Le sujet est évidemment moins sensible que la vaccination des soignants contre le COVID, que la HAS avait traité au mois de mars. On se souvient que, dans un avis hautement disputé, l’autorité avait ouvert la voie à une suspension de cette obligation vaccinale dans les hôpitaux publics (et dans quelques autres endroits). Cette fois, la HAS s’est prononcée à propos des autres vaccinations, qui ont historiquement suscité moins de polémique. Le sujet mérite toutefois d’être souligné et relevé. La HAS reste en effet sur une ligne général de vaccination obligatoire.
La Haute Autorité de Santé (HAS) vient de remettre un avis qui n’est pas sans intérêt sur la vaccination obligatoire des soignants. Dans le cadre de ce “2è volet”, la HAS s’attaque aux vaccins autres que les vaccins anti-COVID.
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La vaccination avec des vaccins longuement testés et dont on a un recul de dizaines d’années ne pose pas de problème aux soignants , ce qui fait enrager les soignants c’est le soit disant vaccin anti-Covid expérimenté en population générale sans consentement ce qui va à l’encontre du code de Nuremberg ! Le prix Nobel Luc Montagnier avait dit « ce n’est pas un vaccin et il est toxique ». Que faut-il à MacRon pour ouvrir les yeux?
Les vaccins ne sont pas toujours “longuement testés”. Les adjuvants ont changé et les vaccins échappent aux études contre vrai placebo…
Les effets néfastes dont difficilement repérés sur le long terme. (*)
Reste cette étude intéressante (et rare):
https://medecine-integree.com/wp-content/uploads/2015/01/Nonvaccines.pdf
De mémoire, une étude similaire avait été menée en Afrique par un professeur danois avec les mêmes résultats.
Ce genre d’étude est impossible dans un pays où les vaccinations sont obligatoires.
(*): Pfizer a vacciné les groupes placebo au bout de quelques mois…
Oui, bon… Le truc c’est qu’on a aussi fait du chemin à la faveur de la paranoïa covid. On sait désormais (à coup sûr) que nos dirigeants nous sont hostiles, qu’ils ne reculeront par exemple devant aucun bidouillage des vaccins anciens, pour y agréger leur sauce à l’ arn, au graphène ou au venin de cobra. On sait aussi qu’il existe une forte contestation de la théorie virale en tant que telle, et de l’utilité et la vertu prétendue des anciens vaccins. On sait surtout comment devenir aussi physiquement sain qu’un mormont (il est vu qu’il n’y a ni autisme ni quasiment de ces maladies qui sont notre lot commun, à nous autres mondialisés, dans leur communauté !), sur la base d’une médecine naturelle, faite de plantes et d’argiles, dont on a eu le loisir de faire les preuves, et donc pouvoir refuser par précaution minimale systématique de nous soumettre aux “bonnes intentions” de leurs petites seringues !
Oui il serait intéressant de faire des études dans les pays qui ont soi-disant stopper la propagation de certaines maladies contagieuses par le passé grâce aux vaccins ou grâce à l’arrivée progressive de tout un tas de techniques permettant d’améliorer l’hygiène chez les individus. On a vacciné des pays pauvres et les maladies ont dû mal à disparaître. Et l’hygiène n’est pas la première des choses que l’on trouve dans ces pays pauvres (tout à l’égout, accès à l’eau courante, etc… etc…). Je ne cherche pas a critiquer l’intérêt des vaccins mais je m’interroge quelque peu