Une nouvelle étude italienne publiée dans le Journal of the Endocrine Society alerte sur la hausse des cas de puberté précoce chez des filles pendant la crise du Covid. Le nombre de filles diagnostiquées avec une puberté précoce a considérablement augmenté pendant la pandémie en raison de facteurs de risque comme la prise de poids, le temps passé devant les écrans et la réduction de l’activité physique.
Dernièrement, nous avons évoqué dans nos colonnes, comment la pandémie a affecté la santé mentale des jeunes et a réduit la durée de leur sommeil. Leur rythme de vie a été fortement perturbé par le confinement imposé par la crise sanitaire. Une étude suédoise vient de dévoiler les effets dévastateurs du confinement, les confinements n’ont eu aucun effet significatif sur la mortalité liée au virus. Au contraire, ils ont occasionné des conséquences désastreuses sur l’économie et la société Nombreux sont les jeunes qui ont subi une dégradation de leur santé mentale, et beaucoup ont développé des sentiments dépressifs. Tous les déplacements toutes les occasions d’effectuer des activités en dehors du domicile ont été restreints pendant plusieurs mois. Une étude récente publiée dans le Journal of the Endocrine Society révèle une tendance inquiétante.
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« La plupart de ces jeunes filles adoptaient de mauvaises habitudes alimentaires »
Plutôt qu’incriminer l’inactivité, l’ingestion de plus d’aliments industriels contenant des perturbateurs endocriniens et des hormones de croissance me semblerait être un sujet d’étude plus pertinent…