Une étude menée par les chercheurs de l’Université de Pennsylvanie a mis en avant l’implication de la sérotonine, connue comme “l’hormone du bonheur”, dans le développement des symptômes du Covid long qui touche de nombreuses personnes aux Etats-Unis. Publiée dans la revue Cell, cette recherche devrait être approfondie et ce, pour de nombreuses raisons.
L’OMS (Organisation mondiale de la santé) définit le Covid long comme la persistance des symptômes ou l’apparition de nouveaux symptômes trois mois après la première infection au Covid-19. La maladie peut durer deux mois ou plus. On parle de Covid long, un terme générique qui désigne une infection prolongée au Covid. Même si le virus n’est plus détectable dans l’organisme, le corps continue à présenter différents symptômes tels que la fatigue, l’épuisement, des difficultés respiratoires et de concentration, des maux de tête, la dépression, de la fièvre récurrente… D’après une récente étude parue dans la revue Cell, des scientifiques de l’université de Pennsylvanie ont observé une diminution significative du neurotransmetteur sérotonine chez les individus souffrant de Covid-19 long.
Ce contenu est réservé aux abonnés
Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.
“Faire passer toute difficulté respiratoire comme conséquence d’un précédent Covid par le jeu de la codification vient directement alimenter le nombre de « Covid-long » ou des « séquelles du Covid »”, Pierre Chaillot
Oui, tout ça ne répond plus à aucune logique. J’ai même entendu parler des effets secondaire du covid et plus rarement des effets secondaires de “l’injection experimentale” avec cette idée de génie de la tester sur un échantillon de 6 milliards d’individus, c’est à dire seulement et a peu près les 2/3 de la population mondiale. Comment esperer trouver du sens lorsqu’on est confronté à un tel niveau d’absurdité?