L’affaire de l’association protestante Torrents de vie – soupçonnée de « thérapies de réorientation », elle est entrée dans le collimateur du gouvernement LGBT d’Emmanuel Macron suite à un reportage/délation des auxiliaires de répression de BFM – repose, paradoxalement, la question de la laïcité : de toute évidence, ce sont deux religions qui s’affrontent autour de la question du genre.
Rappelons d’abord les faits.
Même si on peut, de nos jours, soupçonner le saccage des structures familiales par le féminisme de démultiplier ces cas, il a de tout temps existé des individus dont les goûts sexuels, rapportés à leur « sexe biologique » s’avèrent anormaux (au sens statistique du terme).
Comme cette anomalie – quoique source de souffrances pour beaucoup (comme en attestent les taux de suicide comparés) – ne les rend pas automatiquement dangereux pour autrui, il n’existe, dans une société démocratique/libérale, aucune raison politique de médicaliser/pathologiser leur état de façon autoritaire.
Leur comportement allant à l’encontre de la morale chrétienne, la société européenne de l’avant-guerre, par exemple, proposait à ceux qui se considéraient comme malades la possibilité de bénéficier de traitements psychologiques, dits « de réorientation ».
La secte transhumaniste actuellement au pouvoir en Occident historique a – selon une logique qui est historiquement celle du satanisme – renversé les termes de cette morale, considérant que le goût (rebaptisé « le genre ») doit toujours avoir la préséance sur les prédéterminations génétiques/anatomiques.
Officialisation du satanisme d’État
Elle promeut donc des « thérapies de transition » (hormonales, chirurgicales…) qui, comme les « thérapies de réorientation », peuvent, à l’occasion, avoir des conséquences dommageables – et qui, dans un cadre libéral, devraient néanmoins être rendues accessibles (aux adultes, tout du moins) dans les mêmes conditions de respect du choix individuel.
C’est ici qu’apparaît l’État autoritaire davosien, acquis aux croyances anthropophobes de la secte transhumaniste : subventionnant d’une main la révolution trans (y compris un marketing transsexualiste visant des mineurs dans un cadre scolaire), il pénalise de l’autre l’activité (philanthropique de leur point de vue) d’adultes (chrétiens) cherchant à aider d’autres adultes consentants (patients auto-déclarés) à échapper à leur homosexualité.
En d’autres termes : souvent décrit (y compris par les plus myopes de ses opposants) comme « libéral », l’Etat davosien est en réalité théocratique – privilégiant simplement, avec une brutalité typiquement totalitaire, la religion révélée par le prophète estampillé WEF Youval Harari sur celles de Moïse, Jésus et Mahomet.
Non seulement secte, mais mafia car utilisant la corruption, les menaces, le chantage et , si tout cela est insuffisant, le meurtre.
Harari ne s’est pas caché d’aller jusque là si “l’humanité ne consent pas à abandonner sa souveraineté à l’élite”… (Davos, janvier 2023)
Excellente analyse l’Etat davoisien n’est pas Libéral mais théocratique ou plus exactement satanocratique. C’est l’inversion du récit de la genèse «goûtez du fruit de l’arbre de la connaissance et vous serez comme des dieux «. Ceci explique pourquoi APPLE affiche le symbole luciférien de la POMME CROQUÉE.
Claude commente : Bel article offrant des formules langagières percutantes. Merci. Cependant il me semble qu’il faut approfondir la réflexion ou ma réflexion. En effet l’histoire de la Rédemption entre en ligne de compte si l’on ne veut pas se contenter, paresseusement, de surfer mondainement sur la vague du révisionnisme païen. Oui ! Dieu Vivant se mouille dans cette approche de la bonne santé humaine des êtres à âmes immortelles destinés à vivre en Vérité.
Modeste dit : ‘aucune raison politique de médicaliser/pathologiser’. C’est discutable. En 1960 étions-nous en démocratie ? (Je présuppose que le libertarisme est un venin individualiste anti-démocratique, anarchique). D’autre part un corps social national et patriote doit se préoccuper de sa pyramide démographique, du renouvellement des générations et de sa croissance. L’homoérotisme est contraire à cette nécessaire ambition politique, à cette ‘valeur républicaine’ si l’on veut se moquer du culte de l’individualité laïciste.
Modeste dit : ‘Leur comportement allant à l’encontre de la morale chrétienne’. C’est un peu court, réducteur. Dieu Vivant, spécialiste en nature humaine droitement gouvernée, répugne à valoriser les actes d’homoérotismes, de viols d’anus, de violences, d’actes contre-nature. La solide culture fructifiante est une alliée de la nature et des jardiniers. La violence homoérotique, valorisée par des décrets et des lois d’ambiance, est un poison décivilisateur et destructeur d’un corps social. Seul le totalitarisme suicidaire de l’Occident collectif valorise légalement l’homoérotisme, cela laisse augurer notre mise en esclavage par certaines puissances politiques qui ne sont pas tombées sataniquement dans ce travers mortifère.
Modeste dit : ‘échapper à leur homosexualité’. Peut-on perdre ou échapper à son nanisme, répondront les détracteurs de Modeste ? En vérité il n’y a pas de personne humaine homosexuelle, de même qu’il n’y a pas de personne voleuse. Il y a des actes homorérotiques stériles, il y a des vols, il y a des duos homoérotiques, il y a des gangs. Un nain prend un coussin sur sa chaise pour manger à la table des ‘adultes’, à ma table ; un bébé a sa chaise. Un être humain à tendance homoérotique se sert de la continence pour vivre en société. Un homme mature qui ressent le besoin de me voler ne vient pas à ma table, il s’abstient de venir ou n’est pas invité à cause de sa violence non contenue. L’homoérotique Attal va se prendre un coup de boomerang psychologique et personnel avec son Abaya interdite, il devra inéluctablement fermer des écoles, ses tables de cantine, ses tables de divisions. Attal, produit du macronisme wokomondialiste, est un idéologue assis sur l’argile laïciste et franc-maçon, son anthropologie est deshumanisée et donc son tas de sable va être raviné de toute part, comme le fut l’anthropologie communiste.
Modeste dit : ‘l’Etat davosien est en réalité théocratique’. Non il est païen. Harari est un apostat des judaïsmes. Moïse est un vrai prophète du Dieu Vivant. Jésus n’est pas un prophète mais Dieu-Lui-même, il surplombe la Torah. Mahomet, tel qu’il est décrit dans le petit livre vert impérial coranique, n’a jamais existé sur Terre ; c’est un personnage de légende comme l’est le père Noël. Il a pu exister un personnage historique doué de faux-prophétisme qui a servi de modèle au personnage de fiction.
Modeste devrait se demander pourquoi Jésus-Dieu, excellent avocat, ne plaide pas sa cause avec brio devant Pilate. La réponse sera une révélation.
Bravo pour votre comparaison entre la thérapie de reconversion et les thérapies de transition. La première est moins dangereuse que la seconde qui est irréversible.
On peut noter que BFM sait enquêter quand il le veut. Espérons qu’ils nous disent qui a fait sauter le gazoduc !