Avec le Covid-19, les scientifiques ont mené différentes recherches pour expliquer la différence de gravité de l’infection chez les personnes contaminées. Certaines personnes infectées par le Covid-19 ne présentent que des symptômes légers ou modérés, tandis que d’autres risquent de développer des troubles plus graves. Selon une étude, il est possible de déterminer la gravité de la maladie par l’évaluation du son de la toux, une méthode peu coûteuse et accessible.
Alors que de nombreux outils de diagnostic sophistiqués sont disponibles, tels que la radiographie et la tomodensitométrie, leur accessibilité et leur coût limitent leur utilisation généralisée. Dans ce contexte, une nouvelle approche émerge, celle de l’analyse sonore de la toux, comme un moyen potentiel de déterminer la gravité des patients atteints de COVID-19.
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En 2021 j’étais consterné par la corruption assez généralisée des médecins qui ont vacciné à tour de bras, pour toucher la prime à la vaccination sans le souci d’inoculer un produit vérifié et expérimenté. J’avais été consterné par la corruption des autorités de santé en 2020 qui ont conseillé un confinement inutile, coûteux et contre productif. Quand les gouvernants n’ont plus le souci du bien commun c’est le Titanic qui nous attend.
Ce qui aggrave l’infection Cov-2 est une surinfection bactérienne. Il suffit donc de pratiquer des analyses sur la présence ou non de bactéries pathogènes pour savoir s’il faut s’inquiéter.
On sait que les personnes avec comorbidités graves (diabète, obésité, immunodéficience…) sont vraiment à risques, pas les autres.
On sait aussi qu’un traitement précoce à base d’Ivermectine suffit à guérir tout malade en peu de temps.
Pourquoi alors cherchez midi à quatorze heures ?