Consignant comme à regret le fait (anodin ?!) que le Président de la République ait été hué lors de l’ouverture de la Coupe du monde de rugby, le plumitif de Libération concentre sa verve haineuse sur le spectacle d’ouverture, trop indulgent d’après lui avec tout ce que Libération vomit : le passé, les terroirs, la culture française, désespérément hétérosexuelle, familiale – bref : humaine.
Car l’événement, en l’occurrence, c’est bien cet article de Libération, et le concentré d’idéologie de l’Antifrance qu’il propose. Plus, en tout cas, que le non-événement d’un sport relativement mineur dans la hiérarchie spectaculaire, et du spectacle d’ouverture bien kitsch et bien cher que le Très-contribuable s’est au passage – et, comme d’habitude : de gré ou de force – tapé.
Non-événement pourtant devenu le « gros titre » d’un weekend dans une France par ailleurs arrivée au point mort de la pseudo-politique : après les pleins pouvoir de Saint-Denis, et maintenant que la démagogie islamophobe de la presse Bolloré est devenue doctrine d’Etat, à quel propos va-t-on bien pouvoir faire semblant de débattre ?
Même les huées ayant accueilli l’intervention du Chef de l’Etat – un symptôme fort inquiétant – ne sont pas vraiment analysables du point de vue de la presse subventionnée.
Macron, pas assez macroniste pour Libération
Libération, par exemple, se contente d’y voir la conséquence du fait (ô combien déplorable) que la Macronie, trop respectueuse de son mandat électoral, n’applique pas le programme de la NUPES. La « Rance », comme Libération l’appelle, n’est pas assez « inclusive ». Et trop totalitaire, peut-être, covidiste, climatiste, prise en otage par une expertise corrompue devenue religion d’Etat ? Non, ça, c’est bon, ça passe crème.
Reste donc – au titre du tout dernier os à ronger – à déployer des prouesses d’herméneutique dans le commentaire du kitsch hors de prix du spectacle d’ouverture. Exercice assez facile pour Libération, dans la mesure où ledit spectacle (mis en scène dans un goût Amélie Poulain) commet, du point de vue de ce quotidien-phare de l’Antifrance, le crime de laisser la part trop belle aux symboles de la France profonde, odieusement enracinée dans ses saletés de terroirs, affreusement hétérosexuelle et (même si le reproche reste, pour une fois, implicite) beaucoup trop blanche.
Septembre 2023, bonne gens : quand vous huez Macron, la presse aux ordres vous explique qu’en fait, c’est parce qu’il n’est pas assez radical dans le macronisme.
» Même les huées ayant accueilli l’intervention du Chef de l’Etat – un symptôme fort inquiétant – ne sont pas vraiment analysables du point de vue de la presse subventionnée. »
Reste à savoir la raison de ce déficit d’analyse de la presse subventionnée (par en bas – le peuple – et par en haut)
https://odysee.com/@PrinceActarus74:a/LA-FABRIQUE-DES-ENPAFES:d
Excellente conclusion de MS, quand les français huent Macron c’est qu’il n’est pas assez macroniste au goût de la presse subventionnée ! Il faut comprendre que Macron est aux ordres du cartel de la presse qui obéit aux mondialistes xenocratiques,
Ah , ces ploucs provinciaux, leurs clopes, leur diesel, leur apéro Ricard, et tellement ignares et donc impossibles à convertir. Et intransigeants avec leur terroir et leur identité, et par dessus le marché votant Le Pen mais où va-t-on !
La dernière photo de famille du Quotidien des pédophiles manquait cruellement de pigmentation.