L’avancée de l’intelligence artificielle (IA) dans le domaine de la santé ouvre chaque jour de nouvelles perspectives étonnantes, notamment dans le développement de médicaments. Insilico Medicine, une société de biotechnologie basée à Hong Kong et à New York, a récemment annoncé le lancement de son nouveau médicament conçu par l’IA pour lutter contre la COVID-19. Ce médicament oral, une alternative au Paxlovid, nommé ISM3312, serait actuellement en phase I d’essais cliniques. A croire que la manne du Covid rester un formidable accélérateur de profit pour l’industrie pharmaceutique.
L’utilisation de l’intelligence artificielle dans le processus de développement de médicaments ouvre de nouvelles possibilités d’accélération de la mise au point de traitements. Insilico Medicine vient d’annoncer la sortie de son médicament ISM3312, conçu par l’IA pour lutter contre le COVID-19. Selon l’équipe de recherche d’Insilico, ce médicament offre une alternative aux limites de Paxlovid, notamment en ce qui concerne les effets secondaires et la résistance aux variants.
L’ISM3312 une alternative au Paxlovid
L’utilisation de l’intelligence artificielle dans le domaine de la santé a révolutionné la manière dont les médicaments sont développés. Insilico Medicine, une société de biotechnologie axée sur l’IA basée à Hong Kong et dans le nord-est de York, a utilisé son expertise en IA pour concevoir ISM3312, un médicament oral destiné à combattre le COVID-19.
Selon Insilico Medicine, contrairement aux vaccins, ce médicament est un traitement qui vise à réduire la charge virale et l’inflammation pulmonaire chez les patients atteints de la maladie. Une des principales motivations derrière la création d’ISM3312 est la limitation des effets secondaires associés à Paxlovid, le médicament actuellement utilisé pour traiter la COVID-19.
Depuis l’utilisation du médicament antiviral Paxlovid de Pfizer, de plus en plus de patients américains ont signalé le phénomène de rebonds de COVID. Le phénomène de rebond se présente comme une réapparition des symptômes du COVID-19 ou d’une nouvelle positivité au test viral après un test négatif.
Certains patients se plaignent d’un goût désagréable dans la bouche après avoir pris Paxlovid. Le risque de développement de souches résistantes à ce médicament est un autre sujet de préoccupation. Pfizer s’est toujours défendu en déclarant que le rebond de la charge virale serait une progression naturelle de l’infection virale, qui ne serait pas causée par le traitement par Paxlovid.
Les études précliniques ont montré que ISM3312 réduisait significativement la charge virale dans le tissu pulmonaire et diminuait l’inflammation pulmonaire, ce qui en fait une option thérapeutique attrayante. Il a été démontré qu’il était efficace contre les variants résistants à Paxlovid. De plus, ce médicament est plus stable et a une durée d’action prolongée.
Un médicament généré par IA en phase I d’essais cliniques
Le processus de développement d’ISM3312 repose sur l’utilisation de l’IA générative. Insilico Medicine a utilisé sa plateforme de découverte de cibles, PandaOmics, pour identifier la protéine cible du coronavirus. Ensuite, sa plate-forme de chimie générative interne, Chemistry42, a été utilisée pour générer de nouvelles molécules qui cibleraient cette protéine. La molécule ISM3312 a été découverte en février 2020, suivie d’une demande de brevet en avril 2020.
Alex Zhavoronkov, PhD, fondateur et PDG d’Insilico Medicine a déclaré que « le médicament s’est avéré efficace contre tous les variants, ainsi que contre d’autres types de coronavirus qui causent des maladies, y compris le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) et le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) »
Une caractéristique clé d’ISM3312 est sa facilité de production à grande échelle, selon Zhavoronkov. Son processus de fabrication en deux étapes utilise des matériaux courants, ce qui pourrait faciliter sa distribution à l’échelle mondiale.
ISM3312 est actuellement évalué dans le cadre d’une étude de phase 1 visant à évaluer l’innocuité et la tolérabilité du médicament chez des volontaires sains. Les résultats des essais cliniques devraient être publiés d’ici la fin de 2023.
Pour le Dr Harvey Castro, médecin urgentiste certifié en médecine d’urgence à Dallas, au Texas, et conférencier national sur l’intelligence artificielle dans les soins de santé, le ISM3312 représente un « pas en avant significatif » dans la lutte contre la COVID-19 et l’utilisation de l’IA pour la découverte de médicaments. Il a toutefois souligné que « les médecins devraient rester prudents ». Il recommande « des essais cliniques plus approfondis et des approbations réglementaires mondiales pour confirmer son efficacité et son innocuité. »
À ce jour, on est en droit de se demander pour quelle raison l’OMS s’oppose à des traitements tels que l’Ivermectine, peu coûteux et dont de nombreux éléments laissent à penser qu’ils sont efficaces. L’OMS semble agir rapidement pour décourager l’utilisation potentielle de ces types de traitements contre le COVID, ce qui suscite des inquiétudes. Ce type de produit de masse peu coûteux pourrait sans doute diminuer les profits astronomiques que Big Pharma compte encore engranger avec le covid.
jusqu’au bout de l’arnaque/escroquerie covid !
Vous vous demandez vraiment pourquoi l’OMS s’oppose à des traitements peu coûteux ?
Comme si vous ne saviez pas que l’OMS a principalement pour rôle de promouvoir les produits très chers, très inefficaces et très dangereux de Big Pharma !