se propage de haut en bas. Lorsqu’il atteint la surface terrestre, le bouleversement des éléments atmosphériques, qui en résulte, détermine toutes sortes de ravages.
Ainsi donc tout ce qui se passe sur la terre à une cause cosmique ; tout dépend de l’action des astres. C’est dans les profondeurs de l’océan céleste qu’il faut aller chercher la cause de la plus légère brise qui souffle autour de nous. La terre y est étrangère. L’esprit de l’homme, perdant de vue l’Univers, s’est confiné dans son petit monde et a voulu y trouver la cause de tout ce qui existe. C’est là une méthode mesquine que la science de l’Univers détruira.
NB : Lumière blanche engendrée par la radiation solaire, les lumières colorées engendrées par les radiations stellaires et l’azur céleste produit par l’Ozone, forment un ensemble de couleurs que nous voyons plus ou moins pendant le jour. Mais, dans l’hémisphère nocturne on ne voit plus rien, tout s’efface, toutes les couleurs disparaissent et « le noir » forme le fond de notre horizon. Cette couleur noire, qui couvre tout en l’absence des étincelles qui font la lumière, est celle de l’Azote qui remplit l’espace.
Blog : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/
« l’idéologie décroissante des Khmers verts échappe à l’extrême gauche. » J’ai l’impression de lire Le Figaro, Le Point ou Luc Ferry, bref tous les perroquets qui associent écologie politicienne (EELV, donc) et décroissance. Informez-vous sérieusement, M. Schwartz, sur ce que vous appelez l’idéologie décroissante et revenez nous en parler honnêtement dans quelques mois. Une piste d’informations : lisez tous les mois le journal « La Décroissance » (3,50€). Vous n’êtes pas obligé d’être d’accord avec eux mais vous y trouverez des articles bien écrits, intelligents, non dénués d’humour et qui vous sortiront des clichés faciles, voire malhonnêtes.
Euh… merci pour ces précieuses références. A vrai dire, j’étais au courant de l’existence de cette publication, dont je n’ai hélas strictement rien à foutre.
Moi même, j’ai longtemps vécu au village. Si, comme moi, vous aimez la proximité des pâturages, personne ne vous retient, seul, en famille ou en communauté. L' »écologie politique », en revanche, c’est une variante du bolchévisme, face auquel je soutiens à la méthode du bon docteur Pinochet.
Non seulement vous écrivez des âneries mais en plus vous êtes grossier. Quel dommage que vous n’en ayez rien à faire, la lecture de ce journal vous mettrez un peu de matière crise dans la tête, à moins que la matière fécale y prenne déjà toute la place. Et si Pinochet est une référence pour vous, vous êtes encore plus crétin que je le craignais.
J’avais découvert Le Courrier des Stratèges à l’occasion des synthèses de M. Husson qui étaient de qualité mais depuis le changement de format et de fond de cette année, ce site devient désespérant de médiocrité.
Les rédacteurs du Journal de la décroissance n’ont rien à voir avec les représentants d’EELV qu’ils dénoncent comme <>, La Décroissance n’a pas été dupe de la coronarnaque et est contre l’identité numérique ,le wokisme et la civilisation technicienne. Ce journal a même été traité d’extrême-droite. Pour en revenir à l’idée de décroissance je cite Aurélien Barrau :
Notre <> n’est :
Ni la seule possible, ni tenable, ni souhaitable.
Problème de guillemets avec mon smartphone:
représentants d’EELV qu’ils dénoncent comme « écotartuffes ».
notre « civilisation » :
Ni la seule possible, ni tenable, ni souhaitable.
WILLIAM ENGDAHL ET LE DEPEUPLEMENT
https://reseauinternational.net/le-programme-vert-zero-carbone-est-impossible-a-tous-les-egards/