Du jour où le respect des libertés est soumis à quelque condition préalable que ce soit – notamment à l’approbation d’un collège d’expert –, l’arbitraire du pouvoir étatique devient virtuellement total, et aucune minorité ne sera durablement à l’abri. Avis aux homos qui ont fait confiance à Schwab.
L’arbitraire étatique – dont le but final est naturellement de tenir tout le monde en respect – aime procéder par l’exemple, en abattant la main d’une lourde répression sur les groupes sociaux situés « du mauvais côté de l’Histoire » du point de vue de l’idéologie dominante d’une société donnée.
Dans les sociétés occidentales, le groupe idéologiquement dominé/culpabilisé est celui des jeunes hétérosexuels blancs, constamment appelés à repentance. Pendant « le Covid », ils ont dû renoncer à leurs fêtes, pendant que les clubs échangistes – assidument fréquentés par le boomer Eric « je sais pas où se trouve Davos » Zemmour – restaient ouverts, tout comme la foire au teuchi du 93 et les sacro-saintes cliniques d’avortement.
Tout cela reposait sur l’opinion d’experts concernant l’association – jamais prouvée, et même infirmée par les observations statistiques de Pierre Chaillot – entre certaines pathologies et la présence (sur la foi des tests PCR) dans tel ou tel organisme d’un agent réputé pathogène. Exactement comme la première arnaque virologique mondialiste, donc, qui reposait sur le même type d’association jamais sérieusement démontrée entre le syndrome du SIDA et l’agent viral réputé pathogène HIV.
Tous bouclés, tous protégés !
Dès l’époque des confinements – surtout à partir du lancement de l’intox « variole du singe » – j’avais mis en garde : cette nouvelle jurisprudence, tôt ou tard, justifiera la répression des conduites homosexuelles.
Certes pas dans l’Occident historique, où l’homosexualité est révérée par une élite qui y voit un comportement hostile à la structure familiale (Alain Daniélou voyait cela différemment), et susceptible de contribuer à l’extinction de l’homme blanc, « toxique » pour « la Planète ».
Au cœur de l’Occident pigmenté, en revanche, l’Ouganda – Mecque de l’homophobie pour la police onusienne des anus – a pris le relai : le président ougandais, Yoweri Museveni, a signé ce lundi une loi qui prévoit une peine de 20 ans de prison pour ceux qui encouragent les relations homosexuelles et punit de la peine de mort ceux qui commettent un tel acte alors qu’ils sont porteurs du virus du sida.
Vivement le vaccin ougandais, pour retrouver la Vie d’avant !